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24 Juillet 2023
En France actuellement, une ambiance de désordre engendré par la légèreté d'un milieu politique anesthésié par le macronisme, dirai-je en simplifiant : parti Renaissance, partis centristes (ou prétendus tels), d'une part, et, d'autre part les partisans violents d'une décadence française : gens de la nupes et son chef d'orchestre le dénommé Mélenchon qui se prend pour un Lénine sans en avoir heureusement l'envergure. Ces gens hurlent avec la complicité du monde médiatique (à quelques exceptions près).
Le peuple bouge pourtant. En dépit de l'action constante (sauf pendant le trop bref intermède gaulliste, 1958 1970, des corrupteurs.
C'est en effet tout au long du XXème siècle qu'une propagande d'inspiration quasi officielle s'est accharnée à détruire l'âme chrétienne de la France bien illustrée par ce discours de M. Viviani, ministre du travail (socialiste) à la tribune de l'Assemblée nationale : « Tous ensemble, proclame-t-il, par nos pères, par nos aînés, par nous-mêmes, nous nous sommes attachés dans le passé à une œuvre d’anticléricalisme, à une œuvre d’irréligion.
Nous avons arraché les consciences humaines à la croyance. Lorsqu’un misérable, fatigué du poids du jour, ployait les genoux, nous l’avons relevé, nous lui avons dit que derrière les nuages il n’y avait que des chimères.
Ensemble, et d’un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des lumières qu’on ne rallumera plus. Voilà notre œuvre, notre œuvre révolutionnaire. Est-ce que vous croyez que l’œuvre est terminée ? Elle commence au contraire. »
C'est la même chanson que clament encore trop de ministres dit de l'éducation, y compris les plus récents : Najat VALLAUD-BELKACEM , Vincent Peillon, Pap Nyaye, etc.
Tout explique le manque de culture et de sens civique de tant de jeunes, dont les causes ne sont pas en eux-mêmes mais dans les branches pourries de pseudos élites, filles des Viviani et consorts.
Mais un peuple comme le peuple français ne meurt pas sans secousses.
Que Macron prenne garde. Déjà les dites secousses sont perceptibles. Déjà des corps civiques entiers s'ébrouent, et ruent dans les brancards, telle la police ;
Qu'à l'Elysée l'on prenne garde à la colèredes légions. Le Scrutateur.
Alors que quatre policiers de la BAC de Marseille ont été mis en examen, une vague de colère a gagné nombre de commissariats, dans le sud de la France.
Publié le 24 juillet 2023 à 13h41
Photo d'illustration © Alain ROBERT/SIPA
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Le mouvement de fronde prend de l’ampleur. Depuis le jeudi 20 juillet, les policiers protestent contre la mise en examen de quatre de leurs collègues, dont l’un a été placé en détention provisoire. Si la profession n’est pas autorisée à faire grève, un mouvement de contestation s’est déclenché au sein des forces de l’ordre. Des centaines d’agents ont déposé un arrêt maladie, ou se sont mis en « code 562 », assurant ainsi un service minimum. Après l’agglomération parisienne, la grogne s’étend dans le sud.
Un millier de policiers sont d’ores et déjà en arrêt maladie à Marseille, mais le mouvement se propage à Nice, à Toulouse, Toulon, Avignon, ou encore à Nîmes. « La BAC Toulon jour et nuit se met en congés maladie à partir d’aujourd’hui et demain », indique aussi une source policière à Valeurs actuelles. Certains agents des compagnies d’intervention (CI) ont rejoint le mouvement. Sur instruction du commissaire divisionnaire, ceux qui sont en congés, même les rappelables, ne seront pas rappelés. « Je n’ai jamais vu ça », glisse un agent, avant d’ajouter : « La fronde est là ».
« Dans les groupes police sur WhatsApp, tout le monde s’échange des adresses de médecins complaisants. C’est la course à l’arrêt. C’est un carnage », confie une source policière à Valeurs actuelles. « De ce que j’en vois, il n’y aura aucun flic à Toulon cette nuit, indique cet agent en colère. Confirmation par la hiérarchie directe, normalement les majors sont aux ordres, là ils appellent eux-mêmes à l’arrêt. Incroyable. »
En Île-de-France, le mouvement de contestation prend également de l’ampleur, notamment à Saint-Denis, Vincennes ou encore La Courneuve. À Paris même, les véhicules Police Secours ne circulent plus dans le XIIe arrondissement. Vendredi 21 juillet, le syndicat Unité-SGP Police FO a appelé « tous les policiers du territoire national à se mettre en 562 dès maintenant », soit à n’assumer plus que les missions d’urgence et essentielles.
Samedi 22 juillet, le directeur de la police nationale Frédéric Veaux s’est rendu à Marseille, où il s’est entretenu avec des représentants de la police et des syndicats, afin d’apaiser la gronde. « Je suis venu leur apporter un message de soutien de la part du ministre de l’Intérieur et de moi-même », a-t-il expliqué dans un entretien au journal Le Parisien.