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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

A la Martinique, un PROCUREUR doublement en tutelle.

Historie vraie et attestée par un témoin direct et digne de foi qui m'a été racontée hier soir par le témoin en question

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L'histoire est la suivante : Samedi 10 mars 2013, aux Trois-Îlets à la  Martinique, à l'initiative d'un mécène, a lieu au domaine de la  

Pagerie un concert dédié à la musique au temps de Joséphine. La  
représentation se termine sur la Marseillaise, composée comme chacun  sait... au temps de Joséphine. Et même au temps de son veuvage.

Toute l'assistance, plusieurs centaines de personne, se lève aux  
premières notes de la Marseillaise qu'une cantatrice reprend depuis depuis sa place dans le public. Toute l'assistance ? Non. Deux  personnes ne se lèvent pas. Deux personnes en vue, et placées - en  raison de leur appartenance officielle ou médiatique - non loin de la  scène. Aux places d'honneur. Aux places VIP, comme ont dit aujourd'hui.  
L'une, c'est Patrick Chamoiseau, que l'on excuse bien volontiers :  
d'abord, parce qu'il tient à se faire remarquer, ensuite parce qu'il  
faut bien qu'il exploite son petit fonds de commerce de mépris de la  France. L'autre, c'est le...  Procureur de la République. Un dénommé Bosc dont l'épouse, elle, s'est  levée mais à qui il a aussitôt intimé l'ordre de se rasseoir.
Pensez donc ! un Procureur, cela représente un peu la loi, et puis  
l'autorité conjugale n'est pas toujours aussi paritaire que la presse féminine nous en rebat les oreilles. La femme du Procureur se rassied  donc. Puis, désobéissante, se ravise et se relève. Finalement imitée  par son mari, qui se lève à son tour quelques secondes plus tard, un  peu contraint - et sans doute un peu contrarié aussi - il faut bien  l'admettre.

Voilà bien un Procureur dont le ministre de tutelle a certainement  toutes les raisons de se réjouir.  

