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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Blocage en Guadeloupe (suite), par Edouard Boulogne.

Blocage en Guadeloupe.



Hier, samedi, la Guadeloupe était bloquée pour la sixième journée consécutive par le comité dit de "Liyanaj kont pwofitasyon" (comité de coordination contre l'exploitation).

Le préfet avait invité à négocier au WTC, toutes les parties concernées : les bloqueurs, les socio professionnels, Les assemblées locales, etc. Les chefs de l'UGTG, qui seuls comptent dans cette affaires du côté des "grévistes", ont refusé cette réunion qui devait avoir lieu à la même heure que leur meeting prévu à Pointe-à-Pitre à la même heure.

Ce meeting s'est tenu et a rassemblé environ 5000 personnes (25000 selon les organisateurs!!! qui ne lésinent pas sur le nombre de leurs partisans).

Quoiqu'il en soit, le chiffre de 5000 est relativement important et montre que la tactique des organisateurs qui consiste à faire prévaloir l'aspect social revendicatif sur sur la revendication politique séparatiste est un efficace moyen d'attirer des hommes et des femmes, hostiles à l'indépendance, mais qui souffrent d'une situation sociale préoccupante, et pas seulement en Guadeloupe.

L'invitation du préfet était enfin honorée dans le courant de l'après-midi.

Les télespectateurs qui se sont branchés sur Canal 10 ont pu suivre en direct, une partie des débats.

Ce qui frappe dans ce show assez particulier c'est l'extraordinaire faconde, et le fabuleux toupet des contestataires, admis nombreux à la table des négociations, pour impressionner et faire pression, plus que par nécessité (autre que celle de la force brutale) tant l'on pouvait reconnaître parmi ces gens-là des incompétents notoires, et des incapables patentés, mais de grands rouleurs de mécanique comme le Fleming secrétaire général du parti communiste guadeloupéen, qui ne peut se prévaloir d'aucun élu dans les assemblées locales ou dans les municipalités.

Le collectif "révolutionnaire" ne peut se prévaloir que de quelques personnalités, sinon compétentes en matière économique,  pour régler les problèmes qui se posent, toutefois très douées pour l'intimidation et remarquables organisatrices de mouvements de foule.A cet égard, l'une d'entre elles, Elie Domota s'est signalé par sa verve ironique, son insolence à l'égard des personnalités présentes, en particulier les présidents des conseils régional et départemental. Il peut se le permettre quand on pense que l'arbitre des débats était Jean-Claude Malo, connu naguère sous le nom de Tony Marik alors animateur phare de radio Tambour? Surréaliste! Et bien caractéristique du degré d'inconscience des organisateurs de ces réunions!

Celle d'hier après midi, qui en quatre heures s'est bornée à discutailler de modalités "méthodologiques", (en fait l'on occupe le terrain, et l'on se trémousse devant les caméras de TV en essayant de terroriser le vis à vis) s'est d'ailleurs terminée à leur initiative. Après avoir sollicité une suspension de séance de dix minutes qui se sont multipliées, ils ont décidé de l'arrêt de la discussion et de son renvoi à lundi.

Peu leur importe le temps qui passe, la difficulté de plus en plus grande du public à s'approvisionner, le tourisme qui se délite, les compagnies de navigation qui se détournent de l'île maudite de la Guadeloupe.

Peu leur importe tout cela, puisque le but réel de tout ce carnaval, derrière le paravent de la "négociation" sociale est une prise de pouvoir politique, qui ferait la Guadeloupe sortir du cadre français et européen pour leur être livrée clefs en main.

Ces messieurs, ils l'ont dit, n'ont pas l'intention "de jouer" (plaisanter). Puissent les autorités légales et légitimes en prendre une plus claire conscience, et comprendre que le temps des "jeux" n'est pas de mise.

Edouard Boulogne.

