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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Liberté de blâmer, par Bourdelat.

 Libetté de blâmer.



(  Texte reçu d'un lecteur il y a quelques minutes).

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Sans la liberté de blâmer, il n'ait point d'éloge flatteur
Bourdelat
Monsieur BEAUMARCHIS aurait raison encore une fois s'il assistait à la situation actuelle de la Guadeloupe. Nombreux sont les femmes et les hommes qui s'expriment sur l'actualité aujourd'hui en Guadeloupe. Il est courageux de prendre la plume et de défendre les valeurs de notre société et les valeurs de la France qui permettent à cette île en forme de papillon de rester majestueuse, élégante et légère. Le charme des îles, celui des Antilles et des Tropiques ne fait pas souffrir.
Les femmes chantent dans la rue, les hommes crient, vocifèrent. Qu'elle belle leçon d'humilité donne cette population à leurs élus. Chanter c'est laisser sortir sa rancoeur, son amertume, sa déception, chanter c'est crier haut et fort sa colère, chanter c'est aussi s'emerveiller des êtres qu'on aime qui nous aiment. Rien de plus fort que chanter.
Mais comment un Président de Région pendant ce temps distribue millions et millions d'euros. Pourquoi ne l'a t-il fait plus tôt?
Quand les personnes ne peuvent plus chanter elles souffrent et alors le dialogue est impossible. Laissons chanter la Guadeloupe et ses habitants. Quand un être humain est atteint d'un cancer qui se métastase il souffre,il n'a plus le goût de chanter quand un être paralysé ne peut utiliser ses membres il souffre, car il a besoin de l'autre pour se sentir exister. Arrêtons je vous prie d'utiliser le mot souffrance trop facilement et de façon péremptoire. Il y a des souffrances qui portent, qui transcendent et qui font passer des étapes du développement. La guadeloupe est un pays riche, plein d'eau, de fruits, de terres cultivables, d'arbres fruitiers,de sable fin, de vagues, de mer .... de rêve. Un enfant dans le 93 rêve de toutes ses couleurs qui a fait son enfance, un couple rêve de tout ce paradis laissé pour une grisaille parisienne ou métroplitaine. Mais dans son coeur il est français et fier d'être européen et carraibéen. Voilà le pont de la souffrance voila le pont de l'intelligence, voilà l'arche de l'espoir et de la compréhension des races et des coeurs. Le sang qui circule dans nos veines est le même quelque soit la race. Ca je le sais , je l'affirme. Alors de grâce assez de paroles, assez de goualleries sur les uns et les autres. Relevons nos manches avant que nous souffrions vraiment.

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C
<br /> <br /> Blog(fermaton.over-blog.com),No-13: LIBERTÉ TOTALE ?<br /> <br /> <br /> <br />
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A
LA GUADELOUPE ASSIGNEE A RESIDENCE. QUI EST RESPONSABLE ?Depuis deux semaines, 400000 guadeloupéens sont assignés à résidence. Il leur est interdit de travailler, de se déplacer, de scolariser leurs enfants et bientôt de les nourrir. Ces privations de libertés essentielles sont le fait de syndicalistes violents, qui, soit ferment brutalement les entreprises qui sans cela travailleraient à 99%, soit ferment le robinet des stations services, soit encore ferment les écoles et les magasins. Peu de despotes dans l'histoire ont eu un tel pouvoir sur la vie quotidienne de leur concitoyens.Cette étrange situation est connue et vécue par tous. Elle se produit dans un département français. Mais peut on désigner parmi les acteurs de cette triste pièce, les responsables du désastre ?Les syndicalistes ? oui, directement, mais ces irresponsables peuvent ils agir autrement ? ils ont le champ libre, ils avancent, animés par une idéologie nihiliste et destructrive. Le patronat ? Il est composé d'entrepreneurs qui investissent et répondent à des besoins dans un milieu concurentiel. Certains réussissent, d'autres disparaissent. Tous n'existent que par le choix de leur clients qui sont libres de se détourner de ceux qui ne leur fournissent pas une prestation ou un produit ayant un rapport qualité prix considéré comme acceptable.La population de la Guadeloupe ? Elle a réaffirmé lors de la consultation de 2003 son souhait de rester un département français. Elle a placé à la tête de la région quelqu'un qui ne se proclame pas séparatiste. On ne peut pas dire qu'elle joue avec le feu, et qu'elle ait abandonné son droit à lEtat de droit pour choisir l'aventure, même si les manifestations rassemblent des foules importantes.Les Elus ? Ils portent incontestablement une lourde part de responsabilité. L'Etat se retire des DOM sur la pointe des pieds, fatigué d'être méprisé, invectivé, accusé. Les Elus se sont montrés incapables d'occuper la place laissée vide. Incapables d'assumer les responsabilités qu'ils réclament à corps et à cris depuis si longtemps. Il leur reviendrait de dénoncer le massacre de l'économie Guadeloupéenne par les extrémistes, d'exiger l'intervention de l'Etat pour garantir les libertés. Mais ils semblent flotter dans un costume trop grand pour eux. Habitués à la posture contre l'Etat, ils ne savent pas comment défendre les guadeloupéens, et finalement rejoignent leurs bourreaux.Et l'Etat ? Oui, comme nous l'avons dit, il est depuis longtemps malmené dans les DOM. On accpete son chéquier, mais pas son autorité. On le tolère pour gérer certaines affaire courantes, mais il sait qu'il risque à tous moments de faire l'unanimité contre lui. Mais pourtant, quelle immense reponsabilité dans ce gachis !En n'agissant pas pour essayer d'empècher les fermetures d'entreprises par les bandes, en considérant avec sérieux les 140 "exigences" du colletif, toutes contardictoires et constituant un ensemble qui s'apparente à exiger la lune, et cela en pleine crise économique mondiale, en se prétant à la comédie du WTC l'Etat a crédibilisé les demandes fantaisites des syndicalistes. Il a donné corps à l'affirmation démentie par la plus simple observation de la vie quotidienne, selon laquelle la Guadeloupe plongerait de plus en plus profondément dans la misère depuis des décénies. Il lui revient d'assurer le retour à la démocratie et à l'Etat de droit. Il n'a pas beaucoup d'autre option, cette fois les séparatistes ont même craché sur son chéquier.
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