Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Coronavirus : de plus en plus de cyberattaques exploitant la peur de la pandémie, selon Interpol.

Coronavirus : de plus en plus de cyberattaques exploitant la peur de la pandémie, selon Interpol.
Coronavirus : de plus en plus de cyberattaques exploitant la peur de la pandémie, selon Interpol.


 

(https://www.valeursactuelles.com/monde/coronavirus-de-plus-en-plus-de-cyberattaques-exploitant-la-peur-de-la-pandemie-122371#node-article-comment )


 

Interpol a averti ce mardi 4 août d’une inquiétante hausse de cyberattaques. Certains malfaiteurs se feraient passer pour des gouvernements et des institutions sanitaires. 

Près de 907 000 spams, 737 incidents causés par des logiciels malveillants, 48 000 liens URL nuisibles… Voici ce qu’Interpol a détecté dernièrement et révélé dans un communiqué ce mardi 4 août. Depuis le début de la crise sanitaire, il y a de plus en plus de cyberattaques dans une cinquantaine de pays. Leur point commun ? Toutes sont « liées au coronavirus ». 

Des « attaques exploitant la peur et l’incertitude » 

Interpol a notamment réalisé un sondage entre les mois d’avril et mai. Elle a interrogé ses 194 pays membres. Seulement, 48 pays y ont répondu, dont 42% en Europe, 19% en Asie, 17% en Afrique, 12% en Amérique et 10% au Moyen-Orient. Comme le relaye Le Figaro, des « partenaires privés », comme des entreprises spécialisées dans la sécurité, ont également fourni des informations. Le secrétaire général d'Interpol Jürgen Stock a déclaré dans un communiqué publié ce mardi : « Les cybercriminels sont en train de développer et d'augmenter leurs attaques à un rythme alarmant, exploitant la peur et l'incertitude causées par la situation économique et sociale instable du fait du Covid-19. »


 


 

Sur le même sujet

Un important site du “dark web” démantelé par la cyberdouane française

Se faire passer pour « des autorités sanitaires »

Près de deux tiers des pays ayant participé au sondage rapportent des faits d'escroquerie ou d’hameçonnage pour récupérer des données personnelles. Les malfaiteurs se feraient « passer pour des gouvernements ou des autorités sanitaires », de quoi alpaguer les victimes. Jürgen Stock a expliqué que cette « dépendance grandissante dans le monde au web » pourrait créer de nouvelles opportunités d’attaques, notamment « avec beaucoup de commerces et de particuliers ne s'assurant pas que leurs (capacités de) défense (en ligne) soient à jour ». 

Cependant la technique d’attaque la plus dénoncée par les pays sondeurs serait la diffusion de logiciels malveillants accompagnée d'une demande de rançon ; avec une « évolution dans le choix des cibles » pour « maximiser les dommages et les gains financiers », relaye Le Figaro. Ces attaques tentent d’abord de désorganiser les infrastructures sanitaires et ensuite de leur demander une rançon. Un phénomène qui a largement augmenté ces derniers mois. Interpol a même noté un pic pendant les deux premières semaines d’avril. « De multiples groupes (criminels) qui étaient inactifs ces derniers mois » auraient repris du service, selon Interpol.

En troisième position, la technique frauduleuse la plus citée par les pays interrogés seraient l'enregistrement de noms de domaines qui utiliseraient des mots-clefs comme « coronavirus » ou encore « COVID ». Encore plus de sites internet récupéreraient les données personnelles d’internautes « en quête de matériel médical ou d'information sur le coronavirus », explique le communiqué. Les pays relatent notamment qu’une augmentation de fausses informations est de plus en plus présente sur la toile.


 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
L
J'ai eu un mail des "impôts" me réclamant un remboursement, pour se faire il fallait leur donner mes coordonnées bancaires, j'ai appelé les impôts qui m'ont répondu qu'ils ne m'avaient pas envoyé de mail et surtout de ne pas répondre, j'ai eu mon compte vidé en novembre dernier, les voleurs ne m'avaient laissé que 45€, au moment où je devais acheter les cadeaux pour ma famille j'ai été complètement sonnée. La police et le service des fraudes de la BNP ont fait une enquête et heureusement ils ont retrouvé mon argent à la banque postale qui a aussitôt fait une enquête elle aussi, mon compte a été bloqué et je l'ai laisser bloqué, quand je veux faire des transfert d'argent de compte à compte il faut que j'envois un mail à ma conseillère qui le fait, c'est embêtant, mais je ne voudrais as un autre siphonnage, car si on ne retrouve pas l'argent, la banque ne rembourse pas!
Répondre