Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
21 Juin 2011
Dans l'intéressant commentaire que nous a envoyé un lecteur, ce matin sur l'article récemment paru d'Anne-Marie le Pourhiet, concernant le « mariage homosexuel » ( voir l'article de samedi intitulé Autour de l'homosexualité ) ce correspondant s'émeut de la très grande proportion de commentaires extrêmement critiques, voire malveillants, adressés à madame le Pourhiet. ( voir en retournant à cet article, et en cliquant sur le lien, lesdits commentaires ). Il en tire des considérations pessimistes sur l'avenir de notre civilisation. De fait !
Je crois cependant qu'il faut garder son sang froid. Ces commentaires n'expriment pas, selon moi, l'opinion française. Ils n'expriment même pas l'opinion des homosexuels, qui comme le dit Anne-Marie Le Pourhiet, aspirent plus à la discrétion qu'au tambourinage extravagant de la Gay Pride, chère à monsieur Jack Lang.
Ils sont l'oeuvre de militants, parmi lesquels beaucoup d'hétérosexuels pseudo révolutionnaires qui veulent détruire une société, ses coutumes, ses moeurs, son histoire, pour lui substituer leur petite ou grande utopie comme on a vu si souvent dans l'histoire.
Or si la majorité d'une population est peu militante, plus intéressée, en dehors de son travail, à gérer ses loisirs qu'à autre chose, il n'en est pas de même des « militants ». Sur la question qui nous intéresse, ils s'inquiètent fort peu du sort des gens qu'ils prétendent défendre, dans le cas présents les homosexuels.
Nos militants sont obsédés par la « Révolution » qui pour certains n'est que le moyen d'assurer leur volonté de puissance, et leur puissance financière.
Ces gens là tout au long de l'histoire, n'ont jamais considéré « le peuple » dont ils se réclament, les catégories sociales, culturelles, ethniques, minorités diverses, sexuelles ou autres, que comme la matière première de leurs ambitions.
L'écrivain russe du XIX ème siècle Dostoïevski dans une oeuvre célèbre Les possédés, a caractérisé leur méthode avec une lucidité remarquable. Par la bouche d'un de leurs leader, il montre comment le « socialisme » n'est dans leur bouche qu'un mot vide de sens, un slogan trompeur. Ce leader Nicolas Stravoguine, les désigne, lors d'une réunion de cellule sous l'appellation des « nôtres ».
Les nôtres » existent plus que jamais dans notre société qu'ils rongent.
Ecoutons ! On se croirait en 2011, dans une réunion analogue : « Ecoutez, lui dit-il, nous commencerons par provoquer des troubles. Je vous l’ai déjà dit : nous pénétrerons au plus profond du peuple ? Savez-vous que nous sommes terriblement forts ? Les nôtres, ce ne sont pas seulement ceux qui brûlent et égorgent. Ceux-là ne font que nous gêner. Je ne conçois rien sans discipline. Je suis un gredin et non un socialiste, ha-ha ! Ecoutez, je les ai tous dénombrés : le maître d’école qui rit avec les enfants de leur Dieu et de leur berceau est des nôtres. L’avocat, qui défend un assassin instruit en disant qu’il est plus cultivé que ses victimes et ne pouvait faire autrement que de tuer pour se procurer de l’argent est des nôtres. Les écoliers qui ont tué un paysan pour éprouver les sensations qu’apporte le meurtre, sont des nôtres. Les jurés qui acquittent des criminels sont des nôtres. Ajoutez à cela les administrateurs, les écrivains, et ils sont nombreux. D’autre part, l’obéissance des écoliers et des nigauds est absolue ; les éducateurs sont gonflés de fiel ; partout règne une vanité démesurée, un appétit bestial… Sachez seulement de quelle aide nous serons les idées toutes faites, etc ».
