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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Martinique et Guadeloupe, pays nègs! par Eric Nogard.

Pays nègs! 



Martinique Pays Nègre, ou, Les Uns par-ci, les autres par là.

 

Depuis qu’a soufflé sur elle ce vent de Négritude

La Martinique se veut pays à nègres et ne connait qu’un mot NEGS.

Et tout le reste au diable, « Nou Ka Fouté Yo Déro ».

Que certaines langues fourchent comme elles sont promptes à le faire, le fait est là.

Les Nègres de Martinique veulent du pays pour eux seuls, sauf à leur curer leurs chiotes.

 

N’en déplaise à Marie-Jeanne, à Lise, à Letchimy, à William etc…

Le fait raciste est là, un racisme sans partage, et de l’Indépendance il est le ciment.

La cassure s’est faite NETTE, sans le moindre quiproquo, les dés sont jetés.

Désormais, est-il possible de vivre dans un climat semblable.

Peut-on supporter plus longtemps cette épée de Damoclès au dessus de sa tête.

 

N’en déplaise à tant d’amis sincères, qu’ils soient femmes ou hommes.

Malgré l’affection si longtemps partagée et pour nous d’un grand prix,

Depuis la Négritude, depuis son chantre érigé en idole, la couleur de la peau obsède tous les esprits.

Nul ne sait pourtant, ce qui est bien ou mal, à part le créateur,

Mais le Nègre chez-nous, convaincu par son Dieu dont-il est fanatique, vous oblige à choisir.

 

Et notre choix est fait, nous sommes dans l’attente du verdict du Peuple.

Quand l’heure sera venue, sans jugement de valeur, nous nous dirons Adieu.

Nègs par-ci, Nègs par-là, à en devenir fou, quoi de plus révulsant.

S’il est vrai qu’il ne peut pas en être autrement, pourquoi pas

Nègres par-ci et les autres par là et le temps nous dira si c’était bonne chose.

 

N.B. :   Fort heureusement, pour cela Dieu Merci,

            On n’est pas tous pareils, tant d’un côté que de l’autre.

            Aussi nous espérons qu’il viendra bien un jour, qu’il y aura un lieu

            Où ceux qui ne regardaient pas au taux de mélanine

            Pourront se retrouver, pour se tendre ou la joue, ou la main et s’aimer.

 

Eric E.G. NOGARD



Eric E.G. NOGARD,

24 rue Osman Nadeau, Voie 3 Ravine-Vilaine,

97200 Fort-de-France (MARTINIQUE)

Tél. / Fax. / Répondeur :  0596 798102;  Port : 0696 856708;

