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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Lauriette ( dit « papa yaya » ) dans le texte.

1 ) Papa yaya. 2 ) Sur cette photo de 1949; assis au premier ( avec un veston ) le "vieux" blanc créole, André Babin. Deux étages plus haut toujours à gauche Maurice, grand frère du précédent. Au centre assis, LS, aisémentreconnaissable : votre LS. et entre les genoux de notre père ( Albert Boulogne ) mon petit frère Jean-Claude. Et debout, à droite, le cousin Jo ( tonton Jo ) cousin des précédents Babin, et aussi d' alexis léger plus connu des poètes sous le nom de St-John-Perse.
1 ) Papa yaya. 2 ) Sur cette photo de 1949; assis au premier ( avec un veston ) le "vieux" blanc créole, André Babin. Deux étages plus haut toujours à gauche Maurice, grand frère du précédent. Au centre assis, LS, aisémentreconnaissable : votre LS. et entre les genoux de notre père ( Albert Boulogne ) mon petit frère Jean-Claude. Et debout, à droite, le cousin Jo ( tonton Jo ) cousin des précédents Babin, et aussi d' alexis léger plus connu des poètes sous le nom de St-John-Perse.

1 ) Papa yaya. 2 ) Sur cette photo de 1949; assis au premier ( avec un veston ) le "vieux" blanc créole, André Babin. Deux étages plus haut toujours à gauche Maurice, grand frère du précédent. Au centre assis, LS, aisémentreconnaissable : votre LS. et entre les genoux de notre père ( Albert Boulogne ) mon petit frère Jean-Claude. Et debout, à droite, le cousin Jo ( tonton Jo ) cousin des précédents Babin, et aussi d' alexis léger plus connu des poètes sous le nom de St-John-Perse.

Hier 14 mars sur facebook, j'ai été conduit à publier un texte ancien du Scrutateur. Ceci fait, et relisant ( il eut fallu faire le contraire ) je m'aperçus que le texte annoncé de Gérard Lauriette, n'y figurait plus.

Réparation est faite aujourd'hui de cette lacune. Mais j'ai du renoncer à scanner les trois pages du cher Gérard, parce que le graphisme ( on en était encore, en 1980, au stencil à alcool ) est trop défectueux, et que les lignes manuscrites adressées à madame Maussion, eurent été totalemnt illisibles.

Le texte de Lauriette vous donc offert sous la forme de trois photographies.

 

Le Scrutateur.

 

http://www.lescrutateur.com/article-document-papa-yaya-gerard-lauriette-dans-le-texte-par-lui-meme-et-e-boulogne-86482275.html

 

 

 

  ( Gérard Lauriette, dit " papa yaya" ).

 

On lira, peut-être ( mais on aurait tort de s'abstenir ) le texte de Gérard Lauriette qui me fut adressé il y a maintenant de nombreuses années par son auteur, et par l'intermédiaire de madame Jacqueline Maussion. J'explique dans le portrait psychologique et moral que j'ai tracé de lui il y a quelques années, à l'occasion de son décès, les raisons pour lesquelles, sur le moment , je me refusai à le publier dans le journal Guadeloupe 2000.

 

Lire ce lien : http://www.lescrutateur.com/article-5942521.html

 

Ces raisons me paraissent ne plus avoir de raison d'être. Beaucoup d'eau à coulé depuis lors dans les rivières de notre belle île. Les personnes auxquelles s'en prenait l'illustre Gérard ( papa Yaya ) sont mortes depuis longtemps, et leurs familles sont éteintes, ou ne vivent plus en Guadeloupe. (Et ceux qui sont toujours là, que je connais, Butel, Thionville, vont sourire. Papa Yaya est papa Yaya, approximatif, toujours, souvent à côté de la vérité. Qu'est-ce que c'est, par exemple, que cette affirmation grotesque selon laquelle les blancs créoles ne donnent jamais leurs noms à leurs enfants batards? ou que lesdits blancs pays ne donneraient jamais pour parrain/marraine un/une noire, métisse, indienne? Pas sérieux tout cela. Toutefois, je ne traiterais pas M. Lauriette de menteur. C'était, disons un "original" au sens le plus fort du terme. Chacun a connu « papa Yaya », son originalité, son grain de folie, qui ne l'empêchait pas d'être aussi, dans ses moments de paix, le meilleur homme du monde. Chacun connaît, et.....relativise.( voir le lien ci-dessus ).

Donc je publie le texte. Outre son pittoresque, il exprime de la part d'un homme dont on ne peut dire qu'il fut un « nèg a blans » quelque chose d'important sur la réalité sociale des Antilles françaises, et les rapports entre groupes socio-ethniques, disons simplement entre hommes de couleur ( de toutes couleurs ) et les blancs créoles, auxquels certains osthrogoths, ( encagés dans leurs idéologies et leurs complexes ) et même deux ou trois ecclésiastiques ( de sac et de corde ) voudraient faire porter tous les péchés du monde. Le « vieux blanc créole » dont parle Lauriette était André Babin, un de mes grands oncles, du côté maternel. Ce qu'en dit le cher Gérard, vue ce que fut ce dernier, me réchauffe le coeur.

Edouard Boulogne.

 

Ultime commentaire sur la deuxième photo.

 

Je suis le seul survivant des personnes figurant sur cette photo. La faucheuse a frappé, frappé, à coeur-joie. Je suis à ce jour épargné, pour combien de temps? Celui peut-être de poursuivre ma "mission" d'emmerdeur de ( Censuré, après un long débat de la rédaction qui semble tenir à ma bonne santé ).  PSC.

 

 

 

6 ) Papa yaya dans tpous ses états. 7 ) Et bien sûr : PSC ( Petit sourire en coin ).
6 ) Papa yaya dans tpous ses états. 7 ) Et bien sûr : PSC ( Petit sourire en coin ).
6 ) Papa yaya dans tpous ses états. 7 ) Et bien sûr : PSC ( Petit sourire en coin ).
6 ) Papa yaya dans tpous ses états. 7 ) Et bien sûr : PSC ( Petit sourire en coin ).
6 ) Papa yaya dans tpous ses états. 7 ) Et bien sûr : PSC ( Petit sourire en coin ).

6 ) Papa yaya dans tpous ses états. 7 ) Et bien sûr : PSC ( Petit sourire en coin ).

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