25 Janvier 2017
Je suis « de droite » mais non inscrit dans un parti, quel qu'il soit, y compris celui des LR. Mais la campagne de presse menée contre François Fillon pour les pseudos motifs que l'on sait ( tous disent que l'emploi d'un parent par un parlementaire est légal, et d'ailleurs pratiqué par un grand nombre d'entre eux, de droite et de gauche ) m'incite à réagir.
Alors pourquoi Fillon, Fillon seul? N'est-ce pas pour soulever le coeur des braves gens d'électeurs, en salissant, salissant, salissant?
Le coup vient-il de la gauche ? Très probablement. Croit-elle pouvoir ainsi faire oublier ses turpitudes ( voir ce savoureux lien : https://www.youtube.com/watch?v=YC3A1FNKcbM ). Certains disent que ledit coup viendrait de certains qui, à droite, détesteraient Fillon? Mais soyez plus clairs, militants de l'ombre.
Penseriez vous à J-F Copé, à un ( e ) autre? Clarté, clarté, vous dis-je!
En fait si vous parveniez à abattre Fillon, vous ne bénéficieriez pas du coup de pied dans les tibias.
L'opération du Canard enchaîné ne peut servir qu' Emmanuel Macron, ou Marine Le Pen.
C'est le dégoût qui me fait publier ce soir, ce que je ne fais que très rarement, un communiqué de parti politique : celui de François Fillon adressé au Scrutateur par LR.
Bonne lecture chers amis.
Et patience, le moi de mai arrive.
Le Scrutateur.
____________________________________________
Chers amis,
Je vous invite à découvrir un communiqué de notre candidat, François Fillon :
J’ai appris par la presse l’ouverture d’une enquête préliminaire du Parquet national financier.
Cette décision particulièrement rapide permettra de faire taire cette campagne de calomnie et de mettre un terme à ces accusations dénuées de tout fondement.
Je souhaite, pour rétablir la vérité, être reçu au Parquet national financier dans les plus brefs délais.
Je ne peux que m’étonner que des faits aussi anciens et légaux fassent l’objet d’une telle campagne, à trois mois du premier tour de l’élection présidentielle.
Je me battrai pour que triomphe la vérité et pour défendre mon honneur. Ceux qui ont pensé m’atteindre doivent être certains de ma détermination.
François Fillon
Amitiés,
Bernard Accoyer,
Secrétaire général des Républicains