E-mail : eric.nogard@orange.fr

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P
TROIS PETITS ENFANTS<br /> <br /> Ils étaient trois petits enfants, <br /> L'un eut la blancheur pour étrenne,<br /> Le second était bois d'ébène, <br /> L'autre n'était ni noir ni blanc.<br /> <br /> <br /> Or le premier ne savait pas <br /> Qu'il était blanc et le deuxième<br /> Se voyait semblable au troisième<br /> car ils allaient du même pas!<br /> <br /> <br /> Car c'était trois petits enfants<br /> Qui ne voyaient la vie qu'en rose<br /> Comme une fleur à peine éclose, <br /> Ils s'en allaient à travers champs. <br /> <br /> En chantant les petits enfants, <br /> En chantant de toute leur âme<br /> Qui point n'appréhendait le drame, <br /> <br /> <br /> Tout d'un coup le ciel devint gris, <br /> Puis noir sur le champ de goyaves. <br /> Mais leurs yeux point ne furent graves <br /> Lorsque la foudre les surprit.<br /> <br /> Leur âme s'en fut par les champs. <br /> S'en alla sur l'aile des vents<br /> Soufflant vers un autre rivage<br /> Plus haut que le plus haut nuage,<br /> <br /> L'âme unique des trois enfants. <br /> Une seule âme pour trois?<br /> Sans doute on peut ne pas y croire; <br /> Mais ce n'est là qu'une humble histoire, <br /> Comme on en contait autrefois. <br /> <br /> <br /> Edouard Marsolle, Au clair de mon âme,<br /> <br /> :
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C
Pour M. NogardCe poême d'Edouard Marsolle est extrait d'un recueil intitulé "Au clair de mon âme". Il est relevépar M. Edmond Dupland dans son livre sur les "Poêtes de la Guadeloupe", pour illustrer "la préoccupation du poête de voir s'améliorer la condition humaine, de voir surtout plus de compréhension réciproque s'établir entre nous tous; c'est un message de paix que lance le poête".                                                                                                               Chantal Etzol
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T
Tiens cet imbécile afrocentré est de retour.
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K
vous êtes un grand malade, il faudrait faire un tour en psychiatrie, vous  etes toujours entrain d etre dans le rejet de sois, vous avez le syndrome de lynch 
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E
Un grand MERCI, bien Chère Madame ETZOL pour l'émouvante histoire des Trois Petits Enfants.Eric E.G. NOGARD
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C
                                               TROIS PETITS ENFANTSIls étaient trois petits enfants,                                 Tout d'un coup le ciel devint gris,L'un eut la blancheur pour étrenne,                         Puis noir sur le champ de goyaves.   Le second était bois d'ébène,                                  Mais leurs yeux point ne furent gravesL'autre n'était ni noir ni blanc.                                   Lorsque la foudre les surprit.Or le premier ne savait pas                                      Car c'était trois petits enfantsQu'il était blanc et le deuxième                                Qui ne voyaient la vie qu'en rose.Se voyait semblable au troisième                             Comme une fleur à peine éclose, car ils allaient du même pas!                                    Leur âme s'en fut par les champs. En chantant les petits enfants,                                 S'en alla sur l'aile des ventsEn chantant de toute leur âme                                 Soufflant vers un autre rivageQui point n'appréhendait le drame,                           Plus haut que le plus haut nuage,Ils s'en allaient à travers champs.                             L'âme unique des trois enfants.                                               Une seule âme pour trois?                                               Sans doute on peut ne pas y croire;                                               Mais ce n'est là qu'une humble histoire,                                               Comme on en contait autrefois.                                                        Edouard Marsolle 
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M
Merci monsieur pour cet article.Ils se trompent ceux qui croient que nos îles sont "neg". Qu'ils revoient un peu leur histoire!KI YO VLE, KI YO VLE PA, LA GUADELOUPE ET LA MARTINIQUE SONT "METISSES"! Espérons que nos chères îles demeureront riches de ce mélange de couleurs, de cultures.Laissons, à leur "petit" complexe d'infériorité, ceux qui prônent le "noirisme" et le "négrisme "à outrance.La vie est une école et un jeu où l'on apprend chaque jour à se grandir.Permettez-moi de citer ici, Félix Eboué."Jouer le jeu c'est, par la répudiation totale des préjugés, se libérer de ce qu'une expression moderne appelle le complexe d'infériorité. C'est aimer les hommes, et se dire qu'ils sont tous bâtis selon la commune mesure humaine qui est faite de qualités et de défauts".
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P
ILS ETAIENT TROIS PETITS ENFANTS<br /> <br /> Ils étaient trois petits enfants,<br /> L'un eut la blancheur pour étrenne,<br /> Le second était bois d'ébène,<br /> L'autre n'était ni noir ni blanc.<br /> <br /> <br /> Or le premier ne savait pas<br /> Qu'il était blanc et le deuxième<br /> Se voyait semblable au troisième<br /> car ils allaient du même pas!<br /> <br /> <br /> Car c'était trois petits enfants<br /> Qui ne voyaient la vie qu'en rose<br /> Comme une fleur à peine éclose,<br /> Ils s'en allaient à travers champs.<br /> <br /> En chantant les petits enfants,<br /> En chantant de toute leur âme<br /> Qui point n'appréhendait le drame,<br /> <br /> <br /> Tout d'un coup le ciel devint gris,<br /> Puis noir sur le champ de goyaves.<br /> Mais leurs yeux point ne furent graves<br /> Lorsque la foudre les surprit.<br /> <br /> Leur âme s'en fut par les champs.<br /> S'en alla sur l'aile des vents<br /> Soufflant vers un autre rivage<br /> Plus haut que le plus haut nuage,<br /> <br /> L'âme unique des trois enfants.<br /> Une seule âme pour trois?<br /> Sans doute on peut ne pas y croire;<br /> Mais ce n'est là qu'une humble histoire,<br /> Comme on en contait autrefois.<br /> <br /> <br /> Edouard Marsolle, Au clair de mon âme,
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TROIS PETITS ENFANTS<br /> <br /> Ils étaient trois petits enfants, <br /> L'un eut la blancheur pour étrenne,<br /> Le second était bois d'ébène, <br /> L'autre n'était ni noir ni blanc.<br /> <br /> <br /> Or le premier ne savait pas <br /> Qu'il était blanc et le deuxième<br /> Se voyait semblable au troisième<br /> car ils allaient du même pas!<br /> <br /> <br /> Car c'était trois petits enfants<br /> Qui ne voyaient la vie qu'en rose<br /> Comme une fleur à peine éclose, <br /> Ils s'en allaient à travers champs. <br /> <br /> En chantant les petits enfants, <br /> En chantant de toute leur âme<br /> Qui point n'appréhendait le drame, <br /> <br /> <br /> Tout d'un coup le ciel devint gris, <br /> Puis noir sur le champ de goyaves. <br /> Mais leurs yeux point ne furent graves <br /> Lorsque la foudre les surprit.<br /> <br /> Leur âme s'en fut par les champs. <br /> S'en alla sur l'aile des vents<br /> Soufflant vers un autre rivage<br /> Plus haut que le plus haut nuage,<br /> <br /> L'âme unique des trois enfants. <br /> Une seule âme pour trois?<br /> Sans doute on peut ne pas y croire; <br /> Mais ce n'est là qu'une humble histoire, <br /> Comme on en contait autrefois. <br /> <br /> <br /> Edouard Marsolle, Au clair de mon âme,<br /> <br /> :