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P
<br /> <br /> <br /> <br /> Ce que ne précise pas l’article ci-dessus, c’est que cette France que poursuit le docte Chamoiseau de sa vindicte et d’autres sentiments distingués est<br /> également son fonds de pension quotidien. Enfin, l’était jusqu’à il y apeu. Et devinez où ? Au ministère de la Justice ! Le monde est petit, non ? Et, pour une fois Hollande n’y était<br /> pour rien, puisque cette garderie qui était la sienne – après l’Education nationale – lui avait été attribuée bien avant l’arrivée de la promotion du flambeau de l’indépendantisme (ou de<br /> m'indépendancitude) des Antilles-Guyane à la Place Vendôme. Aujourd’hui, M. Chamoiseau touche quelque milliers d’euros mensuels - plus près de 10.000 que de 1.000 - d'une administration lokal<br /> pour mettre en valeur le Saint-Pierre historique, car M. Chamoiseau ne fait pas son plein qu'à la station Texaco. Quand on sait le talent de M. Chamoiseau pour raconter des histoires, on ne peut<br /> que se réjouir d'une aussi bonne utilisation des finances publiques. Après tout, la Marseillaise ne vaut pas un bon fauteuil...<br />
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J
<br /> <br /> <br /> <br /> S'il y avait plusieurs centaines de personnes lors de cet événement, voici une bien embarrassante affaire : le Procureur en question pourra difficilement nier<br /> son "outing"... Par ailleurs, le justiciable “tendance”, celui qui crache sur le drapeau tricolore ou siffle la Marseilllaise en considérant que ces symboles sont à ses yeux… tout le contraire<br /> d'une chance pour la France, peut avoir des raisons de se sentir compris par la République. Enfin par son représentant officiel qui requiert "au nom du peuple français". Voilà où nous mènent la<br /> confusion identitaire qui résulte notamment de la supranationalité et de ce que de Gaulle appelait "l'Europe ! l'Europe ! l'Europe !, de Gaulle qui dirait aujourd’hui « la<br /> mondialisation ! la mondialisation ! la mondialisation ! (et qui sait si le Gouvernement de Vichy ,n’aurait pas la tentation de prendre pour devise aujourd’hui : Ni travail,<br /> ni famille, ni patrie ?). Bref ! l'anarchie officiellement professée à l'ENA et à l'ENM porte ses fruits, dont certains sont peut-être un peu plus gâtés que les populations régies par<br /> les nouvelles tendances. Dans mon enfance de vieux croûton, on disait : « L'exemple vient de haut », car l'on considérait encore que les corps constitués étaient... le haut ;<br /> pas le haut le coeur, mais le haut de la hiérarchie. On disait encore à ce propos : « Noblesse oblige ! » Bref ! dans mes jeunes années, la représentation n’était pas que<br /> sur la scène. Lors des manifestations publiques, les corps constitués étaient également en représentation et avaient de ce fait le devoir de tenir leur rang. Le fait est que la société se tenait<br /> mieux. Beaucoup mieux qu’aujourd’hui où sévissent le progrès, le contentement de soi et la revendication… des droits.<br />
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R
<br /> <br /> <br /> <br /> C’est drôle, Scrutateur, vous nous racontez cette jolie petite histoire au moment même où Sarkozy – ancien Président de la République française – est mis en<br /> examen par un juge d’instruction – au nom du peuple français, comme c'est écrit dans la Constitution. Au nom du peuple français qui se lève encore lors de la Marseille, évidemment, sinon, dans<br /> que pays vivrions-nous ?<br />
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E
<br /> <br /> Comme vous dîtes bien, cher lecteur, ce peuple qui se lève encore, quand on chante la Marseillaise,  chant révolutionnaire par excellence, mais qu'ont fini par accepter même les<br /> contre révolutionnaires, parce qu'intégré au sang de la patrie. <br /> <br /> <br /> Les Français sont ce qu'ils sont. Mais pas encore totalement dissipés en fumée malgré les efforts des maîtres esclavagistes de notre époque ( et qui ne sont pas ceux que l'on pourrait<br /> croire si l'on n'écoutait que la propagande médiatique, et le discours de la propagande maqillée en "science historique"). <br /> <br /> <br /> De Gaulle, très critique sur son peuple, auquel il avait consacré sa vie ( une vie d'homme avec ses errances aussi ) l'avait écrit, et je cite de mémoire : " vieux peuple recru<br /> d'histoire, meurtis de guerres et de révolutions, allant et venant sans relâche de la grandeur au déclin, mais redressée, de siècle en siècle, par le génie du renouveau". <br /> <br /> <br /> Gardons nous du désespoir, ce mauvais conseiller, cette fatigue de l'âme qui se pare parfois d'oripeaux pathétiques, qui dissimule mal son indigence, même il s'exprime enj vers d'edmond<br /> Rostand. <br /> <br /> <br /> Quant à Sarkozy, sans en être un fana mili, je lui applique, dans ce qu'on lui reproche ( la justice de Taubira !!!!!!!!!! ) le bénéfice du doute, la présomption<br /> d'innocence. <br /> <br /> <br /> LS<br /> <br /> <br /> LS.<br /> <br /> <br /> <br />
O
<br /> J'ai fait suivre à une amie Martiniquaise, et voilà ce qu'elle m'a répondu:<br /> <br /> <br />  
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E
<br /> <br /> Je coprens tout à fait qu'on puisse être exaspéré par une telle conduite, mais il faut toujours garder son sang droid. LS. <br /> <br /> <br /> <br />
J
<br /> Amusante comédie ! j'étais très fier des jeunes de Capesterre de la Chorale BEL VOIX TI MOUN lorsqu'aux champs élysées ils ont entonné la marseillaise.<br /> <br /> <br /> J'étais aussi très heureux des trois couplets chanté lors du Festival International Saint-Georges succéssivement par le choeur des enfants du Baillif, le choeur des hommes de la même commune et<br /> enfin Magali LEGER... et la population assemblée entonnait le refrein... <br /> <br /> <br /> Jean-Claude<br />
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