Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
26 Août 2016
Deux documents dans ce dossier annoncé hier soir.
Le premier ( I ) porte sur le développement du racisme anti-blanc EN FRANCE, ceci dans l'apparente indifférence des autorités politiques, qui, depuis 1984 ( septennat Mitterrand ) porte d'ailleurs une lourde responsabilité dans la montée tranquille, arrogante, sure de l'immunité, d'un racisme antifrançais et antiblanc, bref de ce que Le Scrutateur a toujours désigné sur le ton de l'ironie : « le parti de l'antiracisme ».
Je ne serai pas plus long dans la présentation de ce premier document qui est d'une clarté aveuglante, sauf pour les aveugles, « ca va de soi » comme dirait Georges Brassens.
Le Deuxième ( II ) porte sur l'affaire dite du Burkiny. Il s'agit d'une video de 23 minutes ( sur RTL ) où l'invité est le sieur Marwan Muhammad, dont j'ai déjà parlé ( http://www.lescrutateur.com/2016/08/affaire-des-burkinis-sur-lci-un-marwan-muhammad-insupportable-d-arrogance-provocatrice.html?utm_source=flux&utm_medium=flux-rss&utm_campaign=politics ).
Ceux d'entre nos lecteurs qui veulent comprendre vraiment ce qui se passe, et s'armer ( intellectuellement ) pour relever le débat public, et défendre les valeurs morales et spirituelles de leur pays ont intérêt à l'écouter attentivement. Mais pas sur le terrain passionnel, qui est stérile. Il s'agit en écoutant M. Muhammad, d'observer sa tactique pour noyer le poisson, de débusquer ses sophismes. ( Sophisme :
Argument, raisonnement faux malgré une apparence de vérité et généralement fait avec mauvaise foi ). |
Dans ce document par exemple, Muhammad se présente comme s'il était un Français de vieille date, et se revendique du droit pour étayer sa thèse favorable au Burkiny.
Or il n'est pas de vieille souche, premièrement. Deuxièmement, il se revendique du droit français, derrière lequel il s'abrite pour échapper aux remarques de ses contradicteurs. Et ici, comme il est censé être un Français ( et qu'il de fait, mais de papier ) il faut dire donc, qu'ici il a raison. Il utilise les arguments de droit que lui ont forgés depuis des décennies des politiciens franchouillards, minables et socialistes tout acquis à ce que n'est pas la France, au nom de l'universalité de ce qu'ils appellent l'esprit « républicain ».
Il faudra donc, si l'on veut sortir de l'ornière où nous sommes, « réformer le droit ».
Mais, troisièmement, Muhammad déclare au détour d'une phrase : « l'Etat est laïc, les citoyens n'ont pas à l'être ».
Superbe sophisme. Car enfin qu'est-ce que cette laïcité dont se réclame l'immense majorité des Français? Ce n'est pas ( en principe ! ) l'anticléricalisme radical du début du XX ème siècle.
C'est l'application du principe évangélique : « rendez à César, ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ».
C'est donc la distinction formelle du politique et du religieux. Quelquefois, au cours des siècles les chrétiens eurent la tentation d'oublier cette séparation contenue en germes dans les Evangiles.
Celle-ci devint la norme en 1905. Les catholiques finirent par s'en accommoder.
Mais pour l'Islam il ne peut y avoir de séparation du spirituel et du temporel, pas d'Etat laïc, et dès qu'ils sont en état d'imposer leurs vue, ils le font par le cimeterre. Muhammad nous dit « les citoyens n'ont pas à être laïcs, même si l'Etat l'est ».
Désolé, mais il y a des règles du comportement civil. Par exemple, sauf à l'époque du carnaval toutes les tenues ne sont pas admissibles sur la voie publique. L'exhibitionniste sexuel est à la limite toléré, mais sa présence à la sortie des écoles est tout de même un peu gênante.
Si je vais visiter une mosquée, moi catholique, je respecterai les usages de temple musulman.
Sur la plage, sur les lieux publics en général, je me conformerai aux usages commun. Il y a une vingtaine d'années, une de mes petits cousines, et deux de ses amies, à dire vrai fort intrépides, avaient décidé de passer des vacances en pays musulmans du moyen orient. Il leur fut « conseillé » de se déplacer en burqa pour éviter tout « accident ».
Quand M. Muhammad appelle à respecter au nom du droit français celui des femmes de s'habiller comme elle l'entendent, peut-être aurait-il fallu lui demander de préciser ce qu'il pense, lui, président d'une association de défenses des droits des musulmans, ce qu'il pense donc des droits de la femme en terre d'islam, et d'ailleurs en terre de France, où ils entendent préserver la supériorité des Mohamed sur les Fatima.
Mais Muhammad, comme il l' a fait d'ailleurs dans le débat, éluderait la question. « Inviter un Iman, et posez-lui la question » dirait-il. « Honnest Iago » comme disait Othello la pauvre dupe du traître.
