La subversion a gagné : certes, elle a été démasquée, et pas un Martiniquais, pas un Guadeloupéen (lucide et libre) n'ignore aujourd'hui qu'une
bande de “mama” (malfrats-manipulateurs) a pris en otage les populations des deux îles dans le but de détruire leurs économies respectives et de pourrir la vie de leurs habitants, avec pour
seul objectif de faire triompher leur haine de la France, des blancs, et de la démonstration évidente que le statut de Département d'Outre-Mer français est de loin le plus enviable de la
région.
Démasquée, la subversion a-t-elle perdu ?
Mais non ! elle a gagné, au contraire. Les LKP et K5F ont sciemment détruit des pans entiers de l'économie. La vérité exige que l'on précise
qu'ils avaient été précédés par un certain Jégo à qui l'on a dû en 2008 des milliers de chômeurs-Jégo (dans le BTP, principalement). Certes M. Jégo avait entamé ses basses oeuvres avant que les
vuvuzelas de Jégoricho ne décidassent de sonner la mort de ce qu'il restait de prospérité dans nos îles en pleine crise mondiale, mais la synergie fut d'une redoutable efficacité, raison pour
laquelle, sans doute, il accorda sa bienveillante protection aux factieux qui mettaient les deux îles à sac.
Les faits sont accablants : l'INSEE publie des chiffres qui n'étonneront que les imbéciles et qui réjouissent certainement déjà les salauds :
c'est ce que voulaient, bien à l'abri de leurs privilèges de fonctionnaires français, quelques légions d'indépendantistes qui n'ont rien à perdre, puisqu'ils sont déjà tous PAV (Pensionnés à
Vie, à défaut d'être Présidents à vie) et assurés de leur statut de confortables retraités (de cette France qu'ils haïssent). Les PAV, assurés de leur bonne fortune, quel que soit le sort des
Antilles et les malheurs des vrais Martiniquais ou des vrais Guadeloupéens, peuvent allumer les incendies qu'ils veulent, ils sont totalement ignifugés.
Pour ce qui est de la Martinique, voici les grandes lignes du fruit de leurs exploits :
Les comptes économiques de la Martinique en 2009 : une récession historique
- La chute de l'investissement mine l'activité
- La consommation des ménages en berne
- Des dépenses publiques contracycliques
- Contraction des échanges extérieurs
- Presque tous les secteurs touchés.
L'oeuvre de démolition n'étant cependant pas achevée, il y a fort à parier que les grands pourfendeurs de pwofitasyon recommenceront leurs
exactions à la première occasion : cela marche si bien !
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=23&ref_id=16749