Face à une telle subversion, il faut opposer des armes efficaces. Elles passent par un long travail de formation personnelle, par un investissement des lieux où travaillent les militants, par une opposition courageuse et de tous les instants à leurs actions délétères.
Il faut opposer un contre militantisme, mais constructif. C'est une entreprise de longue haleine, à mener, chacun dans le secteur de ses compétences.
C'est une telle ambition qui m'a conduit, après de nombreuses actions, tout au long de ma carrière, à agir, dans le monde enseignant, dans le syndicalisme scolaire, dans le journalisme, et depuis quatre ans sur Internet, avec le Scrutateur, qui n'est pas une simple entreprise de « divertissement » pour un retraité de l'éducation nationale, mais, me semble-t-il quelque chose d'autre.
Je vous appelle, chers lecteurs, à vous joindre à ce combat. Là où vous êtes, affirmez vos convictions, mais faites-le avec compétence ( cela s'acquiert par l'effort et le travail), sans fanatisme et sans haine. N'hésitez pas, quand vous êtes sur Internet, à intervenir, dans les discutions, par les commentaires, etc.
Le silence, est une compromission, une démission. Voyez la réaction de notre lecteur dont je parlais plus haut. Et pourtant c'est un homme dynamique, et dont la pensée est acérée A laisser « l'ennemi » s'exprimer seul, on donne l'impression aux lecteurs ( au public en général ) qu'ils sont seuls ( alors qu'il n'en est rien ) à avoir leurs convictions, et à renoncer d'avance à toute résistance.
Je termine cette amicale exhortation en vous invitant à lire sur le même sujet que l'autre jour l'intéressante interview de Pierre Cassen que vous trouverez ci-dessous, en même temps que le lien qui conduit au site où il s'exprimait.
Edouard Boulogne.
http://www.ndf.fr/identite/13-06-2011/pierre-cassen-retrouvons-ce-petit-cote-guerrier-que-nous-avons-perdu?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29&utm_content=Yahoo!+Mail Pierre Cassen : « Retrouvons ce petit côté guerrier que nous avons perdu !»
Par Eric Martin le 13 juin 2011 dans Histoire de comprendre, Identité, La une, Poli tics avec 1 Commentaire
Nouvelles de Francea rencontré un homme de gauche pas comme les autres : Pierre Cassen. Ancien syndicaliste, ce militant laïque et féministe a cofondé Riposte laïque. Théorie du gender, « mariage »homosexuel, féminisation de notre société, islamisation… l’homme nous livre le fond de sa pensée. « Certaines amies vont tousser… mais j’assume ! »fait-il mine de craindre, le sourire aux lèvres. Entretien choc.
Pierre Cassen, que pensez-vous de l’introduction de la théorie du genderdans les programmes de Sciences de la Vie et de la Terre de classe de 1ère dès l’année prochaine ?
Tout d’abord, le responsable de Riposte laïque que je suis vous répondra que la question fait débat dans nos rangs. Comme vous le savez, Christine Tasin(Présidente de Résistance républicaine, ndlr) y est très hostile. Dans le numéro de Riposte laïque qui doit paraître lundi soir, Anne Zelinskys’y déclare plutôt favorable. Ce que je peux vous dire, c’est que les échanges sur cette question ont été passionnés lors de quelques échanges rédactionnels, dans la meilleure tradition de Riposte laïque qui ne considère pas les divergences publiques comme une faiblesse. Il n’en reste pas moins que l’immense majorité de nos rédacteurs ne veulent pas de la théorie du genderdans les programmes de biologie…
Mais vous, Pierre Cassen, qu’en pensez-vous ?
