Journée noire et grève blanche pour l'UGTG ( Pseudo LKP ) par Edouard Boulogne.

<br /> <br /> bonjour et merci de permettre aux citoyens de Guadeloupe de s'exprimer<br /> <br /> <br /> Oui Halte au Terrorisme économique, que cela soit éradiquer et puni par la loi, car offrir une tribune à ces propos maleillants ne profite pas à quiétude des insulaires et des professionnels,<br /> lassent de subir sans broncher.<br /> <br /> <br /> A ce compte là, les TPE et PME de Guadeloupe vont supprimer tout simplement l'accord illégitime BINO, signer sous la menace et le chantage<br /> <br /> <br /> j'apporte également mon soutien à l'ancien propriétaire de campêche, spoilier par pratique mafieuse, victime cruxifiée sur la place publique, alors que son entreprise était ... un fleuron de<br /> l'insdustrie du secteur avec plus de 50 % de part de marché<br /> <br /> <br /> Que ce mouvement crée de la richesse pour le pays, il sera respecté pour son son engagement démocratique<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> M. Kézako etc. a tort de prendre à la rigolade les manifestations du LKP-UGTG. Comme le Scrutateur, je suis plutôt d'avis d'insister sur la<br /> nécessité de dénoncer l'attitude criminelle et stupide (mais est-on volontairement un salopard autrement que parce qu'on est métaphysiquement un imbécile ?) des médias. Dans l'état de<br /> Narcissisme destructeur qui anime les opérateurs médiatiques, ceux-ci exercent leur logique jusque dans les derniers recoins de la mauvaise foi et du mensonge. Là est une grande partie du<br /> danger.<br /> <br /> <br /> Les "pitreries" de la clique LKP-UGTG n'ont pas d'autre objet que d'assurer le spectacle. Chacun sait que plus la manipulation est grosse,<br /> mieux elle se faufile dans les méandres de l'imposture. Et bien que confrontés au pitoyable spectacle en place, SPECTACLE DONT ILS ONT TOUTES LES CLÉS DE COMPRÉHENSION, les médias continuent à en<br /> assurer la promotion. C'est une donnée que prennent en compte les experts en communication du conglomérat LKP-UGTG, dont les membres poursuivent leur travail de sabotage en grands professionnels<br /> de la subversion qu'ils sont, principalement grâce au concours actif des grands niais que sont les journalistes, qu'ils drivent comme des ânes sur la route du marché où ils veulent vendre leurs<br /> salades.<br /> <br /> <br /> Le mépris qu'ont les dictateurs, fussent-ils en herbe, pour "leurs" populations (dont ils entendent assurer l'émancipation et le bonheur),<br /> est une constante qui se vérifie chaque jour. Entre Papa Doc (le bon médecin des pauvres) et Papa Dom' (l'emblématique pourfendeur de la pwofitasyon), la frontière est imaginaire : le trust<br /> indépendantiste, et LKP-UGTG peut même s'enorgueillir des coups portés à la population guadeloupéenne : ceux-ci s'apprécient en unités de pertes, de complications, d'empêchements, de<br /> contrariétés, de vol de temps et de souffrances diverses que les rentiers-pwofiteuws d'une administration qui les sponsorise scandaleusement infligent à une population dont la subversion se sert<br /> comme combustible. Bien évidemment, les médias  n'en disent rien, alors qu'ils savent ou qu'ils pourraient très facilement savoir. Cependant, ils ont choisi leur camp, et c'est,<br /> comme d'habitude, celui de la casse et de la caricature (cette dernière simplifiant à l'extrême leur travail). <br /> <br /> <br /> Il faut souligner également que le trust LKP-UGTG peut se féliciter de l'admiration enthousiaste que ses hauts faits ont,par le passé,<br /> provoqué chez certains : la lecture, quelques mois plus tard de la prose Jégo-centrique et auto-satisfaite du titulaire de la chaire de l'État dans notre paroisse, permet de mesurer<br /> l'approximation qui préside au jugement de nos administrateurs et le dérisoire dans lequel s'exerce parfois la conduite des affaires publiques.