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13 Mars 2017
Il souffle comme un phoque le petit Benêt. La campagne électorale, c'est plus dur qu'il ne croyait, même quand on est de gauche, et qu'on a une majorité de médias aux ordres.
Car il existe encore de petits villages qui résistent encore, plutôt teigneux, et qui n'ont pas renoncé à vaincre à la fin ( en final de compte comme on dit chez nous ). Parmi eux, Le Scrutateur bien sûr, et Dreuz info, et quelques autres encore. Et pour leurs assiégeants, la vie n'est pas toujours rose, heureusement.
Ainsi nous sommes quelques-uns a faire savoir que Benêt a été mis en examen.
Pourquoi ? Mais lisez la suite. ( LS ).
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Libé nous accusait de Fake News parce que l’info était vraie ! La gauche déjà larguée devenait plus débile encore.
Une scribouillarde de Libération, Delphine Bernard-Bruls, embauchée au rabais parce que Libé ne peut plus se payer des vrais journalistes, n’a pas trouvé mieux qu’inventer la «presque Fake News» pour tenter de sauver la face. Dans 20 minutes, un journaliste aussi bête, O. P.-V. lui a emboîté le pas, suivi par l’Express.
Comprenez que chez Libération et 20 minutes, c’est un peu la panique. Ils n’ont rien à raconter et se contentent de recopier les mêmes dépêches AFP qu’on trouve partout sur internet. Leur lectorat a fondu. Ils sont tellement formatés qu’ils sont enfermés dans la misère intellectuelle.
Donc Libération et 20 minutes expliquent que l’information que nous avons publiée sur la mise en examen de Benoît Hamon est : «fausse – presque fausse mais pas tout à fait fausse – tout de même un peu vraie – totalement vraie mais ne mérite pas qu’on en parle».
Delphine Bernard-Bruls parle d’intox en ajoutant que ce n’est pas de l’intox : Hamon « a bien fait l’objet d’une plainte pour “injure publique envers un particulier” écrit-elle.
Elle nous reproche de dénoncer le “silence assourdissant accompagnant cette mise en examen”, et avoue au même paragraphe que les médias n’en ont pas parlé car “si les médias se taisent, c’est d’abord parce que cette mise en examen remonte à quelques mois déjà : elle date du 7 décembre 2016.” La PenelopeGate dont Libé parle plusieurs fois par jour, elle remonte à quand déjà ?! Avouez qu’ils se ridiculisent !
Bernard-Bruls accuse ensuite “Dreuz. info… de site aux informations parfois douteuses ou non vérifiées”, mais immédiatement reconnaît que l’info a été révélée “par le site le Réveil normand, ce 28 février.”
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⇒ En parfaite transparence, je dois vous avouer que je savoure de voir ces journalistes incapables et fainéants sombrer dans cette petite misère, j’y passerai des heures à les lire si je n’avais rien de sérieux à faire…
Lucas Burel, dans l’Express, m’a bien fait rire aussi, lorsqu’il a voulu démontrer que la mise en examen de Hamon n’a rien avoir avec les affaires Fillon et Le Pen !
Le malhonnête journaleux écrit :
“Pour autant, la comparaison du cas de Benoît Hamon avec les procédures qui visent les candidats de la droite et de l’extrême droite est fallacieuse. Non seulement la plainte pour injure publique déposée à l’encontre du vainqueur de la primaire à gauche n’a débouché sur aucune enquête mais la mise en examen, dans le cas d’injure, est automatique, sans préjuger de la décision finale.”
Ce que le Burel buriné oublie, c’est que ni François Fillon ni Marine Le Pen n’ont été mis en examen– Benoît Hamon oui. Ca n’a effectivement rien à voir, mais n’arrange pas Hamon.
Il y a bien eu complot médiatique puisqu’aucun média n’en a parlé sauf Dreuz.
Les médias régionaux sont souvent plus consciencieux que les Parisiens.
Libé l’Express et 20 minutes démontrent pourquoi ils coulent, pourquoi ils tentent d’éloigner les gens de nos sites, et pourquoi ils échouent : sans nous, l’information resterait partielle et partiale toujours dans le sens de la gauche.
L’affaire est bien plus sérieuse que pour François Fillon et Marine Le Pen qui eux, contrairement à Hamon, n’ont pas été mis en examen : je sais bien qu’Hamon n’a pas la moindre chance, mais imaginez un président condamné parce qu’il insulte ses concitoyens.