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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Et si Manu voulait « trucider » Gabriel Attal, ou réciproquement .

Et si Manu voulait « trucider » Gabriel Attal, ou réciproquement .

Il y a déjà une bonne trentaine d'années que le processus de désintégration de la France apparaît bien visible. Mais ses promoteurs sont plus anciens. Ils étaient déjà à l'oeuvre dès le début des années 1960 quand j'étais étudiant à la Sorbonne. De retour en Guadeloupe, en 1968, quand se déclencha le séisme qui est resté sous l'appellation « les évènements de mai 68 » le processus était déjà à l'oeuvre. Du moins à l'université où venu de ma Guadeloupe, et admirateur du général de Gaulle (malgré son attitude sur la guerre d'Algérie, que j'avais déplorée) j'avais assisté à certains préparatifs de le subversion .

Le général avait été lui aussi surpris, et même le parti communiste français qui tenta, sans succès de noyauter le mouvement,. Ce PCF encore stalinien, avait compris que les étudiants étaient contrôlés par des nihilistes dont l'objectif était ce que l'homme du 18 juin appela « la chienlit ».

Après un célèbre discours prononcé le 30 juin, la « révolution » sembla rentrer dans les rangs. Sembla seulement. Les plus doués de ses promoteurs comprirent que les barricades appartenaient à un passé dépassé, à un romantisme sans avenir. Dès 1970 commençait le travail de sape des déconstructeurs de la civilisation et de la nation française. Pour m'en tenir à un seul exemple, ce fut le temps de la création du « Syndicat de la magistrature », illustre auteur du fameux « mur des cons ».

L'éducation nationale (elle ne fut pas la seule) fut le champ de leur labourage, destiné à engendrer des jeunes dépourvus de toute attache avec l'immense champ de culture construit en France au fil des siècles, en France et en Europe,

La religion catholique, fut aussi sapée. Hier une enquête auprès de la jeunesse (à Paris) a montré que des jeunes de première et de terminales étaient des ignorants, ne sachant même pas la date de la révolution française (de 1789), ou ce qu'a été la Shoah.

Le déclin s'est accéléré au fil des années. L'avènement de François Hollande en 2012, suivi de celui d'Emmanuel Macron a marqué une étape nouvelle dans les progrès de la maladie.

Il n'est pas certain qu'elle soit, à court terme, mortelle, sauf peut-être pour la pseudo élite, ce qui ne serait que justice.

Des signes certains révèlent que les « petites gens » (pour parler en termes macroniens) ne sont aussi abruties que le croient nos « zélites ».

Emmanuel, pour plaire à ses patrons, multiplie les efforts. Mais les choses ne sont pas aussi faciles qu'il le croit. Les gouvernements se succèdent, ils ne manquent pas de moyens financiers et techniques.

Et pourtant ! Pourtant!

Pis ! Des artificiers , instruits, bien payés hésitent à poursuivre la « révolution », et pensent même qu'il faut tenir compte DU PEUPLE enraciné dans sa culture millénaire.

 

C'est peut-être ce qui se passe avec Gabriel Attal. Le « disciple » ( ce que croyait Manu ) songerait-il à s'émanciper. Il avait amorcé au ministère de l'éducation, devant l'horreur du vide) une réaction qui a eu l'heur de plaire au peuple.

Emmanuel en le nommant premier ministre ne tente-t-il pas de l'étouffer dans l'enfer de Matignon, où les vipères lubriques ne manquent pas ?

Mais que M. Macron prenne garde. Il y a des miracles dans l'histoire, dans celle de France en particulier.

Macron qui possède son économie politique à la perfection, voulue par ses amis Rothschild, ne devrait pas (pour son bien) oublier le récit fameux de la bataille, en Aquitaine, où un roi de France, Jean II le Bon, en difficulté face au Anglais, ne dut la vie qu'à son jeune fils de 14 ans, chevauchant à ses côtés et l'informant des coups qui le menacaient : »Père, gardez-vous à gauche, gardez-vous à droite » !

Il me semble que Manu ne devrait pas, pour son bien » (qui n'est pas nécessairement le nôtre) trop considérer le jeune Attal comme son … fils ! Il suffit de considérer le regard du Gabriel sur la photo illustrant cet article.

 

Le Scrutateur.

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