Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
8 Août 2011
1. La bande des spéculateurs !
Une bande organisée de spéculateurs anonymes cherche à faire tomber les pays de la zone euro les uns après les autres. Si à ce jour elle n’a pas atteint ses objectifs, grâce aux efforts de la BCE et de l'Euro groupe, il est nécessaire de la mettre hors d'état de nuire. Pour cela, il faudrait que les dirigeants politiques et les autorités des marchés forcent ces spéculateurs à s’identifier et que des mesures soient prises pour leur interdire l’accès aux bourses. Actuellement, nous sommes dans une sorte de ''guerre financière'' qui nécessite des mesures urgentes et à la hauteur d’enjeux historiques. Nos dirigeants doivent trouver les moyens d’anticiper et non plus d’être à la traine des spéculateurs. Il faut donc très rapidement endiguer cette spéculation. Cela nécessite que les pays de la zone euro cessent de ''jouer perso'' et unissent leurs forces pour contrer toute velléité de spéculer sur le dos de nos pays.
2. Qui va payer le vrai coût de la crise ?
Les salariés, les ménages et tous les contribuables devront payer pour les crises qui se succèdent. Ils épargnent car ils craignent pour leur emploi, leurs revenus et leur retraite et réduisent leur consommation. Aussi la très grande majorité des gouvernements pense qu’ils sont les seuls à pouvoir relancer l’économie puisque les entreprises privées et les ménages sont défaillants. De nombreux conseillers économiques appellent à réinjecter plus massivement de l’argent public pour relancer la demande. L’addition très lourde de cette crise peut se résumer en trois volets : 1. Une baisse des prix des biens possédés, principalement les actions, les Sicav, les fonds communs et même les logements sauf dans certains secteurs ou certaines villes de certains pays. 2. Des pertes d’emplois avec une remontée du chômage qui entraine une pression sur les salaires et donc une perte de pouvoir d’achat pour ceux qui gardent leur emploi. 3. L’accumulation des dettes liées aux plans de sauvetage de certains secteurs et de la relance des économies. Alors pour la France, soyons solidaires les uns des autres et évitons tout ce qui peut augmenter la crise : grèves intempestives des ''protégés'' de certains secteurs non productifs, si vous voyer à qui je pense !
3. Jeu de massacre sur les bourses mondiales.
Depuis l’accord difficilement obtenu par le président américain sur le plafond de la dette autorisé par la loi, les bourses dévissent. Les propos inquiétants des présidents de la Commission européenne et de la BCE ont été mal perçus et sont responsables de la nouvelle forte vague vendeuse. Et ce n’est pas fini puisque la décision prise le weekend dernier par Standard & Poor’s d’abaisser la note américaine de AAA à AA+ ne va rien arranger. A la fin de la semaine, le Cac40 a aligné des baisses significatives et évolue sur ses niveaux de juillet 2009. Le Dow Jones et le Nasdaq, les deux indices phares américains, sont désormais perdants. Ailleurs, le Dax de Francfort, le Footsie de Londres, le FTSE MIB de Milan, l’IBEX35 de Madrid, l’AEX25 d’Amsterdam et le Nikkei japonais cèdent tous des points. Toutes les bourses sont dans le rouge et la semaine 32 risque d’être très agitée car les marchés attendent des mesures fortes de la part des politiques. Petits porteurs, ne paniquez pas cependant et profitez de cette période pour faire des achats qui vous permettront un gain important à terme car la bourse remontera un jour.
