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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

L'antiracisme ce racisme exacerbé, et incitateur de guerre civile à caractère racial.

1 ) Louis-Georges TIN, président du CRAN, une figure et un programme. 2 ) Le programme insolent et arrogant de l'inimitable Houria Bouteldja
1 ) Louis-Georges TIN, président du CRAN, une figure et un programme. 2 ) Le programme insolent et arrogant de l'inimitable Houria Bouteldja

1 ) Louis-Georges TIN, président du CRAN, une figure et un programme. 2 ) Le programme insolent et arrogant de l'inimitable Houria Bouteldja

Le flot sur des médias sociaux de propos soi-disant antiracistes, m'incite à rééditer cet ancien article du Scrutateur. L'antiracisme est devenu une arme de guerre, par intimidation en attendant mieux, entre les mains de racistes conscients et manipulateurs à des fins de subversion politique et morale. Des gens fragiles peuvent se laisser manipuler par ces tricheurs ( parfois simplement des « malades » ). Cet article s'adresse à ces derniers, mais aussi aux personnes conscientes de la fragilité sociale, et désireuses de réagir utilement ( c'est-à-dire de façon argumentée ), à la dialectique qui va parfois jusqu'au délire, de ces profiteurs du malheur, réel ou fantasmé.

L'article est un peu long, mais peut-on agir sans avoir réfléchi, même un peu, aux problèmes posés, doit être lu, et méditer.

Je recommande particulièrement, après l'article, les deux liens d'illustration de mon propos, en particulier celui où M. Thomas Guénolé, démonte le mécanisme de la subversion antiraciste.

 

Le Scrutateur.

 

( Lire l'article en cliquant ICI : http://www.lescrutateur.com/2016/07/antiracisme-ou-l-autre-face-d-un-racisme-exacerbe.html

 

Des « bavures »opérées sur des citoyens américains afro-descendants par des policiers de race blanche, font que le problème du racisme se trouve projeté sur les écrans de l'actualité. Cet article n'a pas pour but de traiter de ces « bavures » américaines, si scandaleuses qu'elles puissent être. Nous aurons l'occasion d'y revenir très vite.

J'ai déjà eu l'occasion sur ce blog ( en 2007 ) de traiter du racisme dans un article que l'on peut lire, ou relire : Réflexions sur le racisme :http://www.lescrutateur.com/article-5941388.html .

Je me permet d'en citer la conclusion qui résume l'esprit qui a été le mien en constituant le petit dossier que je vous propose de méditer ( d'écouter, puisqu'il s'agit de renvoi à deux liens avec des propos tenus à la télévision par Thomas Guénolé, et Claude Ribbe et qui me semble se situer dans la ligne de mon étude sur ce sujet ).

 

Cette conclusion, la voici : « Un nouveau conformisme s'est créé : le "politiquement correct".
    Si vous n'êtes pas de gauche, vous êtes un nazi, un fasciste, un salaud.
    Si vous prétendez qu'il n'y a pas que les blancs qui sont racistes, c'est que vous en êtes un (et si c'est un noir qui l'affirme, il n'est qu'un traître, un Judas, un "nègre à blancs")etc.
    Si vous n'êtes pas antiraciste vous êtes un suppôt du racisme hitlérien ("Nous avions déjà Le Pen et Debré, nous ne voulons pas en prime Jean-Paul 2"{sic}disait récemment le trotskyste Alain Krivine dans un amalgame
vraiment époustouflant!).
    Voici pourquoi je ne suis pas antiraciste.
Je réclame le droit de dire qu'il y a des blancs racistes, mais aussi des noirs, des jaunes, des juifs, des hommes, des femmes, et que l'antiracisme (sauf pour les naïfs de bonne foi qui y adhèrent parce que mal informés, il y en a hélas beaucoup) est un racisme subtil, qui veut tuer, bâillonner, étouffer, au nom de la morale totalitaire du "politiquement correct".
    Devant la montée de cette idéologie pernicieuse, des esprits libres de tous bords politiques s'inquiètent et commencent à réagir. Peu avant sa mort, Annie Kriegel, l'historienne juive, qui fût communiste, écrivait : "La lutte "contre le racisme" est actuellement menée de telle manière qu'on aboutit inéluctablement à une panracialisation des liens sociaux."
    Et Pierre-André Taguieff  : "Quand une idéologie morale ou humanitaire devient souveraine, l'ennemi (celui qu'elle combat) devient(à ses yeux) intrinsèquement coupable, de sorte que l'on rend un service à l'humanité en le faisant disparaître, par euphémisme on dit : "en l'immolant"."10 .
    Je regrette que la droite au pouvoir actuellement en France, (1997) se laisse intimider par le "politiquement correct". Ce refus de prendre en compte les angoisses du petit peuple de France, le premier à souffrir de l'immigration massive de milliers d'étrangers, est la première cause du mécontentement sourd et grandissant (après le chômage ) qui monte des profondeurs et va grossir les rangs du Front National.
    C'est parce que nos gouvernants, par peur du "politiquement correct", du soi-disant antiracisme, par peur d'être disqualifié par le nouveau terrorisme intellectuel, abandonne à Le Pen la charge de  dénoncer d'incontestables périls, que celui-ci voit son influence grandir, malgré ses outrances, ses provocations ineptes.
    Il faut refuser le manichéisme de nos belles consciences néo-marxistes, refuser la pensée binaire, la fausse alternative : Bien - Mal, droite = nazi, gauche = démocrate, blanc = raciste, etc.

