29 Avril 2012
Quand Julien Dray ( oui! Ju-li-en Dray!!! ) met le doigt sur la perversion du part socialiste.
(Le parti du Bien dans tous ses états. )
( Cette photo est plus ancienne que la monstrueuse communion dans le cynisme du stupre, organisé par Julien Dray, hier soir, 28 avril, à l'occasion de son anniversaire? Plus ancienne puisqu'on y voit Ségolène Royal, qui, tout de même a trouvé la pilule trop difficile à avaler, et, invitée a préférer tourner les talons. Les Français, même de gauche, qui ont conservé le sens de l'honneur, voteront-ils pour le parti de l'abaissement de la France, et de son abandon aux mains de ces gens qui ne croient à rien, sinon à l'hédonisme sans limite, et au FRIC. Car il ne manque pas de "friqués" sur cette photo, et dans l'quipe de Groland, qui se présente comme le parti des damnés de la terre ).
Fric, partouzes et mensonges, telles sont les valeurs du Parti socialiste.
À la demande de l'un des leurs, "le meilleur d'entre eux" est venu prêcher la bonne parole.
Ce n'est pas le moment : on est trop occupés à b... les Français ont répondu certains parmi les troupes de Groland.
PUBLIÉ LE 29/04/2012 11:30 - MODIFIÉ LE 29/04/2012 À 11:43 | AVEC AGENCE
DSK et Laurent Fabius dans le staff de campagne de Ségolène...en 2007 Royal DDM
Le député PS Julien Dray a convié samedi soir dans un bar parisien Ségolène Royal, Manuel Valls et Pierre Moscovici notamment, pour fêter son anniversaire mais sans les avertir de la présence de Dominique Strauss-Kahn, ce qui a provoqué le départ de certains d'entre eux.
Cette rencontre a été révélée samedi soir sur Twitter par le journaliste du Point, Saïd Mahrane, qui a posté sur son compte deux photos, l'une de DSK et l'autre de Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande. Ces photos ne les montrent pas ensemble.
Julien Dray fêtait son anniversaire dans un bar de la rue Saint-Denis, mais n'avait pas prévenu les autres invités de la venue de l'ancien directeur général du Fond monétaire international, a-t-on indiqué au PS.
On a affirmé qu'en l'apprenant Ségolène Royal, Manuel Valls et Pierre Moscovici, directeur de la campagne de François Hollande, étaient repartis aussitôt et n'avaient "pas croisé" M. Strauss-Kahn.
"Dire que j'aurais rencontré Dominique Strauss-Kahn à cette occasion serait diffamatoire", a prévenu Mme Royal, interrogée par l'AFP. "Je suis allée dans ce bar avec ma fille fêter l'anniversaire de Julien Dray, nos enfants sont amis, mais je ne savais pas que Dominique Strauss-Kahn était également invité. En l'apprenant, nous sommes tout de suite reparties et nous ne l'avons pas croisé", a-t-elle ajouté, en soulignant que M. Valls en avait fait autant. Elle a jugé "inadmissible" que Julien Dray ne lui ai rien dit avant.
Plusieurs autres sources, dont une de l'entourage de M. Strauss-Kahn, ont affirmé à l'AFP que MM. Valls et Moscovici n'avaient pas quitté le bar en apprenant la venue de l'ex directeur général du FMI, mais avaient longuement parlé avec lui et son épouse Anne Sinclair.
En revanche, ces sources ont confirmé le départ de Mme Royal et le fait qu'elle ne l'ait pas croisé. Cette invitation est intervenue à la veille du dernier grand meeting parisien du candidat socialiste à la présidentielle, une semaine avant le scrutin.
En outre, elle est survenue après la diffusion par le journal britannique Guardian d'une interview de DSK au journaliste américain Edward Epstein dans laquelle l'ex patron du FMI accuse ses opposants politiques de lui avoir barré la route de la présidentielle avec l'affaire du Sofitel de New York.
Dimanche, M. Strauss-Kahn a fait savoir à l'AFP qu'il n'avait jamais "donné d'interview au Guardian" et qu'il s'agissait "d'un montage à partir d'un livre". Les propos de DSK ont déclenché une passe d'armes entre les équipes de François Hollande et de Nicolas Sarkozy.