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2 Février 2012
Surtout, sauver la farce ! Telle est la devise de François Groland, que d'aucuns voient déjà - grâce à la
propagandastaffël - assis sur le trône de la République dans le rôle de Fromage I° de Hollande.
Or François Groland n'est qu'un plaisantin, tout le monde s'en doute plus ou moins, et certains le savent. Dont vous, maintenant.
Quant à son homologue Attali, ce que révèle la machination ci-après nous fait découvrir un aspect encore plus misérable chez celui qui se prend pour le siècle des Lumières à lui tout
seul. Il est vrai que sa carrière de faussaire et de docteur ès plagiat n'est qu'une longue suite d'impostures - dont son passage à la Banque Européenne pourle Développement et la Reconstruction, qui restera à tout jamais l'illustration de son hyper compétence de
génie polymorphe.
Mais ne dites pas d'Attali qu'il est un triste sire, sinon vous pourriez être taxé d'antisémitisme. Attali, comme vous allez vous en apercevoir plus loin, tire toujours en-dessous de
la ceinture. Et ne recule devant aucun artifice pour confondre ses ennemis. En tout cas pour semer la confusion en disposant des leurres autour de ses cibles.
Groland, second couteau de Jacques Attali, cela ressemble autant à l'un qu'à l'autre, dans l'attelage du vice et de l'arrivisme.
Claude Durand, éditeur mythique apparaît comme troisième couteau de cette basse combine, et c'est encore un tigre de papier (hygiénique) dont on découvre certains pans de la nature
et... de la "parfaite" déontologie.
En tout cas, pour l'avenir de la France, c'est assez inquiétant de voir toute la propagandastaffël mobilisée par la promotion de celui qui, somme toute, est avant tout un farceur. Un
farceur qui, naturellement, prend les Français pour des dindons. Or, Groland, le coq, pour l'instant, vole de clocher en clocher, tandis que la poule, qui fait semblant de
suivre son propre itinéraire, fait mousser en direct et à la télé de passionnants artistes ou intellectuels qui peuvent, par inadvertance, pondre quelque encouragement à François
Groland. En direct, et à la télé. La recette est si simple : a) je me cache donc je suis, b) les complices font mousser le tout à la télé.
Après trente ans, Groland nous refait le coup de la reconquête. Sauf que, cette fois, la blague est éventée.
Donc, après DSK le séducteur tout en finesse ; après Martine, la reine du "p'tit canon" ; nous voici aux prises avec François Groland, le roi de la blague téléphonique. Usque non
ascendamus !
Ah ! qu'il serait temps de tirer la chasse sur notre martial candidat socialiste : de quelle nausabonditude n'enfume-t-il pas le vertueux "Espace François Mitterrand" !
La vidéo ci-dessous dure moins de trois minutes, et elle vaut le détour ("détour" est sans doute le mot le plus juste).
Merci Jean-Michel Apathie de nous avoir livré sur le plateau du "Grand Journal" ce "pot aux roses" : c'est vraiment un morceau de choix dans l'anthologie de l'éthique socialiste
et... grolandaise !
http://www.nationspresse.info/?p=146168
Même Michel Charasse semble à prendre ses distances avec celui qui se révèle à l'usage, menteur, tricheur - et peut-être même voleur (voleur, pas violeur), qui sait. En tout cas
certainement pas le meilleur fils du monde.