Je me demande dans quel monde je vis. S’agit-il d’un monde où il ne s’est rien passé depuis 40
ans, où les femmes sont opprimées quotidiennement par les hommes, où elles sont condamnées à avoir 10-15 enfants, à rester avec le même homme jusqu’à la fin de leur vie ? A l’évidence, non. Je
m’interroge sur les intentions du ministre de l’Education nationale : souhaite-t-il faire émerger un homme nouveau, digne des modèles totalitaires fascistes ou staliniens ? Qu’il n’y ait plus de
différences entre les sexes, plus de particularités ni féminines ni masculines et ainsi créer l’Humain avec un grand « h » ? On est en pleine négation de ces différences et je ne peux
m’empêcher de la comparer au totalitarisme antiraciste qui force à croire qu’il n’y aurait qu’une seule race, le genre humain et qu’il n’y aurait pas de Blancs, pas de Noirs, pas de Métisses, pas
d’Asiatiques… On nie certaines réalités comme l’explique Christophe Bentz dans son dernier
livre, Décrypter l’antiracisme
en 1 heure. Il y a une volonté de tout niveler, d’homogénéiser coûte que coûte. Avec ce projet monstrueux, on a affaire à des nouveaux mutants : l’homme n’a plus le droit d’être blanc et
le métissage devient obligatoire. Il n’est plus possible d’être homme ou femme, il faut être hermaphrodite, les rapports de séduction deviennent impossible… Je trouve cette société épouvantable !
Même Elisabeth Badinter, qui affirmait dans L’un et
l’autre que, de plus en plus, l’homme est une femme et la femme un homme, préconisant un modèle humain presque asexué, est revenu sur ce type
d’affirmations, provoquant l’hostilité de certaines féministes. Elle a compris que faire passer l’homme pour un salaud, un violeur en puissance, c’était faire fausse route. L’évolution du
discours d’Elisabeth Badinter sur la sexualité est intéressante : elle pointe du doigt le discours de certaines féministes selon lequel l’homme devrait s’adapter à la sexualité dite féminine,
telle que des féministes lesbiennes l’entendent. Il ne faudrait que des caresses et l’acte sexuel ne devrait pas durer. Le côté conquête devrait disparaître, la complicité aussi. Comme le
dit Eric Zemmour dans Le premier
sexe
, on est dans une mauvaise lecture d’un mauvais féminisme et l’homme du XXIe siècle est devenu une femme. Et bien, moi, cela ne me convient pas du tout : j’estime que, sans
tomber dans les stéréotypes du macho, il est permis de ne pas souhaiter vivre dans une société qui retire à chacun les repères dont il a besoin. Après, à partir de ces repères, chacun doit
pouvoir choisir son mode de vie. C’est pour cela que le discours victimaire d’une catégorie d’homosexuels est insupportable. Ils ne risquent pas d’être ratonnés, en France au XXIe siècle, que je
sache ! La France a été capable d’accepter un Bertrand Delanoëmaire de Paris, ou un
André Labarrèremaire de
Pau, j’en ai assez d’entendre parler d’homophobie à tout bout de champ !
Que pense l’homme de gauche que vous êtes du « mariage »homosexuel et de l’adoption ?
J’ai un désaccord fondamental avec Christine Tasin sur cette question : je suis hostile au « mariage »homosexuel et à l’adoption. Le mariage unit un couple : un homme et une femme. Je suis par contre pour l’égalité des droits (fiscaux, patrimoniaux). Mais le mariage en mairie est une institution officielle et je n’ai pas envie qu’il serve à officialiser un certain nombre de situations dont je suis partisan qu’elles puissent se vivre. Quant à l’adoption, je suis contre. C’est déjà très difficile lorsqu’il y a un père et une mère adoptants du fait du déracinement, du nouveau milieu ! Je suis moi-même très réservé sur l’adoption d’un parent isolé. Ce que j’ai pu constater, c’est que certaines femmes qui adoptaient seules n’étaient manifestement pas toujours préparées et qu’il manquait souvent, dans ce cas, à l’enfant une certaine autorité masculine… Que dire d’un homme seul ? La réussite d’une adoption est suffisamment incertaine pour qu’on impose au gamin une épreuve supplémentaire !
