30 Novembre 2019
Le déni d’État qu’impose le vent de sable d’aujourd’hui en matière d’immigration islamoïde invite les populations européennes à l’anarchie, car, de plus en plus, celles-ci ne peuvent qu’entrer à leur tour dans un déni d’autorité envers les États. Plutôt que de parler de déni d’autorité, on devrait du reste dire que les populations européennes sont invitées par les autorités à un véritable démenti car la surenchère d’inversion de la part des autorités légales est une invitation à dénoncer l’imposture permanente que sont devenues les machines étatiques dans une grande partie de la sphère occidentale.
Compte tenu de l’immigration islamoïde, précisément, cette anarchie ne peut conduire qu’à des guerres civiles sans précédents, car si ce n’est pas la première fois que des gouvernements prennent le parti d’envahisseurs, pour la première fois dans l’histoire de l’Occident, il y a un certain temps déjà que bon nombre de gouvernements ont délibérément - et dans plusieurs États à la fois - encouragé les invasions, non seulement jusqu’à la submersion mais aux conditions des envahisseurs. C'est aujourd'hui un politicien français, le sieur Delevoye, qui préconise l'irruption en Europe de 50 millions d'immigrants.
Pas besoin d’être Socrate ou Einstein pour deviner la suite.Que l’assassin du pont de Londres eût déjà été condamné pour terrorisme et remis en liberté n’a rien de très étonnant : en Europe, c’est devenu la routine. À croire que cela amuse les dirigeants de voir assassiner les uns après les autres les assujettis auxquels ils devraient devoir protection. Et il ne s’agit pas là d’humour anglais, mais d’une résolution occidentale de faire des populations européennes de la chair à couteau, à Kalashnikov ou à explosifs.
L'homme qui a tué deux personnes à l'arme blanche vendredi avant d'être abattu était connu de la police. Usman Khan avait été condamné en 2012 pour des actes de terrorisme et remis en liberté conditionnelle en 2018.