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13 Juillet 2014
Au Brésil, ce soir, c'était la finale de la coupe du monde de football, et l'Allemagne s'est imposée par un but à zéro, après prolongation.
La première mi-temps avait été bonne, avec une légère domination allemande face à une équipe d'Argentine combative et, somme toute excellente. La deuxième partie commença assez mal, du point de vue allemand. La Manchaft était dominée. Mais les Argentins ne marquaient pas de but. Or, face aux germains, c'était plus qu'une imprudence, une faute. On ne joue pas à ce jeu là avec eux. Subir n'est pas leur fort. Passée la soixantième minute, les joueurs d'Outre-Rhin retrouvaient leur allant, leur maîtrise, leur « envie » ( comme on dit depuis le passage au firmament du foot, de l'immortel Raymond Domenech ), sans réussir toutefois à désarçonner leurs rivaux de la fière Argentine.
Dès lors une prolongation de trente minutes apparaissait inévitable. Ce qui fut.
Dès l'entame les Allemands montraient outre leur savoir-faire, leur furia très francese, comme on dit dans l'histoire de l'Europe très marquée par l'ardeur militaire des Français du XIV ème siècle, jusqu'en 1918.
Ce n'est qu'à cinq minutes de la fin, alors que l'on voyait poindre l'épreuve si redoutée des tirs au but que le jeune Götze, 22 ans, marquait pour son camp.
Les efforts argentins, s'avéraient impuissants à rétablir une situation devenue désespérée.
Mwen cètin què la Fwans té pé rivé en finale. Cé paw menm ésco la, zewo a ion, kè cé mésyés la fouté nou, en kaw dè final. Et nou pli fo kè cé awgentins la.
Ça nou ké vwè en 2018.
Jeannély d'Om-Hota.