<br /> <br /> <br /> C'est là-dessus que compte le LKP-UGTG. En bon professionnels de la subversion, et ses agents sont conseillés - et peut-être même financés -<br /> de l'extérieur, ne l'oublions pas, ces messieurs savent qu'ils ne courent aucun risque à continuer, et que leur inadéquation ala réalité aucune importance, pour eux, puisque leur objectif n'est<br /> pas là :<br /> <br /> <br /> - à titre personnel, ils savent que leur impunité est garantie, et dans des limites exorbitantes ; ils sont aussi assurés, matériellement,<br /> de n'être en rien pénalisé, et ne n'être privés, ni de traitement, ni de retraite de fonctionnaires, ni de sécurité l'emploi (grâce à la loi française, et notamment au droit social qui favorise<br /> volontiers les exactions prétendument commises dans l'intérêt des travailleurs).  <br /> <br /> <br /> - sur le plan de la technique révolutionnaire, ils savent parfaitement qu'à l'exemple du tambour, c'est le bruit qui l'emporte là où les<br /> paroles sont absentes dès lors que le jeu de la percussion a commencé.<br /> <br /> <br /> - sur le plan de la communication, ils se savent "couverts" par les médias et leurs exactions peuvent se poursuivre indéfiniment.<br /> Techniquement, c'est la présence médiatique qui finit par constituer LE message, pas le contenu du message lui-même. Dès lors qu'ils sont assurés d'une bonne couverture médiatique, et dès lors<br /> que les médias ne chercheront pas à faire la lumière sur le contenu de leur message révolutionnaire, ils ont une assurance de pouvoir, de leur côté, poursuivre à l'infini leurs manœuvres, sans le<br /> moindre risque de contradiction. Même dans l'hypothèse où ils ne seraient pas suivis par plus de cinquante personnes, ils continuerait à bénéficier de tous les privilèges de... l'occupant, car<br /> l'occupation médiatique est le nerf de la puissance subversive.<br /> <br /> <br /> - enfin, sur le plan immatériel, là où de mauvaises influences favorisent de mauvaises causes, l'enthousiasme de M. Jégo et celui des<br /> médias montrent que le caractère ubuesque et caricatural n'atténue pas la menace que représentent ces structures indépendantistes. Le mensonge LKP-UGTG, grâce à la puissance d'amplification<br /> de celui-ci du fait de la complaisance médiatique, peut donc s’étaler sans la moindre égalité des chances en termes de contradiction. Cela justifie que l'on explique que ce que M. Kézako etc.<br /> appelle des pitreries, sont en réalité des actes révolutionnaires parfaitement posés, sachant que le "peuple guadeloupéen" n’est que prétexte et otage de toutes ces manœuvres subversives Sachant<br /> aussi que ceux qui seraient naturellement chargés de les dénoncer en sont au contraire les promoteurs réjouis.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Enfin, petite devinette pour mettre quelques épices dans l’ironie du sort : savez-vous pourquoi la “diaspora” haïtienne des années 60<br /> avait une dent contre la Martinique ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Pas du tout par jalousie comme on pourrait l’imaginer, compte tenu de la différence de “confort citoyen” entre domiens et haïtiens, mais<br /> parce que Papa Doc était tout simplement d’origine martiniquaise, et qu’il fut le premier de sa lignée à naître à Haïti. Évidemment les grands intellectuels de la Martinique, qui pourfendent si<br /> souvent les moulins de l’histoire, non seulement ne s’en vantent pas, mais le dissimulent soigneusement.<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> GRÈV GÉNÉRAL ILIMITÉ ?      A PA SA AN VWÈ !<br /> <br /> MOBILIZASYON ?                 SÈWVIS MINIMÒM !<br /> <br /> MÈSI BONDIÉ, GWADLOUP KÉ DÒMI BYEN OSWÈLA<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Triste constat pour les Guadeloupéens, 87 % d’entre eux estiment que leur situation personnelle n’a guère évolué. Elle s’est même détériorée pour 62 % des sondés. Près de la moitié juge également<br /> que les prix des produits, qui devaient baisser, sont repartis à la hausse. Autant de points négatifs amenant 92 % d’entre eux à se déclarer hostiles à l’appel d’une nouvelle mobilisation. Un<br /> revers semble-t-il pour le Liyannaj Kont Pwofitasyon (LKP )qui avait appelé hier a une manifestation qui n'a réuni que 3000 personnes environ. Les habitants de l’île ne sont plus que 5 % à se<br /> dire prêts à reprendre la lutte dès aujourd'hui pour faire plier l'état et les collectivités .