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10 Décembre 2009
Pourquoi sortir du système solaire ?
Parce que, par son activité propre, le soleil a une influence déterminante voire néfaste sur le climat.
Des chercheurs de la DTU (Université Technique du Danemark) ont étudié les effets des éruptions solaires sur le climat terrestre. En effet, grâce aux rayonnements cosmiques qu'elles envoient sur Terre, le climat peut se trouver sensiblement modifié. [...] Lorsque les explosions solaires interfèrent avec les rayonnements cosmiques, il y a une baisse temporaire du nombre d'aérosols dans l'atmosphère qui servent de nucléi de condensation pour les nuages. A cause de cette baisse, on observe, 7 à 8 jours plus tard, une réduction de 7% environ de la masse liquide dans les nuages. Le rapport conclut sur un lien à grande échelle entre le Soleil, les rayonnements cosmiques, les aérosols* et les nuages composés d'eau liquide. [...]
* Les aérosols atmosphériques sont des particules très fines suspendues dans l'air. Ils sont formés par dispersion des substances à la surface de la Terre, ou par réaction de composants chimiques dans l'atmosphère.
L'impact des explosions solaires sur l'ennuagement terrestre est énorme", explique Hernik Svensmark. "Cette réduction de 4 à 5% du nombre de nuages peut sembler ridicule, mais cela augmente temporairement les rayonnements solaires arrivant sur l'océan d'environ deux watt par m2, ce qui est équivalent au réchauffement terrestre total observé durant le 20ème siècle."
Pour en savoir plus :
En résumé, le large consensus se dégageant de Copenhague permet d'envisager l'avenir avec davantage d'optimisme.
L'hypothèse de la sortie du système solaire a été évoquée quand il s'est avéré que toutes les autres voies comportaient de nombreuses incertitudes quand elles ne faisaient pas l'objet de sérieuses objections.
En attendant la finalisation de ce projet lors de la prochaine rencontre, les participants au sommet de Copenhague ont ratifié à l'unanimité un certain nombre de mesures dû prendre des mesures radicales, dont celles - transitoire - de lutter contre l'anarchie solaire.
Pour financer une politique que certains n'hésitent pas à qualifier d'impérative, la Communauté internationale a retenu le principe d'une taxe solaire annuelle dont l'assiette sera le m2 d'installation solaire :
Zone A (Europe, Australie, Nouvelle-Zélande, Turquie, Japon ) : 8,711 $ par m2 / annuelZone B (Afrique, Amérique Latine - à l'exception du Mexique, du Brésil, du Chili, de la Colombie et de l'Argentine) : 1,366 $ par m2 / annuelZone C (Amérique du Nord, Mexique, du Brésil, du Chili, de la Colombie et de l'Argentine) : 1,067 $ par m2 / annuelZone D (Chine, Russie, Corée du nord) : 0,348 $ par m2 / annuelZone E (Albanie, Inde, Pakistan et extrême-orient) : 0,297 $ par m2 / annuelZone E (Golfe persique, Émirats, Lybie, Syrie, Irak) : 0,116 $ par m2 / annuel
Nous voilà rassurés.