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24 Mars 2017
Vous avez certainement suivi la prestation de François Fillon hier soir sur France II. Je ne résumerai donc pas ce moment de l'histoire des procès politiques en France, digne de ceux du temps de la révolution française, où de ceux dits de Moscou, au temps du communisme, à une différence près : les accusés ( coupables seulement d'être en désaccord ou avec Robespierre, ou avec Staline ) étaient condamnés d'avance ( voir par exemple le film L'aveu sur un de ces procès en pays communiste : https://www.youtube.com/watch?v=LFaudOoSI7U . La version complète du film se trouve sur Youtube. Récit, avec Yves Montand et Simone Signoret d'évènements réels. Je ne peux m'empêcher de trouver une ressemblance entre la silhouette d'Yves Montand dans cette scène et celle de M. Fillon. ).
Dès la mise en accusation, nous dirions la « mise en examen », les accusés étaient sûrs de l'ignoble et assurée condamnation finale ( à la mort ).
Le totalitarisme en pays dit « libéral » se différencie de ceux de Moscou, en ceci qu'actuellement l'on ne vise plus la vie des condamnés mais leur mort politique et sociale, que les tribunaux sont, encore partiellement mais de plus en plus, les plateaux de télévision, les procureurs des « artistes » aux ordres ( du politiquement correct ) genre Christine Angot, et les témoins des … disons « Pujadas » nom destiné, avec quelques autres du même tonneau, destiné donc à devenir synonyme de sycophantes, c'est-à-dire voyous ou de faux-culs.
La France est en bonne voie sur le chemin de l'asservissement, et je souhaite, aussi bien pour moi, que pour les naïfs qui haussent les épaules en lisant ces lignes, que le mouvement fatal soit encore réversible.
Je laisse la parole à Yves Thréard qui commente l'accusation démente du procureur de sa majesté, Christine Angot, contre François Fillon.
Le Scrutateur.