Le vendredi 7 juin, autour de 21 heures, un jeune homme de 23 ans rentrait chez lui dans un tram qui traversait le quartier de la Croix-Rouge
à Reims. L'Union, un journal local, raconte qu'il sortit une tranche de jambon et une baguette pour se confectionner un sandwich.
Trois voyous musulmans se trouvaient dans le même tram. L'un d'eux l’apostropha "en l’accusant de manger délibérément du porc devant lui
pour le provoquer et porter atteinte à ses convictions religieuses". Comme le jeune homme continuait à manger son sandwich, il eut droit à un sérieux passage à tabac. Les autres
passagers du tram ont témoigné à la police de la "violence" de l'agression.
Selon L'Union, "la victime souffre de plusieurs blessures saignantes qui ont nécessité son transport aux urgences du
CHU". "C’était très violent. J’ai cru qu’ils allaient lui fracasser la tête", a déclaré un témoin sidéré par la scène. En principe, les agresseurs coupables
de "violences volontaires commises en réunion dans un transport collectif de voyageurs" encourent de 5 à 7 ans d'emprisonnement" en fonction de la durée de l'incapacité totale de travail
qui sera prononcée après expertise.
Attendons de voir s'ils sortent du tribunal avec les excuses du juge si celui-ci est membre du syndicat de la magistrature, ou avec une courte
peine avec sursis.
Par contre, la justice s'est montrée implacable avec Nicolas, 23 ans lui aussi, condamné à mille euros d'amende et quatre mois de prison dont
deux ferme, il est à Fleury-Mérogis.
Qu'a donc fait cet étudiant en troisième année d'école d'ingénieur (qui suit en plus un double cursus universitaire de sciences politiques et
d'histoire) pour mériter une peine de prison ferme avec exécution immédiate ?
Il a tué quelqu'un ?
Il a braqué un bijoutier ?
Il a violé une fillette en tournante ?
Il a tabassé un imam ?
Il a sodomisé un membre du SM ?
Non.
Il a manifesté pacifiquement avec 1 500 personnes opposées au mariage pour tous devant les locaux de M 6 à Neuilly alors que François Hollande
blablatait pour l'émission Capital*, puis la dispersion ayant été ordonnée, il est parti avec quelques copains faire un tour sur les Champs Elysées
proches, toujours vêtu de son sweat-shirt gris portant le logo de la Manif pour tous.
Subitement, a raconté un témoin qui a filmé la scène avec son portable, "Ils se sont fait courser par cinq ou six flics avec une violence
extraordinaire, qui criaient “Interpellation!” comme si les jeunes étaient en train de braquer une banque!"
Nicolas a voulu se réfugier dans la pizzeria Pino. Les poulets de Valls l'y ont suivi et l'y ont arrêté avec brutalité, renversant des tables
et cassant du matériel. Le patron de la pizzeria a porté plainte contre Nicolas, dit Le Figaro, parce que "à cause de son arrestation, il y a eu des dégâts, et le restaurant a dû fermer
un quart d'heure" ! Alors qu'il va profiter de la publicité gratuite faite à son établissement. Boycottons dorénavant la pizzeria Pino.
Est-cela qui motive les quatre mois de prison ? Non !
Nicolas-le-veilleur a été condamné pour rébellion pour avoir fait ce que font tous les Roms arrêtés, tous les Arabes arrêtés et qui sont
aussitôt remis en liberté : refuser un prélèvement d'ADN.
Car, sachez-le, manifester pacifiquement, ou porter un t-shirt de la Manif pour tous, vaut d'être fiché comme un dangereux criminel par les
services de la Gestapo socialiste.
Nicolas est en effet le premier prisonnier politique de la dictature totalitaire instaurée par le président Hollandescu et son larbin le
bilderberger Valls.
Maurice D.