20 Juillet 2020
Pandémie ou... polémie ?
Aujourd’hui les courants dominants cherchent à tout prix à dominer. La communication permet alors de servir la volonté d’asservir les... bonnes volontés. Et comme un clou chasse l’autre, les slogans succèdent au slogans s’agglomérant au besoin dans une fatale synergie de domination, de contrainte, de restrictions et, comme par hasard, de punition. L’esprit est toujours le même : un esprit de coercition grâce auquel le pouvoir « justificatif » - autrement dit la communication dans sa toute puissance d’occupation et de convergence - est au service du pouvoir laxatif et permet à celui-ci de moduler la vie sociale en évacuant les vrais problèmes pour soumettre toute l’activité à des fourches caudines en entretenant d’irrésistibles canaux de « priorités ». La recette est infaillible, que ce fût à la Révolution française et dans l’Allemagne nazie, ou que ce soit en Corée du Nord, en « Europe-L’Europe-L’Europe-L’Europe » ou en France aujourd’hui d’où, finalement, le modus operandi est parti en 1789. La contagion est alors fatale, tant pour des raisons d’opportunité du côté des « volontés » que pour des raisons de dynamique sociale chez toutes les « bonnes volontés ».