4. L’affaire Tapie deviendrait l’affaire Lagarde !
La Cour de justice de la République a donné un avis favorable à l'ouverture d'une enquête visant l'ancienne ministre de l'Economie et des finances, Christine Lagarde, dans le cadre de l'affaire Tapie. Elle doit déterminer le rôle de Madame Lagarde, l'actuelle directrice générale du FMI, dans la procédure d'arbitrage qui a mis fin en juillet 2008 au conflit entre Bernard Tapie et le Crédit Lyonnais au sujet de la vente d'Adidas en 1993. S’il n’est pas mon propos de commenter cette décision de la Cour, il me semble que les socialistes, qui sont à l’origine de cette ''affaire Lagarde'', feraient mieux de se faire discret. Car sous quel gouvernement cette affaire Tapie a-t-elle débuté ? Petit rappel des faits. En juillet 1990, sous la présidence de François Mitterrand, Bernard Tapie rachète la société Adidas. Devenu ministre du gouvernement Bérégovoy en 1992, il revend Adidas en février 1993 à un groupe d’investisseurs public dont le Crédit Lyonnais qui la revend à Robert Louis-Dreyfus en 1994. En juillet 1995, Bernard Tapie réclame au Crédit Lyonnais une plus-value dégagée lors de la cession au groupe Louis-Dreyfus. De là, la justice mettra près de dix ans pour traiter ce dossier sans qu’il puisse être réglé. D’où la procédure d’arbitrage choisi par Madame Lagarde qui aboutit à une indemnité accordée à Bernard Tapie de 285 millions d'euros qui a scandalisé la droite comme la gauche. Cette dernière se gausse du fait que cette somme sera versée par les contribuables. Mais en son temps la gauche s’est-elle scandalisée des sommes qui ont été versé par les contribuables pour éviter la faillite du Crédit Lyonnais !!
5. ''Chapeau'', les Japonais.
Quatre mois après la triple catastrophe du séisme, du tsunami, de l'accident nucléaire et malgré un processus politique catastrophique, les entreprises ont relancé leurs activités, les investisseurs ont repris confiance et les Japonais recommencent à consommer. Après un mois d'avril catastrophique, les hôtels et les restaurants ont senti une amélioration avec des niveaux moyens de dépense en hausse depuis mai. Les grandes enseignes du luxe observent un bond des ventes de bagues de fiançailles ce qui est un signe très positif qui montre un appétit de vivre des Japonais.
6. Le FMI invite la France à des efforts pour réduire son déficit.
Le Fonds Monétaire International prévoit un léger ralentissement de la croissance pour 2012. De même, il se montre moins optimiste que le gouvernement français quant à la réduction de ses déficits. Les experts du Fonds, bien que considérant que des progrès ont été réalisés dans la consolidation budgétaire, recommandent des efforts supplémentaires à la France car ils considèrent que la croissance devrait être inférieure à ce qu’elle était envisagée et pourrait donc faire craindre que le déficit ne recule plus lentement qu’initialement prévu. La confiance des agences de notation ne pourrait-elle pas se dégrader si le ''projet'' de la gauche était mis en application en 2012 !
7. Que faire si son ordinateur est trop lent ?
1. Il faut le défragmenter car il est nécessaire périodiquement de réorganiser le disque dur pour que les blocs qui composent un fichier se retrouvent les uns à la suite des autres et non pas un peu partout sur le disque dur à la suite des suppressions de fichiers. 2. Désactiver des logiciels ou des programmes qui ont été installés au fil du temps et qui doivent être chargés à chaque démarrage de l’ordinateur. Pour cela il faut décocher toutes les applications inutiles. 3. Nettoyer l’ordinateur avec un logiciel ''nettoyeur''. 4. Vérifier qu’il n’y ait pas de virus ou de spyware. 5. Ajouter de la mémoire en achetant des barrettes, car lorsque l'ordinateur ne dispose pas d'assez de mémoire, le système d’exploitation recopie régulièrement des parties de programmes ou de fichiers sur le disque dur puis les recopie à nouveau en mémoire ce qui ralentisse la vitesse des applications. Bonne chance pour une meilleure gestion de votre PC.
8. L’avenir sera tactile.
Les nouvelles séries américaines font la part belle au tactile. Le téléspectateur voit les acteurs manipuler par un simple effleurement des doigts des photos, des vidéos ou des textes affichés sur un mur ou une table vitrée. Tout un chacun pourra bientôt entrer dans la peau d’un agent américain et manipuler des documents puisque des entreprises américaines vont bientôt commercialiser des tablettes tactiles. Si nous y sommes déjà préparés avec certains Smartphones, ces tablettes ne sont pas encore à la portée de toutes les bourses, près de 10.000 €. Arrivera-t-on, petit à petit, à la suppression du clavier et de la souris, La ''conduite avec le doigt'' s’imposera car elle permet de passer par le contact physique que nous apprécions. La disparition du clavier : on peut cependant en douter car le tactile n’est pas très adapté à la saisie de données lourdes. Mais la souris risque d’en faire les frais, par contre.
Henri Pauvert.