J’en reviens à votre question du début, mais ce qui me dérange dans les nouveaux programmes de l’Education nationale, c’est cette impression qu’ils donnent, à savoir qu’il n’est pas normal que les homosexuels soient si minoritaires en France. On en arrive à se demander pourquoi les hétérosexuels représentent la majorité de la population ! Comme si une société idéale était une société où 50% de la population serait hétérosexuelle et 50% homosexuelle. Pour autant, je précise n’avoir aucun problème avec l’homosexualité. Je serais le premier à m’élever contre les persécutions d’homosexuels. Mais je n’ai pas envie de vivre dans une société avec 50% d’hétérosexuels et 50% d’homosexuels. Cette bien-pensance est fatigante. Si ça continue, bientôt, on verra des gens portant des t-shirts avec le message suivant : « Je suis homosexuels, pourquoi pas toi ? »
On a le sentiment qu’une minorité d’homosexuels s’exprime au nom de tous les homosexuels qui ne demandent rien d’autre que l’indifférence…
C’est tout à fait ça. Il est également probable qu’il y ait dans certains milieux gauchistes la volonté de casser des repères de société. Et inévitablement, des homosexuels sont abusés par un certain discours d’égalité. Sans parler d’une volonté d’exhibitionnisme, avec un personnage comme Noël Mamère, et son grotesque « mariage »de Bègles. Une vraie caricature ! Il faut revenir sur cette volonté de certains d’émasculer les hommes. Plus grand monde ne se retrouve dans une société où le seul discours viril est celui des musulmans. Je suis consterné par la fascination de certaines jeunes filles françaises européennes vis-à-vis du machisme primaire brutal exprimé par les tenants de cette religion. Mais il faut bien reconnaître qu’il répond à un manque. J’ai des copines de 60 ans qui me confient commencer à en avoir ras le bol des mecs sans couilles, excusez le langage, qui s’excusent tout le temps, incapable de prendre des initiatives ou même de s’affirmer ! Aujourd’hui, les racailles de banlieues agressent des petits mecs français, incapables de se défendre. C’est à l’image de notre civilisation, plus capable de se défendre face à un projet politico-religieux qui ne recule devant rien pour imposer son sexisme, son machisme. Je n’ai pas envie que nous leur ressemblions, mais sachons au moins ne pas baisser les yeux et s’affirmer. Retrouvons ce petit côté guerrier que nous avons perdu !
Sincèrement, vous qui avez beaucoup fréquenté les milieux féministes et homosexuels, vous auriez tenu ce discours il y a 10 ans ?
(hésitations) Peut-être, mais je n’aurais pas expliqué les choses d’une manière si crue pour ménager certains amis. Malgré tout, j’ai toujours été exaspéré par ce côté castrateur que l’on retrouve chez certaines féministes. Il y a, je crois, deux sortes de féministes : celles qui aiment les hommes et qui ne leur demandent pas de s’excuser pour leur virilité, ouvertes à la séduction. Et il y a les épouvantables castratrices, de vrais dictateurs qui exigent de vous des excuses toutes les 10 minutes parce que vous seriez un salaud issu du patriarcat et de 2 000 ans d’oppression. Elles cherchent à vous culpabiliser quand vous avez une attitude masculine, lorsque vous trouvez attirante, désirable une femme, ce qui ne veut pas dire qu’il faille se comporter comme un gros beauf et avoir une attitude indécente, attention ! Ces féministes – j’en ai rencontré dans les années 70-80… – ressentent le rapport amoureux comme le signe d’une pression sociale qui amène l’homme à être conquérant. Leur féminisme masque en fait un puritanisme inavoué.
L’instauration du « mariage »homosexuel ne risquerait-elle pas d’entraîner la légalisation de la polygamie?