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K
Salut vous tous, <br /> Un petit mot sur la situation que nous vivons actuellement et qui personnellement me touche. La lettre de Mr PEPIN qui m’a aidé à m’exprimer, enfin quelqu'un qui ose dire les choses que je pense très profondément.<br />  <br /> Dans quel pays souhaitons nous vivre? pas une Guadeloupe comme celle là en tout cas, où nous montrons à nos jeunes déjà en perdition une image de violence et de rage qui ne montre rien de construit et de conscient. Tout cela sur fond de haine raciale qui ressurgit à chaque fois que les idées s’affronte. <br /> Des gens qui souffrent tout les jours, parfois ne sachant pas comment nourrir leur enfant, qui suivent naïvement ces indépendantistes déguisés en défenseurs sociaux qui eux se pourlèchent de leurs 40%. <br />  A tout ceux qui se réclament de B. OBAMA (un "métis" à la maison blanche) qui lui a vécu dans sa chair le racisme mais aussi l'ouverture de vivre au sein d'une famille blanche qui l'a aimé et construit lui permettant de devenir ce grand homme qui incarne le changement "le vrai" celui des âmes; je leur souhaite de s'en inspirer.<br /> Pour mes enfants, que j’élève (comme moi même) sur une terre de valeurs, de chaleurs, de fraternité loin de toutes idées raciales dans le respect de tous.Je souffre de ce que j'entends quotidiennement "la gwadeloup a pa ta yo" : cé ta ki moun? Nous sommes un peuple riche de ses différences. C’est cette diversité là qui fait de nous des gens différents et à part, fier de la beauté et de la richesse de nos îles. <br /> Est ce qu'un noir est plus guadeloupéen qu'un indien ou qu'un blanc qui vit et travaille ici depuis des générations? Y a t’il un degrés de "guadeloupéanité"? Les antillais naissant et vivant en métropole sont ils: plus ou moins guadeloupéen que ceux naissant et vivant ici? Les blancs naissant ici et aimant ce pays, sont ils des guadeloupéens? Les autres choisissant de tout quitter pour vivre ici sont ils à exclure ? Cela s'arrête t'il juste à la couleur de la peau? Y a t'il de critères pour être Guadeloupéens?<br /> Devrons nous porter une étoile blanche pour circuler chez nous, exemple glorieux de l’histoire ? Devons instaurer la ségrégation des blancs afin de soigner les plaies mal léchées et réparer les faits d’une histoire certes monstrueuse mais du passé ?<br /> Je suis née ici ainsi que mes parents depuis des générations, mes enfants sont nés ici, je travaille et j'ai étudié ici, je construit mon pays tout les jours en m'occupant de ses enfants, j'ai les même droits et devoirs que tous, je subis les mêmes effets de la vie que tous, je ne suis pas exemptée de difficultés ni de factures à payer. Je mange les fruits de mon pays et je parle la langue de mon pays. Je ne dois mon salaire qu’à la sueur de mon front, je n’ai ni gagné à la loterie ni hérité d’un statut social, je ne me suis pas assise dans le « beurre de papa ». Mes valeurs je les dois à l’éducation que j’ai reçu, hérité de mes parents : le respect du travail bien fait et la fierté d’y arriver par soi même.<br />  <br /> Bien plus que de savoir si j’aurais de l’essence demain et à quel prix (bien que cela m’intéresse) je me demande ce que devient notre société et quelles images nous donnons à nos enfants. <br /> La jeunesse de ce pays à grandit dans la haine des autres et dans l’idée que toutes les souffrances sont dues aux autres. Elle est élevée sans repères puisque la famille n’est même plus matrifocale, elle est éclatée et les valeurs que donnaient nos grands-mères sont maintenant reléguées au passé. Elle attend de l’état qui lui donne ce dont elle a besoin : la multiplication des aides sociales qui en font de véritables salariés de la CAF et autres organismes. La vantardise de la « cocagne » est leur seule fierté. <br /> Voici par exemple ce que je constate quotidiennement dans mon activité professionnelle : la violence verbale et physique envers leurs pairs et les adultes, le recours à la pornographie comme seul divertissement, le désengagement des parents jusque dans les soins de base de leurs enfants m’alerte. Voilà ce que l’on offre encore à nos jeunes, des subventions pour nous aider à augmenter les salaires de 200euros net : pour pouvoir s’offrir un portable de plus où encore les dernières Nike pour se les faire par la suite racketter dans son collège .Qui bénéficiera le plus de cette frénésie de consommation des Guadeloupéens ? De qui va-t-on exactement augmenter le pouvoir d’achat ?