Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
17 Octobre 2013
( Ariza Khiari, vice présidente,
scialiste, du Sénat ; la manman d'Amin.
Jean Sarkozy, il y a cinq ans, à peine sorti de l'adolescence avait voulu épater son père, en briguant la présidence de l'EPAD, un poste très important. Informé, l'ancien président de la République entrevit les ennuis que cela allait lui procurer, car on risquait de voir derrière l'entreprise du fils, la main du père. Et il est vrai que Jean Sarkozy était quand même un peu jeune pour briguer un tel poste. Le déchainement de la presse, et des médias de gauche contre, non Jean, mais contre son père, dépassa l'imagination.
Voici que ça recommence, et pour l'obtention du même poste à la direction
de l'Epad
Mais cette fois avec un fils d'élue socialiste à la place de Jean Sarkozy ! un bon petit gars, Amin Khiari, le fils de la vice-présidente socialiste du Sénat, Ariza
Khiari, ( un de ces noms qui sonnent bien, comme jadis un prince de Condé, un marquis de Rochechouard !!! ) est en passe d’être choisi pour devenir le futur directeur général de l'Epad le poste
que briguait Jean Sarkozy et qui était à l’'origine de la fameuse polémique. A vous, lecteurs amis, et très chers, de vérifier si les commentateurs seront aussi virulents
avec Khiari qu'ils l'avaient été avec Sarkozy…
Les socialistes se dépêchent, pendant ces cinq ans pour trouver
d'autres postes à leurs proches, en plus de tous ceux qu'ils possèdent déjà, et qu'ils possédaient quand la « dwate » était au pouvoir. Après Audrey Pulvar, Thomas Hollande, Ségolène
Royal, Valérie Trierweiler et Véronique Bartolone (l’épouse du président socialiste de l’Assemblée) , un nouveau membre de la famille d’'un poids lourd socialiste a trouvé, par le plus grand des
hasards, un super boulot!!!!! Pour enfoncer le clou, il se trouve que ce jeune homme en question est connu pour s'être fait virer en 2010 de son poste de directeur du Pôle
universitaire Léonard de Vinci, au motif de « carences dans sa gestion » , notamment pour s'être versé un salaire trop important de 165.000 euros par an, augmentés d'une prime variable. Un vrai
modèle de morale pour la jeunesse de la gauche caviar …. Et exemplaire !
Le poste de directeur général de l'Epad, qui avait valu à Jean et Nicolas Sarkozy de subir une curée médiatique inouïe, va donc être dévolu, de manière délicieusement ironique, à l'enfant d'un
ponte socialiste. Les accusations de népotisme, de totalitarisme, les unes ravageuses, les chroniques assassines, les caricatures virulentes vont-elles toucher le Parti
socialiste comme l'UMP de l'époque ?
Les médias seront-ils cohérents en condamnant violemment cette nomination ? Malheureusement, il est permis d'en douter. Il y a tout à parier qu'ils oublieront gentiment de
parler de cette affaire.
Les socialistes osent vraiment tout ! Après avoir déversé leur haine sur Nicolas Sarkozy pendant des mois, et des mois, sans relâche…. Très bien aidés par leurs copains journalistes qui tiennent tous les grands médias, voilà que nos socialos se préparent à mettre (en douce) et sans scrupule le fils incompétent d'’une sénatrice PS. Groland a ciblé sa campagne électorale uniquement sur la morale et les mauvais comportements de Nicolas Sarkozy, en promettant qu'il serait un candidat exemplaire. Ainsi, Normal 1er promettait d'imposer à ses troupes un peu de dignité et d'adopter un comportement plus éthique. C’est raté ! C'est contre sa nature!!! Lecteurs, il vous appartient de vous substituer à cette presse pourrie et sectaire et à faire savoir ce que les journalistes nous cachent .... prenez une minute seulement et faites suivre..Il faut que tout le monde soit au courant, il faut en parler autour de nous, car beaucoup de personnes ne vont sur internet ( hélas ! ) que pour lire des blagues et zappent quand il faut lire un message qui dépasse 3 lignes. Nous sommes en train de nous faire "b....." par cette clique de menteurs et de dissimulateurs , aidés par la clique journalistique qui ne cache pas d’avoir voté socialiste à 96 % (et 100 % à l’école de journalisme) Voir la source : http://www.lexpress.fr/actualite/politique/epad-une-polemique-nauseabonde_1167096.html <http://www.lexpress.fr/actualite/politique/epad-une-polemique-nauseabonde_1167096.html>
Par LEXPRESS.fr, publié le 27/09/2012 à 16:45, mis à jour le 28/09/2012 à 16:28
Partager822 Tweeter62 4
EPADESA - L'Epad est une fois encore dans la tourmente: un "fils de" tente d'en prendre la tête. Pas le même, cependant...
AFP/LIONEL BONAVENTURE
Après Jean Sarkozy, Amin Khiari. La probable nomination du fils de la vice-présidente du Sénat Bariza Khiari à la tête de l'Epadesa a réveillé les tensions autour de l'établissement public d'aménagement de la Défense. Alors que l'UMP dénonce un conflit d'intérêts et rappelle aux socialistes les cris d'orfraies qu'ils avaient poussés il y a trois ans, la sénatrice centriste Nathalie Goulet dénonce, elle, une "polémique nauséabonde". A l'époque, Jean, fils de Nicolas Sarkozy, avait tenté de prendre la tête de l'établissement.