Lecteurs voulez-vous être des dupes, des Iago, et des Muhammad?
Non ? Alors, lisez le Scrutateur, diffusez, partagez.
Kimbé raid !
Le Srutateur.
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I ) 25-28 août 2016 : un séminaire interdit aux Blancs à Reims !
( En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/antonincampana/25-28-aout-2016-un-seminaire-interdit-aux-blancs-a-reims,279245#cvZsYgVTZcjBRjDT.99 )
Ce racisme structurel, le seul qui soit démontrable, repose d’une part sur la négation de la blanchitude.
C’est ce que nous apprennent deux articles du Figaro du 21 et du 23 août. Un camp d’été de « formation à l’antiracisme politique » (sic) va être organisé par des « collectifs » proches des Indigènes de la République, du 25 au 28 août à Reims. Sa particularité ? Il sera interdit aux Blancs ! Cette colonisation momentanée d’une parcelle de nos terres ancestrales, avec un entre-soi excluant les Blancs, est une ségrégation raciale assumée, un apartheid qui en dit long sur les fantasmes politiques des gens qui l’organisent.
Ces Africains ou « afro-descendants » se disent victimes d’un racisme d’État. Cette représentation de la réalité relève de la pathologie mentale. Qu’est-ce que le racisme, en effet, si ce n’est un système d’avilissement. Et de quel avilissement d’État souffrent les Noirs en France ? Celui d’être accueillis par millions ? Et si tel était le cas, pourquoi les organisateurs de ce camp africain ne retournent-ils pas au milieu de leur peuple, sur ce continent noir où tant reste à faire ? Apartheid pour apartheid, non-mixité pour non-mixité, il faut pousser la logique jusqu’au bout : pas deux ou trois jours à Reims, votre vie entière dans cette Afrique profonde dont vous ferez, loin du racisme blanc qui vous empêche de réussir, un continent exemplaire, moderne et prospère.
En fait, les non-Blancs ne sont pas victimes du racisme d’État mais profitent de celui-ci. Car il y a effectivement un racisme d’État, c’est-à-dire un système d’avilissement structuré et institutionnel, mais celui-ci ne s’exerce pas contre les Noirs ou les musulmans mais, exclusivement, contre les Blancs.
Ce racisme structurel, le seul qui soit démontrable, repose d’une part sur la négation de la blanchitude (au contraire, notez-le bien, de la négritude constamment valorisée) et, d’autre part, de manière tout à fait paradoxale, sur la réduction de la blanchitude au racisme. Le Blanc et le Français de souche n’existent pas, si ce n’est à travers le racisme qui traverse toute leur histoire et qui explique, à vous Africains, votre statut d’opprimés et à nous, les Blancs, notre statut d’oppresseurs. Or, ce système d’avilissement du Blanc raciste est enseigné dans les écoles, est inscrit dans une historiographie « légale » (qui stigmatise les Blancs, mais est très indulgente avec vous, les non-Blanc), est véhiculé par les associations « antiracistes » subventionnées par l’État, sert de référence à la « justice » d’État, fait l’objet de campagnes antijaphiques 1 d’État… sans oublier que ce même État républicain utilise ce système d’avilissement pour expliquer l’échec de son modèle de société et s’en sert aussi, au passage, pour neutraliser les opposants à l’immigration. Le racisme d’État, structurel, institutionnel, le seul, le vrai, l’unique, est le racisme anti-blanc.
À l’heure où j’écris, les opprimés réunis à Reims n’ont fait l’objet d’aucune interdiction légale. On imagine sans peine les cris d’orfraie de la classe politico-médiatique, les manifestations, les envolées lyriques sur la bête immonde et les jours sombres de notre histoire si un séminaire organisé par des Blancs interdisait son accès aux Noirs ! « Rien ne permet d’interdire cette rencontre à ce jour », a fait savoir la ville de Reims, qui siège au conseil d’administration du centre de séjour (Cf. Le Figaro). Pour Martine Solczanski, directrice du centre de séjour, le séminaire n’interfère pas avec les principes de non-discrimination défendus par son établissement : « Nous avons traité leur demande de réservation comme tous les groupes et, professionnellement, ça ne me pose pas de problème », dit-elle (Cf. Le Figaro). SOS Racisme et la LICRA n’ont pas encore porté plainte, mais cela ne saurait tarder, bien que leur silence fût mystérieusement assourdissant lors de la rencontre « paroles non blanches », organisée en avril dernier à l’université Paris VIII.
Vous avez dit « vivre ensemble » ?
Notes:
Noé avait trois fils : Sem, Cham et Japhet (Japhet étant l’ancêtre des Européens). Celui qui n’aime pas les fils de Sem est un antisémite (antisémitisme), celui qui n’aime pas les fils de Japhet est un antijaphite (antijaphétisme).
II ) Marvan Muhammad sur RTL, face au public, sur l'offensive Burkiny.