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29 Avril 2025
Un lecteur qui garde l'anonymat m'envoie cet article pour ouvrir les yaux et les oreilles à ceux qui en auraient besoin
LS.
Depuis l’assassinat d’un jeune musulman dans une mosquée, la gauche se moque de plus en plus ouvertement du monde, dénonçant un « deux poids deux mesures » imaginaire de Retailleau et la victoire de toutes les forces de la réaction en ajoutant ce crime au martyrologe des musulmans décimés soi disant, par une islamophobie triomphante qui détruit peu à peu le vivre-ensemble généreux et joyeux qui a fait de la France le nouveau Jardin d’Éden dans le respect des normes z’écolologiques les plus canoniques.
Il est vrai que l’assassinat sauvage vendredi dernier dans une mosquée du Gard de ce jeune homme qui, de toute évidence était, pour les niais, quelqu’un de tout à fait charmant, constitue une première. Certes, le fait qu’il ait été commis par un « Français » plus Turc que Français, mais néanmoins Français pour la cause et la causerie car la gauche voit en cet assassin plus que présumé tout ce qu’elle exècre, autrement dit un Français de vieille souche, catholique à n’en pas douter, traditionaliste sans doute, de droite certainement et même d’extrême-droite, raciste évidemment et suprêmatiste blanc bien que guère blanchi et même plutôt basané. Mais qu’importe le parfum pourvu qu’on ait l’ivresse, et la gauche s’enivre volontiers de ses mensonges et de sa minussitude simplificatrice.
Insoumis et écologistes (autrement dit les deux poignées de la poubelle) beuglent alors bruyamment contre la montée du racisme antimusulman tant il est vrai que l’innocente victime - et cela personne ne peut le nier - était un musulman, pieux, et assassiné dans une salle de prière par un mal civilisé comme de plus en plus de « Français » le sont. Et tant pis si l’assassin est lui-même de racines musulmanes puisqu’il apostasie l’islam ce qui en fait un fachosaure ou un fachonaute issu (comme il ne peut en être autrement) de la fachosphère. La laïcité dont se réclame la gauche - plurielle - a en effet ses préférences.
La gauche n’a jamais eu le moindre souci de la vérité : ce qu’elle appelle le débat c’est le combat aux portes (ouvertes) de l’abattoir où elle parle en dévote de libération, de progrès, de justice et de paix comme le Kampuchéa démocratique de Pol POT de sinistre mémoire.
Pour une fois où l’assassin n’a pas crié Allah akbar, à la bonne heure, quel bonheur ! La gauche islamodopée oublie aussitôt radicalisés et déséquilibrés pour reprendre le sentier de la guerre, le souffle retrouvé : le Turc fait si bien l’affaire ! Et il l’a fait d’autant mieux qu’il y a longtemps que Français, droite et chrétiens sont les têtes de Turc de la gauche, automatisme dont on en rit bien volontiers même si - lorsqu’on vient d’en rire - on devrait en pleurer. On devrait en pleurer par simple commisération pour l’espèce humaine dont la gauche est une sorte de maladie vénérienne étant donné sa conception désordonnée de l’amour du prochain. Loin de la vénérable charité, sa gloutonnerie de vénerie sociale et verbale lui donne un parfum de haine, et son obstination porterait plutôt sur les nerfs qu’autre chose.
La gauche s’épanouit dans la béatitude de ce qu’elle est, et le mur des cons est vraisemblablement plus solide que le mur de Berlin. Alors autant se faire une raison. Les chiens aboient la caravane passe, et selon toute logique, dans les deux sens : que sert à l’homme d’aboyer puisqu’il n’empêchera pas la caravane de passer.