<br />  <br /> L’image véhiculée par les médias, que tout se règle par la violence et les revendications, ne permettra jamais à notre Guadeloupe de se construire une identité propre. <br /> Des médias de « service public » qui sont eux même pourris par des idées révolutionnaires, qui sélectionnent précieusement les images qu’ils nous montrent mettant l’emphase sur le mouvement du peuple : 5000 personnes dans les rues soit 1,18% de la population ou encore ceux qui sont contents de rester chez eux manger leur fruit à pain sûrement des fonctionnaires qui ne perdront pas de jours de salaires puisque ayant une bonne excuse pour ne pas faire le travail pour lequel ils sont payés (toutefois cela change t-il vraiment de d’habitude ?). <br />  <br /> Où sont les autres : ceux qui se terrent chez eux ne pouvant circuler librement faute de carburant, les responsables d’entreprises, obligés de baisser les grilles sous la menaces de gens encagoulés, ceux qui se demande comment ils payeront leurs factures ou leur fournisseurs, ceux qui pensent fermer leur entreprises si cela dure encore, les touristes qui ont choisis notre île pour des vacances durement payés et qui doivent partir faute de repas et de services, les enfants a qui il faut expliquer qu’ils ne peuvent par aller à l’école parce qu’elles sont fermées de force par leurs chers professeurs, qui attendent d’eux en échange respect et travail. (Prenons-nous les enfants pour des idiots, relisons Dolto dans ce cas là !)   <br /> Que donnons nous à nos enfants comme racines dans un monde « qui change ». <br />  <br /> Je ne débattrai pas sur le fond économique ou social de cette affaire car d'autres le font suffisamment (à tord et à travers) pour y rajouter mon "gren sèl". <br /> Tous ces élus avides de pouvoir mais loin d’en assumer les responsabilités qui dépensent à tord à travers les finances qui sortent de nos poches nous qui travaillons et payons nos impôts, n’ayant pas les moyens de défiscaliser et investir ailleurs. Ceux la même qui, tout en réclamant une autonomie, appellent le « papa blanc » (Dr Gillot) dés que rien ne va plus. Ils ressemblent à des enfants  se chamaillant dans une cour d’école : affligeant spectacle  que celui là mais pas très surprenant.<br />  <br /> Où allons nous, mon esprit optimiste et que certains qualifierait de naïf et d’utopiste pense que : comme dit un adage de chez MOI « cè on dézod ka mété on lod » <br /> Peut être que de nouveaux vrais penseurs et acteurs de notre société nous conduiront à sortir de cette impasse, et à l’image des Etat Unis nous saurons construire une société guadeloupéenne ouverte et accueillante, fière de son passé et prête à construire son avenir pour en faire cadeau à nos petites têtes : blondes, rousses, brunes, à cheveux plats ou grenés qu’importe pourvu qu’elles soient guadeloupéennes. <br />  <br /> Karukera.
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J
Dans un permier temps, le mouvement de grève n'a débuté que le mardi 20, donc samedi 24 cela faisait 5 jours que les manifestations de mécontentement avais commencé.La grève de distribution des produits pétroliers aux particuliers est diriger par les patron de station service et c'est eux seule qui bloquent actuellement la guadeloupe pour conserver leur marché.Dire que les revendications évoquées sont purement autonomiste est un non sens et surtout une non compréhension de la situation de la Guadeloupe En tant que jeune guadeloupéen , j'estime qu'il n'est pas normale que ma population soit obligé de porté sur ces épaule le fardeau des dettes et des abus engendrés par des profiteurs. La revendication, du bas peuple est parfaitement porté par le collectif, ceci est démontré par le grand nombre de revendication.L'autonomie n'est actuellement pas la question posée, le respect de la guadeloupe est des guadeloupéen est par contre le fondement des ces