"De quoi
parlons-nous? D'un homme diplômé de l'Essec, qui a créé un master d'ingénierie des achats, spécialiste reconnu de gestion et qui a dirigé le pôle universitaire Léonard de Vinci" assure la sénatrice de l'Orne dans un communiqué. "Qui pourrait oser comparer le cursus et les
compétences d'Amin Khiari" à celles de Jean Sarkozy qui à l'époque de l'affaire de l'Epad en 2009 n'était qu'"un jeune homme de 22 ans incapable de décrocher sa première année de droit?".
"Quelle angoisse pour tous les parents qui ont des responsabilités! Faut-il que leurs enfants cherchent à exercer leurs talents à l'étranger sous peine de crier au trafic
d'influence". ( Amin, fils d'Ariza. Aucun népotisme, puisqu'ils s'agit de socialistes! ).
"Il est normal que le PS cherche à placer ses hommes"
En 2009 Jean Sarkozy avait tenté de se présenter à l'élection pour la présidence de cet établissement. Le chef de l'Etat d'alors avait été accusé de népotisme et son fils avait renoncé à briguer ce poste, en direct au JT de France 2. Le PS n'avait pas manqué de pointer du doigt le manque d'expérience du jeune homme. En 2009, Jean Sarkozy possédait un bac +1 en Droit.
A l'opposée, Jacques Kossowski, député-maire UMP de Courbevoie et accessoirement... vice-président de l'Epad, dénonce, lui, une tentative de récupération par les socialistes: "A partir du moment où le PS arrive au pouvoir, il est normal qu'il cherche à placer ses hommes à lui".
Le député doute des compétences d'Amin Khiari pour diriger l'Epad: "Je veux des gens compétents à l'international, des gens qui savent ce qu'est un centre d'affaires. On a besoin d'un visionnaire, capable de porter un projet sur 5 à 10 ans, pas d'un agent immobilier". "Que veut faire le pouvoir avec la Défense?" s'interroge encore le vice-président de l'Epad. Le député a demandé un rendez-vous avec Cécile Duflot. La ministre du Logement est en charge du dossier
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/epad-une-polemique-nauseabonde_1167096.html#iVjfgBioq5D80sSo.99
( II ) Que devient Jean Sarkozy?
( Jean Sarkozy
).
Il est 20h30, hier soir, quand Jean Sarkozy, sacoche chargée de dossiers sous le bras, quitte l'université Paris-Est-Créteil (Val-de-Marne). Son deuxième cours de la journée s'est terminé depuis un bon quart d'heure, mais sur le parking de la fac, il prend encore le temps de répondre à une de ses étudiantes. Il est question d'« arrêts », de « procès », d'« attendus » et de « jurisprudence ».
Le fils de l'ancien président de la République, âgé de 26 ans, a pleinement
endossé son nouveau costume d'enseignant vacataire en droit des sociétés. Un poste dont il ne veut pas faire la publicité, malgré le bruit médiatique déclenché par la nouvelle de sa nomination il
y a deux semaines. « Je ne souhaite pas m'étendre là-dessus, confie le fils de l'ancien président. Ça serait donner de l'importance à quelque chose qui n'en a pas. » Avant de préciser sa pensée :
« chargé de TD [NDLR : travaux dirigés], c'est comme du tutorat, c'est un étudiant devant d'autres étudiants et c'est beaucoup de la méthodologie. Ça n'a rien d'extraordinaire. »
Face à une vingtaine
d'élèves
Calmement, Jean Sarkozy, lui-même étudiant en master 2 de droit privé, répond qu'il n'est « pas affecté » par le flot de commentaires que sa nomination a déclenchés sur la Toile, même s'« ils
étaient plus nuancés que ce qu'on en a retranscrit ». Ses étudiants, à qui il fait cours tous les jeudis, sont unanimes. « C'est un bon chargé de TD », résume un étudiant en 3e année de licence.
Pourtant, son jugement n'était pas acquis d'avance. « Quand on a appris son arrivée, on était perplexes, poursuit-il. Il a quand même doublé sa deuxième année de droit. » Dans cette fac de
banlieue de 3000 étudiants, la nomination du vice-président (UMP) du conseil général des Hauts-de-Seine a rapidement fait le buzz. « On n'a parlé que de ça, avoue Marco. Tout le monde voulait le
voir. Même les autres chargés de TD étaient fiers d'avoir une personnalité. »
Quitte à ce que ça entraîne quelques contraintes : hier après-midi, quelques agents de sécurité vérifiaient qu'il n'y avait que des étudiants dans les couloirs. En cours devant une vingtaine
d'élèves, le jeune homme leur a donné toute satisfaction. « Il mérite d'être là, juge Kristina, 22 ans. Il est compétent et il prend le temps avec les étudiants. » « Il a répondu à toutes nos
questions sans difficulté, confirme un autre. Le seul bémol, c'est peut-être qu'il parle un peu trop bas ». Au programme du TD d'hier : un cas pratique sur la possibilité pour l'associé d'une
entreprise d'utiliser le jet privé de la société pour des déplacements personnels. Un exemple « bling-bling », ont raillé, moqueurs, certains étudiants. « En tout cas, il nous a tout très bien
expliqué, tranche Leslie, conquise. Et il est très humble, c'est tout juste s'il nous a donné son nom de famille au premier cours. »
Le Parisien