9 Avril 2014
Avantages : il permet de clamer sa juste colère, sans forfanterie, de dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas, de dire à certains rats d'égouts leurs quatre vérités. Et aussi de se soulager.
Inconvénients : l'ivresse des mots, surtout quand on est doué d'un talent littéraire, qui pousse à l'excès, qui dépasse la pensée, et s'avère, en définitive, surtout quand il s'agit de politique ( art difficile et ultra sensible ) à privilégier sa satisfaction intime, et celle des amis auxquels on s'adresse, aux dépens de l'efficacité, aux dépens de la cause que l'on veut défendre et promouvoir.
L'article que je publie ci-dessous emploie au service de sa colère justifiée, des mots peut-être un peu trop forts, des expressions trop à l'emporte-pièce.
L'homme d'outre-mer que je suis, qui partage l'essentiel du propos, n'aurait pas utilisé les même mots.
Ces précisions faites, je publie résolument.
E.Boulogne.
L’interventionnisme de la France sur le continent noir est bien mal payé de retour ! Tout juste si le président du Rwanda ne demande pas à 6 ministres et généraux de venir implorer le pardon du peuple réconcilié, en camisole et corde au cou, sous les flashes de la presse internationale. Prélude, évidemment, à l’envoi d’un pactole en résolution des graves dommages de guerre…
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