Harcèlement : Et Roumanoff au-ssi !

Quand certaines femmes balancent, peut-on dire qu'il s'agit aussi, parfois, d'accusations de mauvais goût, par dessus l'accusation de mauvaises mœurs.

Au moins, jadis, les maisons closes permettaient d'enfouir sous le talc et les fessées, diverses manières qui, si elles n'aboutissaient pas au mariage pour tous s'ajustaient toutefois au principe de sexualité pour tous infusé, en Amérique comme en France, dans le grand bain de libération de mai 68.

Il fallait s'attendre à ce que le flower power aille un peu à l'encontre de :"Dites-le avec des fleurs". Un peu comme les maximes révolutionnaires et et certains rédacteurs de la célèbre Encyclopédie de Diderot, !

Nous n'en sommes pas moins désolés pour Anne Roumanoff, ( femme sympathique ) et pour toutes les femmes qui font de mauvaises rencontres. Une mère disait à sa fille que la fuite des occasions était le commencement de la sécurité, et qu'il ne fallait pas oublier non plus que les cochons ( et cochonnes ! L'écriture inclusive a parfois des mérites ) étaient omnivores. Que personne, donc, n'était à l'abri. Elle voulait dissuader sa fille de s'éclater, de peur qu'elle éclatât pour de bon, à moins qu'elle préférât la compagnie des bœufs à celle des taureaux qui chargent si volontiers. Elle s'efforçait aussi de lui dire qu'il y avait des moyens assez empiriques de reconnaître les uns et les autres. Il suffisait de porter ses regards où il fallait. Toujours cette vieille parenté que les philosophes connaissent bien entre tension et attention.

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