3 Octobre 2015
Le Scrutateur a, à plusieurs reprises parlé du procès intenté à Nicolas Chaulet, pour « insultes à caractère raciste », dans un conflit personnel avec un individu, le sieur Augustin, étroitement lié aux séparatistes guadeloupéens, qui, si l'on voulait être plus racistes qu'eux l'on mourrait illico. ( voir nos archives, en cliquant « Affaire Nicolas Chaulet » dans l'onglet « chercher un article » ).
Nul n'a oublié la participation d'Augustin, ce bon apôtre, à la destruction d'une stèle commémorative, sur la commune de Sainte Rose, en souvenir de l'arrivée des premiers colons français blancs, en cet endroit au XVII ème siècle.
Sur les photographies de cet exploit, évidemment nullement raciste selon les normes actuelles déterminant ce délit ( d'opinion ), on pouvait voir M. Augustin paradant au côté de d'Elie Domota, pseudo syndicaliste ( spécialisé dans la destruction d'entreprises, en particulier les plus fragiles comme on l'a vu après le mois et demi de grève et de violence qui affecta la Guadeloupe en 2009 ) mais vrai indépendantiste.
Le même Domota qui sur les écrans de RFO avait déclaré, avec la « tempérance » qui le caractérise, en créole : « A pa on band békés ( blancs du pays ) ki ké rétabli l'esclavaj ici dan » ; ce n'est pas une bande békés qui va rétablir l'esclavage ici.
Propos sans aucune consonance raciste comme on voit, du moins selon les normes actuelles déterminant ce délit !!!
Rendant compte, à sa manière du procès le quotidien France-Antilles écrit :
« Une semaine après la polémique liée à la peine réellement requise par le parquet de Basse-Terre, le tribunal correctionnel a rendu sa décision dans « l'affaire » Nicolas Chaulet. Vendredi matin, le trentenaire qui était poursuivi pour insultes racistes, menaces de mort réitérées et dégradation d'un bien, a écopé d'une peine de 3 mois de prison ferme, de 1 500 euros d'amende, et devra suivre « un stage de citoyenneté ». ».
L'on pouvait s'attendre à un tel résultat, vue la dégradation constante du « vivre ensemble », en Guadeloupe et d'ailleurs dans toute la France, dans l'état où elle se trouve, en particulier depuis 2012, où le ministère de la justice a été confié à la « douce Christiane Taubira, amis intime d'Elie Domota.
Il me semble toutefois que cette affaire n'est pas terminée. Et les Guadeloupéens de tous bords s'inquiètent et restent « veyatifs ».
Le Scrutateur.