6 Février 2024
Il y a bien sûr une poussée extrêmiste et terroriste dans l'Islam.Mais le considérer comme vainqueur à terme et maître de l'Occident, est certainement une erreur. Plus exactement c'est une « croyance qui nous est insuflée par l'extrêmisme, et par les Européens eux-même, ceux qui comptent sur la désintégration spirituelle actuelle pour s'incliner par lâcheté aussi, et se laissent esclavagiser.
En fait, beaucoup de musulmans commencnt à se libérer de leurs chaines intérieures (mais la France insoumise n'en parle pas, ni les forces d'argent (Macron and cie). Ils considèrent que c'est une chance pour eux de vivre en Europe et de ce fait espérent échapper à l'Islam du « prophète ».
Lire l'article ci-dessous. (LS).
Leur démarche est de moins en moins rare, mais toujours courageuse. En dépit des menaces et des critiques, un nombre croissant de musulmans quittent l’islam et n’ont plus peur de le dire. Ils se montrent à visage découvert, prennent la parole dans les médias, se structurent en associations. La semaine dernière, une nouvelle étape a été franchie dans la visibilisation de ces « ex-musulmans » avec l’annonce de l’organisation d’une première « marche des apostats ». « 2024 sera l’année de la marche des apostats en France !, a annoncé un twittos relayé par le Conseil des ex-musulmans de France (CEMF). Il y aura une marche des apostats en France pour que les gens entendent et comprennent la parole des ex-musulmans sur l’islam. » Selon l’activiste, il s’agirait de « montrer au monde entier à quel point l’islam sunnite est une religion intolérante, criminogène, sectaire, mauvaise pour tous les êtres humains et surtout pour les femmes et les petites filles. À quel point cette religion endosse la pratique de l’esclavage, la torture. » On ne saurait mieux dire.
Mais si l’islam perd chaque jour des croyants, il ne faut pas croire que le sort des apostats s’améliore pour autant. Intimidations, insultes, harcèlement, tabassages… Le sort réservé aux ex-musulmans en France est un scandale trop peu dénoncé. Quand ils choisissent, en plus, de se convertir au catholicisme, leur quotidien prend des airs de véritable chemin de croix.
Le calvaire des musulmans convertis
L’European Centre for Law and Justice (ECLJ) avait publié en 2021 un reportage faisant état de la persécution que subissent les personnes issues de milieu musulman suite à une conversion au christianisme. On y retrouvait notamment l’humoriste Mehdi Djaadi, qui fait de son trajet spirituel atypique le sujet de son spectacle Coming Out. « Majoritairement, en islam, l’apostasie est rejetée, et dans certains pays musulmans, elle est punie de mort, expliquait-il. Pour les personnes qui se convertissent, il y a déjà une grande incompréhension dans la famille. […] Elles doivent être discrètes, elles ne doivent absolument rien dire sur leur conversion, elles peuvent recevoir des menaces psychologiques, mais aussi parfois physiques parce qu’il y a une forme de déshonneur pour la famille. Il y a tout cet environnement qui fait que la personne convertie doit vivre cachée. Si on l’apprend, il y a un rejet qui peut être très violent… »
Fondateur de l’Union des Nord-Africains chrétiens de France (UNACF), Saïd Oujibou témoignait également des dangers encourus par les musulmans convertis. Beaucoup des jeunes qu’il a accompagnés au cours de sa vie ont ainsi été agressés par leur entourage, certains même tués. « On attente à leur vie morale et physique. Il faut tout de suite les protéger. »
L’évangélisation s’organise
C’est justement pour mieux accueillir et prendre en charge ces nouveaux chrétiens qu’a été créé le Forum Jésus le Messie. Depuis 2013, ce projet missionnaire réunit à travers toute la France des convertis qui « ont soif du Christ et attendent que les chrétiens les jugent dignes de recevoir une annonce explicite ». « Longtemps, pour annoncer l’Évangile aux musulmans, les missionnaires devaient traverser les mers et entreprendre de longs périples, comme saint François d’Assise allant à la rencontre du Sultan, explique le Forum. Aujourd’hui, les chrétiens qui souhaitent partager la Bonne Nouvelle n’ont souvent qu’à traverser la rue : la présence de musulmans nombreux en France rend possible une évangélisation de proximité. » Comme quoi, l’immigration peut aussi avoir du bon !