<br /> Le LKP serait-il en perte de vitesse ?<br /> Il y a des signes qui ne trompent pas.<br /> le LKP joue avec le feu , en reconduisant la grève ce jour !<br /> on considère généralement que toute manifestation qui rassemble un nombre élevé de participants n’est plus entièrement contrôlable, le seuil se situant assez bas, aux alentours de quelques<br /> milliers de personnes. Il y aurait deux raisons principales à cela. D’une part, une raison purement morphologique : la masse des manifestants représente une force physique qui peut être<br /> considérable et qui dispose parfois d’un tel avantage numérique sur les forces de l’ordre qu’elle n’est guère canalisable. Par ailleurs, le nombre accroît la visibilité de la manifestation et<br /> donc la probabilité que s’introduisent dans le cortège des éléments enclins à l’action violente. D’une certaine façon, on n’est pas loin ici de la théorie de l’impunité développée par les tenants<br /> de la psychologie des foules selon laquelle plus le nombre de participants à une action est élevé, plus le sentiment que l’on ne risque rien pousse à la violence et aux exactions diverses.<br /> La répétition des manifestations : la répétition des manifestations est la plupart du temps corrélée avec l’apparition de violences. Que l’on songe par exemple aux manifestations de l’affaire<br /> FAIZANT, au conflit de 2009 et qui culmine avec la manifestation particulièrement violente débouchant sur la mort de BINO, etc. Dans les conflits longs, la violence apparaît comme le fruit de<br /> logiques différentes : d’abord, pour éviter la lassitude du public, les organisations ont intérêt à “occuper le terrain médiatique” en sacrifiant à une logique du spectaculaire. Il peut s’agir<br /> aussi d’une logique d’escalade, la violence devenant un moyen de marchandage avec les pouvoirs publics. Enfin, plus simplement, on peut évoquer un effet de “ras le bol” devant une mobilisation<br /> longue qui tourne court sans avoir débouché sur des concessions satisfaisantes comme c’est le cas de figure aujourd’hui du non respect supposé des accords bino et du refus de réunir la commission<br /> de suivi .<br /> Or, c’est justement pendant cette période de perte de vitesse du mouvement LKP , alors même que les syndicats n’ont pratiquement rien obtenu de leurs revendications,notamment un rendez - vous<br /> avec le préfet pour la réunion de la commission de suivi , que les violences feront selon toute vraisemblance leurs  apparitions comme hier en MARTINIQUE  dans le conflit enlisé de<br /> monsieur bricolage .<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Comme dirait Dutronc : « J'ai fait le pitre à Pointe-à-Pître ».<br /> <br /> <br /> Mais quand les aspirants dictateurs, dont le projet criminel est de transformer la Guadeloupe en Haïti-bis, comprendront-ils qu'il ne font rire personne  ?<br /> <br /> <br /> Quand comprendront-ils qu'il serait temps de se comporter en grandes personnes plutôt qu'en vilains bébés qui, sous prétexte qu'ils préfèrent les jouets des voisins, s'amusent à casser les leurs<br /> ?<br /> <br /> <br /> C'est d'autant plus méprisable de leur parts qu'ils savent pertinemment que Bonne-Maman-la-France va sécher leurs grosses larmes de colère et leur donner encore plus de joujoux, comme après<br /> chaque petit caprice ?<br /> <br /> <br /> Ah ! quand on est un enfant gâté, que ne ferait-on pas pour attirer l'attention ! Certes, c'est en espérant gagner un peu d'affection. Mais comment expliquer à des esprits trop modestes, et qui<br /> n'ont pas encore franchi le stade sadique-anal, que ce n'est pas en semant de la haine que l'on récolte de l'amour ?<br /> <br /> <br /> En résumé, le LKP irait-il de mal en pitre ?<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> GRÈV GÉNÉRAL ILIMITÉ ?      A PA SA AN VWÈ !<br /> <br /> <br /> MOBILIZASYON ?                <br /> SÈWVIS MINIMÒM !<br /> <br /> <br /> MÈSI<br /> BONDIÉ, GWADLOUP KÉ DÒMI BYEN OSWÈLA<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />