28 Septembre 2013
"Rire est le propre de l'homme" disait Rabelais. Mais comme son auteur, le rire est protéiforme. En cet an II de la mainmise hollandiste, il est le refuge de la détresse française. Bornons-nous, ce dimanche à deux de ses formes.
La première, tout en images, comme d'un Céline ( mais alors très adouci, dans un mauvais jour, car Céline en ses beaux jours, pouvait être féroce ! ), est d'humour noir. On rit, ( pas tout le monde ! ) mais d'un sourire amer, en attendant l'heure de la libération et d'un beau défilé sur les Champs Elysées, un matin de printemps 2017, quand la santé aura succédé, pour nos concitoyens à la Santé de nos dirigeants actuels. Voici donc d'abord le sourire doux-amer des scrutateurs de l'espérance.
( I ) Le rire doux-amer.
2 )
II ) Et puis, il y a le rire champagne !
Il faut dépasser l'amertume, même douce. Marcel Pagnol a écrit : " dis-moi de quoi tu ris, je te dirai qui tu es". Je vous connais lecteurs. Les quatre cinquièmes d'entre vous aimeront le rire drôle, fin , léger ( mais parfois profond ), pétillant, bref champagnisé.
Et comme je vous respecte c'est un bonus de ce cru là que je vous offre sur Youtube. Pour le cinquième restant, qui se soûle au Bedos ( Guy ), je vous le dis gentiment : pour éviter l'infarctus, hâtez vous, fuyez ces lieux. LS.
https://www.youtube.com/watch?v=gn4lr_gRtzE