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5 Novembre 2020
Quelle ingratitude ! Elle lui doit tout. Elle a été complice de son imposture. Et en plus elle a saboté son conconnat dès les législatives qui ont suivi son élection. Mais quand une bonniche se prend pour la maîtresse de maison parce qu’elle est la maîtresse de l’occupant des lieux ! Lequel disons-le en passant n'a que ce qu'il mérite.
Elle ne roule pas en Harley Davidson, mais elle ne craint personne ! Sociétaire des Grosses Têtes de RTL depuis le mois de septembre, la journaliste Valérie Trierweiler ne semble pas pouvoir échapper à des blagues régulières sur sa relation passée avec François Hollande. Mais cela ne semble pas vraiment la gêner, puisqu'elle n'est pas la dernière à rire de certaines situations. Comme dans l'émission de ce mercredi, alors que Laurent Ruquier évoquait une récente interview, diffusée dans le podcast La playlist de ma vie de la plateforme Deezer, dans laquelle l'ancien président de la République se confiait sur ses goûts musicaux.
Et une question a particulièrement retenu l'attention : quelle est sa chanson préférée lorsqu'il se déplace en scooter dans Paris ? C'est évidemment cette question croustillante qu'a choisi de poser Laurent Ruquier à ses chroniqueurs mercredi, faisant mine d'oublier la présence de Valérie Trierweiler, qui ne garde pas un très bon souvenir des sorties en scooter de son ex, qui va bientôt devenir à nouveau grand-père... "Oui, oui, oui... le hasard...", réagit la journaliste, mordante. "Et donc vous allez me demander ce qu'il écoutait sur son scooter quand il allait rejoindre Julie Gayet, peut-être ?", insiste même Valérie Trierweiler, anticipant toutes les blagues auxquelles Laurent Ruquier avait certainement pensé et provoquant l'hilarité générale. Sauf qu'à la surprise de tous les sociétaires de l'émission, elle connaît même la réponse. "C'est les amants de Saint-Jean", lâche t-elle, laconique, citant le titre interprété par Patrick Bruel.
Avant de se montrer beaucoup plus incisive : "j'ai lu cet article, et je me suis dit 'il n'a vraiment rien à foutre !' Parce qu'aller donner une interview sur ses playlists, en pleine période attentat, parce qu'on était le lendemain de la décapitation (de Samuel Paty, ndlr)... C'était pendant cette période-là ! Je me suis dit : 'le pauvre, il n'a vraiment rien à faire !'" Un tacle cruel, mais pas totalement juste, puisque comme le souligne Christophe Beaugrand, aussi présent dans l'émission, le podcast a été diffusé le 28 octobre, soit 12 jours après le terrible attentat de Conflans-Sainte-Honorine.