revendications. Nul ne peu venir aujourd'hui affirmé que ce déguise sous ces revendication une demande d'autonomie, le peuple a faim et comme partout actuellement dans le monde, il demande de partager les richesses et que 'lon le respecte.Si plus de 40 organisation ont peu se réunir sous cette platforme de revendication, il est abusivede penser qu'un syndicat à lui seul peu manipuler plus de 40 autre organisation pour faire la révolutions. De plus L'ugtg n'a jamais demander l'autonomie de la Gua&deloupe, mais c'est borner à déffendre contre vent et marée le situation des travailleurs de la Guadeloupe contre les abus des patrons.
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C
salut monsieur Edouard Boulogne jvien de vous voir au journal de 13H !!!! Jtrouve ke ce ke vous faites sur votre blog est tres sympas !! moi je ss tellmen nul en philosophie et sa menerve !!!!!! je suis en terminales ES et jespere ke jaurai mon BAC ES cette année AVEC toutes c greve la !!! tchip sa blok tout !!!!!
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C
Je suis de plus en plus surprisque les Guadeloupéens ne comprennent pas la manipulation de ces "terroristes". Je sais que le mot est fort, mais je trouve qu'il correspond plutôt bien à des personnes cagoulés qui ferment les entreprises sous la menace. Le mot Mafia auraient peut-être été valable, sauf que dans notre cas, le côté social et syndical n'est là que pour donner un aspect "humain" à un mouvement politique difficilement défendable. Je ne comprend pas les Guadeloupéens qui osent appeler RCI et RFO à la radio pour dire qu'ils sont d'accord avec le mouvement. Comme la grande majorité, je ne suis pas un nanti, et les fin de mois sont difficile. Néanmoins j'ai la chance d'avoir un travail qui me fait vivre raisonneblement. Je suis d'accord avec le ras-le-bol actuel de la population sur la coïncidence entre des prix sans cesse en hausse, une crise mondiale majeur, et nous au milieu qui sommes pressés cmooe des citrons. Il faut par contre ajouté que nous nous pressons nous-même, de plus en plus, est-il nécessaire de rouler en 4x4 en Guadeloupe, personne n'a remarqué que la rocade est en bitume, ainsi que la grande majorité des routes de l'archipel. Ceux qui nous dirigent sont vraisemblablement responsable d'une grande partie de nos maux actuels, une argiculture de canne et de banane subventioné, alors que nous importons des tolates et des citrons de Dominique, et les payons plus cher qu'en métropole...Il est vrais que nous devonsnous prendre par la main pour faire avancer cette île, dans laquelle j'ai grandi, et dans laquelle j'espère que mes enfants grandiront et y vivrons. Mais je ne voudrais pas vivre l'exemple d'Haïti chez nous, avec quelques monarques immensément riches exploitant leurs pauvres compatriotes. Et c'est vers cela que ces manifestations nous conduiront si nous ne'ouvrons pas les yeux et si nous ne nous mettons pas au travail.Il est vrai, qu'il y a un détail que j'ai oublié de préciser, je ne suis pas comme la plupart de ces grévistes, je ne suis pas un fonctionnaire de l'état français, et en cas de non présentation à mon travail, je n'aurais pas de salaire.
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J
Ce type de discours m'attriste. J'aurai tendance à demander et à dire à ceux et celles qui soutiennent cet avis émis par Mr Edouard Boulogne :<br /> -          Comment la « minorité » dont-il parle peut-elle faire pour être entendue ? sachant que ce sont autant de décideurs qui n’ont que faire de la Guadeloupe qui ont un PLEIN pouvoir habituel sur notre île. Des décideurs avec pour seul intérêt de se remplir les poches sous un soleil de feux. Sachant aussi, que ces 120 points qui amusent certains sont autant de revendications qui existent et perdurent depuis devrais-je dire des années. Comme les fameux guadeloupéens (dont vous parlez) ce sont longtemps contentés de petites mobilisations, bien entendu, bien sur que leurs décideurs n’ont jamais rien entendu, vous non plus d’ailleurs !<br />  <br /> -          « S’asseoir autour d’une table pour discuter plutôt que de traumatiser, paralyser, étouffer … la Guadeloupe» (je m’abstiens de tout vos mots). Bien beau discours quand la réalité dit que seule cette minorité fera le déplacement dans ce cas … affaire bien trop peu importante pour nos décideurs.