19 Avril 2014
Je reçois ce courriel de la rédaction de France-Antilles, édition de la Martinique. Je vous transmet, pieusement, ce message.
LS.
Subject: M DESSOUT vous conseille cet article de France-Antilles Martinique
Bonjour,
Un de vos amis, M Louis Dessout , souhaiterait vous faire connaitre la page suivante :
Si le lien ne fonctionne pas, copiez dans la barre d'adresse de votre navigateur le lien : http://www.martinique.franceantilles.fr/regions/centre/les-impots-vont-augmenter-lourdement-251120.php
Voici le commentaire de votre ami :
Est-ce la qualité des reportages ou des débats qui privent la version Guadeloupe d'articles semblables? A quand un article objectif sur la situation budgétaire et fiscale pointoise à la veille du prochain coup de massue fiscal pointois inéluctable pour compenser les diminutions des dotations de l’État et de la démographie. Il est vrai que nos collectivités locales survivent grâce à la "départementalisation" qui leur permet chaque mois de percevoir, une avance d'un douzième du montant annuel des impôts votés. Mais , faute de capacité contributive des pointois, l’État n'en perçoit que 60 %. Ainsi notre municipalité progressiste et autonomiste vit et entretient, à crédit, une clientèle aux dépends et grâce aux 40 % manquants, avancés par le contribuable national "colonialiste". Combien de temps durera cette supercherie démocratique, occultée par nos silences complices et bienveillants ? Attendons-nous, bientôt, à un réveil brutal.
Cordialement
L'Equipe FranceAntilles.fr
Je reçois, ce soir du dimanche 20 avril, d'un lecteur, par e-mail, cecomplément à l'article de Louis Dessout ( LS ) :
Aujourd'hui, le transfert de la recette fiscale locale est adossé à la
Communauté d'agglomération ( CA) et l'Etat fait à la collectivité, une
avance
du 12° de l'indemnité de compensation, établie provisoirement, après
déduction des frais de perception de 4,5%, et reversée par la C.A. Mais
à partir de cet exercice 2014, les montants avancés et non recouvrés
seront portés au débit de la collectivité, à charge pour elle de
contribuer à améliorer le recouvrement. Ce qui s'ajoutant à la RGPP, à
la MAP, à la réduction des DGF, DGI, aides diverses, faiblesses du
contrôle budgétaire et de légalité, de l'octroi de mer, remis en
question, une fois de plus, dès le 1° juillet 2014 à Bruxelles. Les
résultats électoraux n'ont aucunement changé la situation, ni amélioré
le niveau de l'expertise des agents de maitrise, et des élus, type
"Mountains chickens, qui se prennent pour des hollsteins.