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26 Septembre 2018
Qui se souvient encore de l'affaire où Youssouf Fofana et une bande de petites frappes avaient enlevé un jeune juif (les juifs sont de plus en plus menacés par les bandes de la diversité, et pas seulement eux, mais aussi par l'extrême gauche). L'affaire avait soulevé alors une vague d'indignation. Elle fut cependant étouffée par les ténors du monde médiatique au pouvoir (un Ruquier, par exemple et sa bande télévisuelle).
Fofana pour sa défense aurait pu évoquer le climat « culturel » dans lequel les jeunes français sont plongés 24 h sur 24 : violence tous azimuts, sexualité débridée, répandue et exposée par tous les canaux modernes de la médiasphère. Propagande non innocente, tendant à décérébrer, et à ramollir les cerveaux, à exténuer toutes les vertus, tous les repères moraux et sociaux qui permettent tant aux individus, qu'aux nations et aux peuples de se tenir debout.
Quand on parle (et exalte) aujourd'hui la « culture » on n'évoque ni Kant, ni Molière ou Racine (à propos, dans son dernier livre Zemmour consacre un beau chapitre à Racine, et à sa pièce Bérénice), ou Mozart, Bach, ou Debussy, ni même la part du Rap qui pourrait être qualifiée d'artistique, mais précisément le pire de cette production.
Ainsi Nick Conrad est un rappeur. Celui-la même qui appelle à l'assassinat de tous les blancs. Le lien qui suit montre de quoi il s'agit.
Je pose une question : ce degré d'abjection n'avait pas été atteint, en Europe du moins depuis 1945. Ce que font ces gens dans le clip s'apparente très exactement aux abominations commises par des SS dans les camps de concentration.
Pourquoi ces créatures se permettent-elles ces tortures et humiliations abjectes, sinon parce qu'elles savent que des sophistes occidentaux les exalteront comme on a exalté le marquis de Sade ?
Une autre question : comment expliquer que des acteurs blancs se soient prêtés à ces postures misérables, humiliantes, et masochistes ? Par haine de soi ? Peut-être. Il y a toujours eu des malades, et aussi des stipendiés.
Mais il y a aussi des complices. Je l'ai dis en commençant les pires ne sont pas toujours ceux que l'on croit, et où l'on croit. Ces leucodermes pourraient bien être de ces antifas qui tant s'acharnent contre un intellectuel valeureux, tellement courageux, Eric Zemmour.
Ces messieurs ont déjà existé dans l'histoire. Dostoïeswski les a décrit dans son si grand livre Les possédés où ils s'activent (au XIX ème siècle) pour préparer la révolution russe. J'en reproduis un passage suggestif en photographie . Ce sera la deuxième illustration de cet article.
Le Scrutateur.
Dans le Figaro on peut lire au sujet de cette affaire :
LE SCAN POLITIQUE - Le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, a «condamné sans réserve (les) propos abjects et (les) attaques ignominieuses» de Nick Conrad. Il exige le «retrait sans délai des contenus diffusés» par le rappeur.
Les paroles sont on ne peut plus claires. Dans sa chanson «PLB», dont le clip a été publié sur YouTube le 17 septembre dernier avant d'être retiré, le rappeur Nick Conrad interprète ce qui s'apparente a minima à une incitation à la violence, voire à un appel au meurtre. «Pendez les Blancs», exhorte-t-il. «Je rentre dans des crèches je tue des bébés blancs. Attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tout âge, petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement. Que ça pue la mort que ça pisse le sang», martèle-t-il encore.
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Ces propos ont conduit le parquet de Paris à ouvrir mercredi une enquête pour «provocation publique à la commission d'un crime ou d'un délit», et à confier les investigations à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Avant cela, le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, avait déjà réagi sur Twitter pour «condamner sans réserve ces propos abjects et ces attaques ignominieuses». «Mes services œuvrent au retrait sans délai des contenus diffusés. Il appartiendra à l'autorité judiciaire de donner les suites appropriées à ces odieux appels à la haine», a indiqué le locataire de la Place Beauvau.