<br />  <br /> -          « Un lyannaj » pour se battre pour rompre cette réalité injustement établie : décideurs=métropolitain, ne sait quoi faire des sous gagnés injustement (le filon=être pistonné). Ouvriers = locaux, ne sait ou prendre de l’argent pour survivre, épuisé, malgré tout gardant sa joie de vivre (diriez-vous : « ces gens vivent dans l’excès »)<br />  <br /> -          Une lutte pour les étudiants, et aux têtes pensantes de demain. Comment ne pas se révolter quand on constate que même ayant franchit des niveaux scolaires remarquablement bien, ayant fait ces preuves, ayant été félicité pour une certaine vivacité d’esprit (le philosophe que vous êtes comprendra mon discours informel), qu’il faille mener un combat (devrais-je dire, un long et périlleux combat) pour se faire reconnaître et avoir un poste honorable et équivalent à nos compétences. Un combat pour être assis auprès de ces décideurs dont nous n’avons rien à envier intellectuellement si ce n’est « qu’un français bien roulé, quel honneur !!! »<br />  <br /> -          Pratiquement convaincu que vous ne faites pas partis de ces gens qu’on pourrait nommer des « galériens » de nos décideurs ; ceci qu’ils soient riches ou pauvres juste injustement traités car trop foncés, car n’est pas l’amant, l’ami, le futur ex, la sœur, le cousin de Mr ou Mme Dupont…<br /> Aux grands changements, des grands moyens même s’il s’agit juste d’apporter un niveau de connaissance juste, neutre et convenable notre population, car vous complèterez ma phrase « celui qui sait,… ».<br />  
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E
<br /> <br /> Je répondrai à votre commentaire posé en deux points.<br /> <br /> <br /> Le Scrutateur, d'ailleurs vous l'avez compris, ne défend pas l'establishment. Ce que vous dites, d'ailleurs fera, en son sein, réfléchir ceux qui le peuvent, et il y en a. J'en connais.<br /> <br /> Vous avez de la sympathie pour "Lyennaj". C'est là que vous avez tort. Ces messieurs sont des populistes, comme il y en eu, et comme il y en a dans tous es pays  à toutes époques,<br /> surtout dasn les périodes de crises. Ces personnes surfent sur les mécontentements, s'en accaparent et installent sur le pays quand il est tombé dans leurs mains, leurs dictatures<br /> jusqu'auboutistes et irrationnelles. On a vu cela dans l'Allemegna des années 20 et 30, à Cuba, et ailleurs? C'est alors la fin de la démocratie. Prenez garde à leur slogan à tous "tous pourris.<br /> <br /> La politique est un art difficile, et la réalité est complexe. Il ne suffit pas d'avoir des diplomes pour la changer, ne serait-ce que dans le cadre d'une entreprise.<br /> <br /> Et les diplômes sont parfaitement compatibes avec la mise en oeuvre de la barbarie. Bien des nazis étaient couverts des diplomes des meiilleures des Université.<br /> <br /> Faites attention. Gardez  votre sang froid, votre esprit critique, pas seulement à l'égard de l'establishment, qu'il faut aussi écouter sans se mettre de la cire dans les oreilles.<br /> <br /> Je vous salue bien<br /> <br /> Edoaurd Boulogne<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
B
Félicitations pour vos commentaires et votre vision scrutative de la Guadeloupe actuelle. Comment imaginer qu'en période de crise mondiale, on puisse en effet jouer avec les mots, le temps, la misère et l'angoisse du lendemain. Comment ces beaux messieurs aux muscles puissants , aux lunettes foncées sous la grisaille pointoise puissent monter ou descendre de puissants 4X4 et agiter leurs poignets entourés de belles montres. C'est indécent! C'est peut être le nouveau look pour comprendre  les pauvres. Mais si nous voulons nous en sortir, proposons la guadeloupe,  zone franche comme l'envisageait le président de Canal 10 . Les capitaux reviendraient, les affaires aussi , les touristes afflueraient et les gens seraient plus heureux. Cette démarche ferait repartir la confiance et le bon sens guadeloupéen. Si on supprime les taxes point besoin d'augmenter le SMIG! Mais on ne sait pas où l'on va et ce que l'on veut . "Toujours plus " c'est sûr.  Mais un homme récemment a dit très fort lors de son investiture : YES WE CAN Il a été suivi. Pourquoi ne pas proposer un référendum et  demander à la population qui paye les impôts de voter dans le calme, loin du tumulte et de l'agitation si les habitants de la Guadeloupe veulent oui  ou ou non poursuivre le rattachement à la France. Si le oui l'emporte quel sera alors le rôle de l'UGTG?   Quel sera alors le rôle de nos élus: Quelqu'un ou quelqu'une pourra-t-il (elle)  enfin dire à tous: YES, WE CAN !          
