30 Juin 2020
J'avais déjà un projet d'article pour le second de cette journée sur le Scrutateur. Il attendra. Je lui substitue une interview de Stell Kamnga accordée à André Bercoff sur les antennes de Sud Radio. Et je remercie le jeune guadeloupéen (noir, puisque ces précisions deviennent une nécessité dans le climat de racisme obsessionnel qui s'est abattu sur la France depuis quelques temps).
J'ajoute, à l'intention de tous nos lecteurs, que s'il faut réagir face à l'entreprise de subversion racialiste, il faut aussi garder son sang froid, éviter de tomber dans le piège qui nous est tendu et ne pas se laisser aller à un racisme réactif, mais infantile, à l'égard de ces minables qui nous provoquent, et qui est leur objectif de minables. Il faut contrôler nôtre langage, faire attention au choix des mots que nous utilisons. D'abord parce qu'il serait déshonorant de nous aligner sur ces provocateurs, mais aussi pour des motifs de prudence. Le racisme de la clique « décoloniale », comme ils disent, sera toujours pardonné aux Rhokhaya Diallo, et autres chouchous d'une certaine subversion médiatique, et de ceux de la magistrature : gauchistes souvent blancs/blacks/blocks/trotskos, à l'affût du moindre écart de langage qui leur permettraient de nous inviter devant les tribunaux de la « République » comme disent les imbéciles.
Il nous faut apprendre à nous défendre avec force, MAIS AUSSI AVEC ELEGANCE PRECISION ET MESURE.
(Le Scrutateur)