Se plaindre est une chose, par Eric Nogard.

 Eric E.G. NOGARD                                                                              Article 72 

  Courriel : eric.nogard@orange.fr                                     

                                                                              Amie du Canada                                  

                   Fort-de-France, le Vendredi 03 Décembre 2010 

Se plaindre est une chose !..

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Se plaindre est une chose dont chacun sait qu’elle est du dernier banal.

Sitôt parvenu en âge de le faire, chacun s’est plaint de quelque chose, à tort ou à raison, innocemment ou pas, en toute bonne foi ou par malice, voire par méchanceté.

Qui, quel parent, quel particulier, quel médecin, quel Juge, quel collègue, quel dirigeant n’a jamais recueilli une plainte ou n’en a jamais proféré une.

Une plainte de celui-ci, de celle-là, pour ceci, pour cela, de ceci, de cela, de n’importe quoi, par n’importe qui.

Au point qu’on puisse affirmer que se plaindre est un besoin vital chez cet étrange animal qu’est l’être humain.

Dieu merci, à moins d’avoir perdu la raison ou d’être sur le point de la perdre, on ne se plaint pas dans le désert… ni d’ailleurs aux étoiles, à moins d’être amoureux et pour avoir le cœur bien malheureux…

Mais, si se plaindre est une chose,

Se plaindre à bon escient en est une autre.

Dès lors,

• Quel reproche faire à un plaignant dans la mesure où se plaindre est chose naturelle.

• En va-t-il de même, s’agissant de l’oreille qui recueille une plainte ?

Pas du tout… pas du tout… car ce serait le comble !..

Surtout quand on est investi de l’autorité parentale.

Surtout quand on a fait serment à Hippocrate.

Surtout quand on est Juge… car on est juge.

Un parent, un arbitre, un médecin, un Juge doivent apprécier en leur âme et conscience,

Puis rendre leur décision, leur arbitrage, leur diagnostic ou leur verdict,

De façon souveraine, ce que comprend fort bien la LOI.

Ce que je comprends moi-même qui ai la tête davantage montée en enclume qu’en pâte à modeler.

Et c’est à ce titre que j’ose humblement poser la question de savoir :

Si les nombreuses Associations qui ont eu à se plaindre de Monsieur HUYGUES-DESPOINTES au point de le traduire en Justice pour :

« Incitation au Racisme et Apologie de Crime contre l’Humanité »

Monsieur DESPOINTES ayant dit en privé à un JOURNALISTE INDELICAT :

« Je n’approuve pas le métissage, NEANMOINS, mes enfants et mes petits enfants épousent qui ils veulent et j’y consens ».

Alors que ces mêmes Associations aux larmes de crocodile et aux grimaces de singe n’ont vu aucune incitation au racisme ni aucune apologie de crime contre l’humanité dans le :

« Le Pays est à nous ! Foutons les B. dehors »

Proféré et hurlé de part les rues et relayé à qui mieux-mieux par les MEDIAS dans leur frénésie la plus grotesque.

Dès lors :

En quoi peut-on reprocher à l’un son manque d’inclination pour le croisement avec ceux qui manifestement et collectivement ont crié ne pas vouloir de lui NI de ses semblables.

Dans la mesure ou lesdites Associations ont trouvé normal ce qu’ont proféré les uns, elles sont mal fondées pour se plaindre de l’inclination de qui que ce soit et doivent être déboutées.

En Conséquence, dans l’Affaire Alain HUYGUES-DESPOINTES, Seul le NON LIEU peut se comprendre.

Eric E.G. NOGARD

P.J.: Interpellation demeurée sans réponse d’Eric E.G. NOGARD à S.O.S. Racisme : a paru sur Internet lien http://www.lescrutateur.com/article-a-sos-racisme-par-eric-nogard--41518617.html

A SOS-Racisme. 

Eric E.G. NOGARD

Courriel : eric.nogard@orange.fr

NewsLetter  2009/164

Fort-de-France, le 17 Décembre 2009

S.O.S. Racisme !  Ce Mot de Raphaël CONFIANT…

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Aurez-vous l’obligeance de nous dire quelle est votre « Lecture » de ce mot de Raphaël CONFIANT, Ecrivain Martiniquais, dans son Message du 17 Décembre 2009, d’après la Rédaction de « Montray Kréyol » :

«  Quand à vous, esclave domestique, un jour viendra où la Nation martiniquaise s’occupera de votre sort et celui de vos congénères… »

Quelles conséquences comptez-vous en tirer, dans la mesure où les deniers Publics ne vous feraient pas défaut et que, par voie de conséquence, vous voilà tenu envers tout Français, voire toute l’Humanité.

Eric E.G.NOGARD  

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