2 Novembre 2009
Eric E.G. NOGARD
Courriel : eric.nogard@orange.fr
NewsLetter 2009/143
Fort-de-France, le 23 Octobre 2009
Communiqué de Presse de Jacques MYARD :
« Jacques CHIRAC en Correctionnelle. »
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Quelle que soit la faute commise par Jacques CHIRAC,
Le Peuple de France, donc la France l’en a absout.
Du moins n’est-ce pas le sens à donner à la Réélection
Quasi Plébiscitaire de Jacques CHIRAC à la Présidence de la République.
Nul n’ignorait les Faits qui lui sont reprochés
Et sa réélection a valeur de Jugement en Cour d’Assises Elargie.
En renvoyant Jacques CHIRAC aux Commandes de la France,
Le Tribunal Populaire élargi à tout l’ensemble Français, a Jugé.
Aucun Juge ni aucun Parlement ne transcende le Peuple :
La Faute était connue, l’établir serait enfoncer une porte ouverte.
La Faute a été remise et le prévenu porté aux Pouvoirs, qu’ils soient
Exécutif, Législatif, Administratif, Judiciaire, Religieux, bref, au Pouvoir Suprême.
Le Peuple a dit à l’Instar de Goethe, à ce que nul n’ignore :
« Mieux vaut une petite injustice plutôt qu’un Grand Désordre ».
Sous toutes réserves.
Eric E.G. NOGARD
Message du 30/10/09 12:46
> De : "Myard Jacques"
> A : "Myard Jacques"
> Copie à :
> Objet : Communiqué
>
>
Le 30 Octobre 2009 COMMUNIQUE DE PRESSE
> de Jacques MYARD
> Député UMP
> Président du Cercle Nation et République >
>
> A/s : Jacques Chirac en correctionnelle :
attention aux dégâts !
>
> La décision du juge d’instruction de renvoyer Jacques Chirac en correctionnelle est
certainement techniquement fondée.
>
> Cela étant, ce renvoi, décidé souverainement par un juge qui mérite le respect est inopportun au sens noble du politique.
>
> En effet, la qualité du prévenu mis en examen, ancien Président de la République, donne, par amalgame, un retentissement à l’affaire qui va bien au-delà des simples faits dont la gravité
réelle est cependant limitée.
>
> Cette décision met en cause les Institutions. Qu’on le veuille ou non, ce sera bien « le Président de la République » dans sa continuité qui sera en correctionnel. Ce n’est pas la raison
d’Etat qui doit faire cesser cette procédure mais la « Raison de la République » qui va être malmenée dans l’esprit de tous nos concitoyens.
>
> N’est-on pas en train d’institutionnaliser avec cette affaire et quelques autres, un masochisme institutionnel qui portera en définitive atteinte à la démocratie.
>
> Il y a un moment où entre l’application stricte des textes, leur automaticité objective et l’opportunité politique il faut choisir l’opportunité politique car, comme le rappelait Goethe en
substance « je préfère une justice non rendue à un désordre institutionnel dangereux ».
>
> Le Parlement, tout en reconnaissant la faute, doit prendre ses responsabilités et étendre le manteau de Noé au nom de la République.
>
>
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