Je tiens tout d’abord à m’élever contre l’amalgame réalisé par certains musulmans qui consiste à mettre sur le même plan la polygamie et le fait qu’un homme – ou une femme – marié(e) ait une ou plusieurs maîtresse(s), – ou amants – ce qui constitue une transgression amoureuse importante dans nos sociétés. Cela ne m’empêche pas d’être ému quand je rencontre des couples toujours unis après 50 ou 70 ans de mariage. La richesse de notre société provient justement de ces différents modèles. Dans la polygamie musulmane, il y a un rapport dominant/dominé qu’on ne retrouve pas dans une vie amoureuse parfois plurielle que l’on peut rencontrer dans nos pays.
A partir du moment où le « mariage »homosexuel est légalisé, où on assiste à un dépassement du mariage entre un homme et une femme, c’est la porte ouverte à l’offensive des partisans de la charia. Je connais des gens qui vivent à trois, comme dans le film « Pourquoi pas ?« de Coline Serreau. Mais je n’ai pas envie que le mariage soit possible entre trois personnes ! Les partisans du « mariage »homosexuel ne se rendent pas compte de la boîte de Pandore qu’ils sont en train d’agiter…
Aux Nouvelles de France, nous partageons votre avis sur le « mariage »homosexuel et l’adoption. Comment est-ce possible, selon vous ?
Je pense que c’est l’envie de ne pas voir la société partir n’importe comment qui nous rapproche sur ces points. Vous comme moi ne souhaitons pas voir notre modèle de société continuer à être détricoté…
Un an pile après l’apéro saucisson-pinard et au même endroit, vous appelezà « [venir] tous le 18 juin dire que vous aimez la France et ses chansons ». En quoi va consister cet événement ?
Nous allons chanter l’amour de la France pendant deux heures et 25 chansons : la Marseillaise, le Chant du départ, le Chant des partisans, à boire (« Chevaliers de la Table Ronde »). Sans oublier l’amour de Paris avec des chansons d’Edith Piaf, Yves Montand, Jean Ferrat, Michel Sardou… La culture musicale française que menacent le rap et la musique anglo-saxonne va être mise à l’honneur samedi 18 juin. On y tient ainsi qu’à notre histoire et aux messages qu’elle véhicule alors que les pressions pour que la France disparaisse se font de plus en plus fortes. J’en profite pour préciser qu’aimer la France et sa culture musicale, ça n’est pas être xénophobe, fasciste ou d’extrême-droite. Puis, pendant une heure, il y aura des prises de parole d’Oskar Freysinger, conseiller national UDC, deTom Trento, le directeur du Florida Security Council, lui aussi présent aux Assises internationales sur l’islamisation du 18 décembre 2010, de Christine Tasin, de moi-même. Le rassemblement aura lieu au même endroit que l’année dernière, devant la plaque du 11 novembre 1940 qui commémore le premier acte de résistance de la jeunesse française et parisienne. Nous donnerons aussi la parole à quelques jeunes qui incarnent l’avenir et la résistance, notamment face à l’islamisation de notre pays et aux menaces contre sa souveraineté. Il faut bien comprendre que l’islam est le fer de lance d’une offensive contre la France, dans le cadre de l’Union européenne et de la mondialisation ou du mondialisme, appelez ça comme vous voulez, qui cherche à briser les Etats-nations et à substituer les populations.
Dans un contexte où le débat sur l’identité nationale a été rendu impossible par toute une frange de la gauche, où Riposte laïque est traînée devant les tribunaux pour avoir dénoncé l’islamisation de la France, où Eric Zemmour est condamné pour avoir dit des évidences, où Robert Ménard se fait virer de RTL pour avoir commis un délit d’opinion, au nom des principes de liberté d’expression, de laïcité que l’islam n’est pas capable d’accepter, au nom de la reconquête de la France et de la préservation de nos valeurs, venez ! La démocratie et l’islam ne peuvent pas cohabiter, l’un(e) va l’emporter sur l’autre. Agissez avec nous pour que ça soit la bonne !