5 Avril 2018
On sait que je n'ai pour le sieur Edwy Plennel alias Krasny ( son pseudo à la tonalité Lénino/trotskyste ) ni de l'admiration, ni la moindre pitié. Cet individu a une structure mentale tout à fait analogue à celle des Himmler, Goebells, où Vladimir Oulianov ( Lénine ). Et un point commun de plus avec ces gens là et l’innommable Adolff : une haine inaliénable, inouïe, atroce du JUIF.
Du juif, et d'une façon générale de tous ceux qui s'opposent à leur rêve pathologique d'instauration d'une universelle société totalitaire. Ils visent à subvertir les opinions publiques des pays qui échappent encore à leur emprise. Au cœur de cette opinion, il y a des gens qui résistent. Il y a aussi, hélas ! La masse des niais, gniais, gniaiiis, gniaiiiiiiiiis ! - ces niais qui en 1938, alors que le Président du Conseil français débarquait de Munich où il venait de se faire rouler dans la farine, par un Adolf Hitler voulant gagner du temps avant de « passer aux choses sérieuses », - les niais, donc, qui se roulaient par terre de joie en psalmodiant spasmodiquement, comme dans 1984 de Georges Orwell « peace ! Peace ! Peace » !
C'est aux gens honnêtes mais troublés parfois par une propagande omniprésente, que j'adresse l'article qui suit, et non à la gniaiserie inguérissable, et d'ailleurs immortelle. ( LS ).
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Une page sombre du passé d’Edwy Plenel refait surface
Publié par Jean-Patrick Grumberg le 4 avril 2018