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E
<br /> Le referendum, Bonne idée. Mais pas d'illusions. Ces messieurs ont décidé une fois pour toutes, que tout vote qui n'irait pas dans leur sens serait l'expression d'une "aliénation<br /> Koloniale". il y a seulement cinq ans un referendum sur un changement de statut qui s'est conclut par un rejet de leurs propositions à 75 % est remis en question par par ces<br /> "nationalistes"socialistes (nazis) , et refusé.<br /> En fait il faut réduire ces gens. Pour l'instant nous manquons de leaders, tel un Lucien Bernier il y a 25 ans.<br /> Mais c'est dans la crise que les personnalités fortes se révèlent. Patience. La réalité guadeloupéenne est là, résistante. Patience!<br /> EB.<br /> <br /> <br />
L
"Il faut mettre en place une méthode de travail" ou encore ' Il faut qu'on se penche sur la méthode de travail" mieux encore "On doit définirla méthode de travail" (trouvez l'erreur?) Voici ce qui a pu resortir de cette réunion inachevée (d'une durée de 4 heures) qui devait  commencer à 16h30 mais qui a commencé 1heure 30 plus tard. Après de âpres discussions stériles et puériles voici ce qu'on l'on pourra lire en gros titre dans nos quotidiens du lundi "Méthode de travail ".Le comité "Liyannaj kont pwofitasyon" (LKP) à quitté prématurement la réunion pour histoire de de prises de parole entre  M.DOMOTA et M.MALO en gros des "enfantillages". Avant ce départ  prématuré  on discutait  sur une nouvelle réunion (on fait une réunion pour mettre en place une nouvelle réunion!) prévue Lundi à 16h au WTC mais rien n'est moins sûre sur la tenue de cette réunion. N'empêche que cette nouvelle réunion si elle a lieu elle  n'augure rien de bon !LKP s'est distingué par la politique de la chaise vide , l'intimidation, les menaces ( sur les ondes de canal 10 qui retransmettait  la réunion on pouvait entendre " nou ké fann tchou a yo" !" Pa fan chié"). Ce comité s'est auto-proclamé représentant de "toute" la population guadeloupéenne!M.LUREL a brillé par son silence prévoyant dèjà que cette réunion finirait " en queue de poisson". Ce cher président de Région à pris pour L'Etat en grief ( implicitement il parle de la politique de M.SARKOZY) car il  " déplore vivement l'inertie de l'Etat dans ces discussions alors même que c'est la politique du gouvernement qui est très sévèrement mise en cause  en matière de pouvoir d'achat".Monsieur Le Préfet s'est caractérisé par cette phrase qu'il a dû répété à plusieurs reprises " je ne comprends pas le créole" pour vous montrer dans quelle situation tendue se trouvait ce dernier ( M.MALO en bon samaritain s'est désigné comme traducteur officiel sous l'oreille aiguisée des défenseurs de la langue créole).En gros une véritable cacophonie! Est-il vraiment utile de réunir autant de personnes? Ou est ce une stratégie du LKP pour semer le trouble et pour montrer à cette population (1% ,10% , 20% ?)que toutes ces personnalités n'arrivent à s'attendre entre eux  ce qui serait une vraie-fausse justification de la poursuite du mouvement?Dans cette situation critique on aurait cru que tout le monde y met du sien pour   que cela n'avance pas  , tout en faisant croire qu'ils mettent tout en oeuvre pour faire bouger les choses. On peut entendre sur les ondes radios que certaines personnes dans la région de la Grande Terre n'ont plus d'eau depuis le début du conflit et cela risque de s'empirer la semaine prochaine si la discussion prévue lundi après midi se cantonne à un dialogue de sourds voire à une joute verbale pour montrer qui est le coq de la basse cours!
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