Mitterrand était-il Fécal ?

Ce que décrit Yves Pozzo di Borgo, si visible aujourd’hui, était tout ce qu’il y a de plus prévisible pour peu que l’on se donnât la peine d’observer François Mitterrand au lieu de prendre pour un Sphinx, celui qui n’était qu’un sphincter. Certes il mystifia les imbéciles tous magasins réunis si l’on peut dire et pourtant il ne manqua pas une occasion de se montrer tel qu’il était.

L’attentat de l’Observatoire fut en réalité un attentat contre l’observation en général, car peu nombreux furent ceux qui virent ce que le « cher » François n’a jamais caché : rares sont les hommes qui ont autant ouvert les portes de leur âme à n’importe qui. Mais il n’est pire aveugle que l’imbécile qui ne veut voir ce que sa prison intello-spirituelle ne saurait ou ne voudrait imaginer.

Robespierre et sa ribambelle n’étaient que des artisans grossiers là où le Fécal fut un prince de l’artisanat d’art, avec une telle facilité pourtant, car la nature répartit ses dons dans l’inégalité. Le diable l’a pourtant toujours dit : il suffit de vouloir pour gagner le pouvoir de défaire, de détruire, de semer l’irréparable. Certes, il arrive que la nature humaine et la conscience puissent être des freins, c’est pourquoi les Allemands avaient mis au point la Pervitine. Pour écraser la France, notamment. Eh bien le cher François a pu s’en passer : sa vanité et sa volonté exigeaient que la France fût rendue à l’état sauvage auquel le temps, l’histoire, l’Église et la civilisation l’avaient en grande partie arrachée.

C’est là le crime du François : la dégringolade culturelle programmée avec pour grand missi fecalici le dénommé Jack Lang, magistral promoteur de fiertés et d’orgueil dans la décadence.

Le crime du feuFrançois relève d’autant plus de l’irrémissible péché contre l’Esprit que ce Fécal était pour sa part un homme cultivé et qui avait été éduqué. Seulement le Fécal, docteur ès crocs, n’avait d’autre objectif que de régner à tout prix : le prix fut une sorte de messe noire permanente dont la victime rituelle fut tout bêtement la France, qui bêtement se laissa sacrifier pour que le règne de la Bête vienne. Et n’advienne que pourri.

La première de toutes les fiertés fut celle, infecte, immonde, indécente de feu François qui fut le personnage le plus répugnant de toute l’histoire de France car il était aussi conscient de ce qu’il faisait que seul chef d’orchestre d’une inversion qu’il a littéralement imposé au destin de la France avec une volonté auto-érotique liée aux forces de l’esprit en lesquelles il avait de bonnes raisons de croire.

Et dire qu’il n’y a pas un crétin en France qui n’ait voté pour lui et qui aujourd’hui, soit se réjouît, soit s’étonne de ce qu’est devenue la France déguisée en Larépublique.

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