30 Octobre 2012
Il n'est peut-être pas exclu de parler de socialo-islamisme, comme on parlait jadis de socialo-communisme, postulant que le socialisme était l'étape
transitoire vers le paradis communiste. Aujourd'hui, en France, le socialisme apparaît deplus en plus comme l'étape transitoire vers le paradis d'Allah...
Certes le mot d'islamiste dérange - comme le mot père ou mère auxquels se sont totalement substitués ceux de "papa" et de "maman", en attendant ceux
de Parent 1 et Parent 2. Mais que l'on dise islamiste, islamique ou islamien, la référence première est toujours la même.
Ainsi, si l'on se réfère aux trois derniers "premiers secrétaires du PS", tant François Hollande - militant du droit de vote des étrangers ainsi que
du mariage homosexuel, comme pour mieux doper la revendication islamique de charia - que Martine Aubry - dont les propos réitérés sur l'islamisation de la société de manière à rendre celle-ci
moins monotone et moins "emmerdante" (si l'on a bien compris ses propos) ne sont un secret pour personne - et que Harlem Désir fraîchement imposé à la tête du parti socialiste et qui aussitôt
professe sa haine pour tous ceux qui pourraient avoir quelque amour que ce soit pour la France de leurs aïeux, on ne peut qu'admettre la pertinence de l'hypothèse d'une complicité objective entre
socialistes et islamistes, à moins que les socialistes ne soient que les idiots utiles des islamo-islamiens, ce qui est d'autant plus improbable que les gens de sensibilité ou d'appartenance
socialiste passent pour être très intelligents (cf. Nicolas Domenach, David Assouline ou encore Jean-Marc Ayrault) : de la part des socialistes, il s'agit tout simplement d'intelligence
avec l'islam.
http://blogdebg.over-blog.com/article-nos-banlieues-sont-le-quatrieme-etat-du-maghreb-111871597.html