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9 Décembre 2021
Le débat est, en politique l'art d'opposer pour aboutir à un certain résultat. En démocratie l'opposition est entre programmes et arguments de groupes politiques qui ont choisi les partis, des structures institutionnelles, pour faire triompher celui que l'on a choisi, par la voie « démocratique » terme hélas ambigü.
Hélas ! le débat est souvent perverti par la dialectisation.
Ce dernier terme, surtout à partir de la fin du XVIII ème siècle, a désigné les méthodes d'accès au pouvoir suprême par voie de propagandes dévoyées par le désir de substituer l'argumention mensongère et violente, à la discution et au dialogue. Les partis totalitaires, le nazime et le marxisme ont opéré par des manipulations de populations en vue de créer des sociétés prétendument parfaites, sous la coupe de partis uniques se présentant comme expressions de la volonté de partis uniques imposant par la force leurs volontés et programmes sensés être la concrétisation du BIEN absolu. Au vingtième siècle Hitler conquit le pouvoir sensé être la concrétisation de la volonté du peuple aryen embarqué dans l'extermination des « peuples inférieurs ou dégénérés » (les juifs, les noirs, etc). La dialectisation opérait par les oppositions radicales et permanentes des races.
Les communistes, en Russie, en Chine, etc, dialectisaient en s'appuyant sur les classes (la lutte des classes). Lénine, Staline Trotsky, Mao, furent (ou sont encore, par leurs disciples) les maîtres de cet art de tuer au nom du bien. Ils glissaient, quand il le fallait pour la victoire, vers la lutte des races. (Le bilan est connu : plusieurs dizaines de millions de morts).
Aujourd'hui, avec les mouvements de populations, les peuples sont de moins en moins homogènes biologiquement, et c'est le « modèle racialiste » qui semble prendre le pas sur les autres modèles .
Le racisme redevient la technique de prise du pouvoir et penche de plus en plus vers « l'esprit » du racisme hitlérien, tout en se proclamant ouvertement « antiraciste » et très volontiers antiblanc. Ce mouvement antiraciste ou néo racisme vient, paradoxalement des USA : et de partis ou mouvements promoteurs de la culture « woke ».
La France est travaillée au corps par cette culture woke, dont certains leaders blancs se font les laudateurs tel Jean-Luc Mélecnhon mais aussi des Thuram ou des Rokhaya Diallo.
Bien entendu l'immense majorité des noirs en France n'est pas soumise à cette « culture » subversive. Mais c'est elle que la minorité noiriste vise à subvertir.
Quand un leader politique français analyse et refuse le « wokisme », tel Eric Zemmour, le voiçi dénoncé comme fasciste et nazi (ce qui est un comble pour ce juif français!).
On peut n'être pas toujours d'accord avec Zemmour, mais Nazi ? N'importe quoi !
A son récent meeting d'entrée en lice électorale, un jeune français noir était présent, Tanguy David.
Le voici aussitôt accusé de nazisme, et menacé de mort.
Ce jeune homme a du caractère. Il n'est pas décidé à se laisser faire, ni décapiter.
Pour entendre la belle interview qu'il a donnée à Valeurs Actuelles, il vous suffit de de cliquer sur le lien ci-dessous. (Le Scrutateur).