    Edgar Morin, un homme de gauche pourtant, écrit :"La projection hors de l'histoire du "fascisme" ou du "nazisme", devenus des repoussoirs exemplaires et des objets de condamnation morale rituelle, ne peut que nourrir un nouvel obscurantisme : l'horreur légitime est alors mise au service du refus de comprendre."
    Nos dirigeants comprendront-ils?
    A nous de les y aider. Après tout, ils ne sont pas propriétaires de nos suffrages ».

 

Le premier lien renvoie à deux interventions, d'hommes connus, et cultivés, Thomas Guénolé, et Claude Ribbe, tous deux hommes de gauche, avec lesquels, il m'arrive assez souvent d'être en désaccord.

Sur la question du jour, nous nous rejoignons pourtant sur plusieurs points, et leur témoignage me paraît précieux. On notera l'extrême arrogance de leurs interlocutrices? Et l'on apercevra le risque que fait courir à nos sociétés, notamment en France, la tentative de promouvoir un néo-racisme, ( sous le nom d'antiracisme ) fondé sur la victimisation, lequel n'est pas foncièrement différent du racisme hitlérien.

 

Le Scrutateur.

 

 

( I ) Thomas Guénolé vs Houria Bouteldja :

 

https://www.youtube.com/watch?v=jTE6Kd71w24

 

 

( II ) Claude Ribbe démasque l'imposture du CRAN

https://www.youtube.com/watch?v=n1LOWDhA1i4

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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B
Mais dites-moi pourquoi nos cher médias en continu et autres, ne nous diffusent pas ces informations, ne nous montrent pas ces gens, ces racistes ! <br /> Merci Le Scrutateur. Tiens c'est comme IRMA, plus d'infos ? c'est tabou, cela dérange ?
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R
Tin nous projette dans le répertoire classique français : il fait partie de ces animaux malades non de la peste, mais de la naissance. Ey nous voici chez Molière et "Le malade imaginaire" puisque les races n'existent pas (dit-on à l'Académie) et qu'il passe son temps à se plaindre du racisme. Il n'en demeure pas moins que ce malade fait un peu comme le père Duvallier (dont il ne faut pas oublier les ascendances martiniquaises bien qu'il régnât sur Haïti où son père avait émigré et où Papa Doc est né), du noirisme à outrance. On sait combien de philanthropes appartiennent à cette engeance "citoyenne" qui prétend utiliser la démocratie pour parvenir à ses fins. Monsieur Tin est un malin - comme le diable (le plus intelligent des anges paraît-il avant qu'il succombât à la tentation de supplanter Dieu). Un malin fatiguant, car il finit par lasser à la fin par ses radotages qui n'ont une audience que parce que les gens sérieux ont toujours une certaine indulgence pour la diversité, lui trouvant des excuses dont un homme ayant un soupçon d'amour-propre n'aurait évidemment pas voulu. Il faut dire à la décharge de Monsieur Tin que c'est probablement son seul moyen d'existence et qu'il faut bien vivre. C'est ce que disait aussi Papa Doc, certainement.
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L
Tin n'est-il pas une sorte de Tintin du Congo dont il ne faudrait se souvenir chaque fois de que la première syllabe ?
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