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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Une semaine à la loupe ( 22/06/10 ) : Les guignols du foot, par Henri Pauvert.

Une semaine à la loupe.  

 

 

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1.  Les guignols du foot !

Je ne suis pas un spécialiste de foot mais je suis français, fier de l’être, même si de temps en temps, je ne suis pas d’accord avec eux et je ne comprends pas toujours mes compatriotes. J’ai honte du feuilleton que montrent les joueurs de la coupe du monde qui se disent français ! Non seulement ils passent pour des guignols, mais ils donnent une piètre image de la France. Ce sont des "gogos", des enfants gâtés qui gagnent des millions et sont incapables de justifier leurs émoluments. Que dire d’un coach qui participe à cet hallali et d’une fédération qui est incapable de prendre des décisions. Laurent Blanc devrait faire un grand ménage complet et éliminer toute cette bande de "friqués". L’équipe de France a volé sa sélection au mondial et elle continue à montrer son incapacité à représenter notre pays. Mais pouvait-on attendre autre chose de gens qui n’ont pas faim car pleins aux as. Ils font honte à tous ceux qui croient dans un sport collectif. L’équipe est peuplée d’individualités ethniques incapables de s’entendre. Notre modèle d’intégration sportive n’est pas une réussite, celle de l’intégration tout court n’est pas mieux. Nos gouvernants du passé ont failli dans leurs missions et la débâcle des "guignols du foot" n’est qu’un signe de la catastrophe qui nous attend....si!!.

2.  Ce qui attend les futurs retraités...

Après deux mois de concertation, la réforme des retraites se veut volontariste. En affichant un objectif ambitieux de retour à l’équilibre des régimes des retraites en 2018, le gouvernement entend donner des gages budgétaires à ses partenaires européens et aux marchés. En même temps, il a cherché à adoucir les angles pour éviter un embrasement social. L’âge légal porté à 62 ans, le levier de la durée de cotisation augmenté, un alignement du public sur le privé, de nouveaux prélèvements, quelques créations comme les nouveaux droits concernant la pénibilité, les périodes de chômage et de la maternité. La réforme devrait contribuer à réduire le déficit public de la France de ½ point d'ici à 2013, date à laquelle le gouvernement s'est engagé à le ramener à 3% du PIB. D’ici 2020, les mesures annoncées par le gouvernement diminueraient le déficit public de près de deux points de PIB. À l’intérieur comme à l’extérieur du pays, l'on trouvera très vraisemblablement beaucoup des sceptiques sur la capacité de la France à redresser aussi rapidement ses comptes. Il y aura donc de nombreux débats autour de cette réforme. Mais il ne faut pas s'attendre à de grands changements avant l'examen de la réforme en septembre à l’Assemblée nationale et en octobre au Sénat. D’ici là, les syndicats et la gauche, toutes tendances confondues, s'entendront bien pour porter sur la place publique et dans la rue leur refus de la retraite à 60 ans.

3.  Le retour à l'équilibre des retraites dès 2018 est-il réaliste ?

Eric Woerth, le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique, lors de la présentation du projet de réforme du gouvernement a martelé que l'objectif "n'est pas moins de déficit, c'est un déficit zéro dès 2018". Selon le ministre, les recettes cumulées liées au plan s'élèveront à 27,2 milliards d'euros en 2018. Le gouvernement ne prévoit pas une aggravation du déficit public car il le considère comme un gain, calcul que contestent certains dont la présidente de la Caisse nationale de l'assurance vieillesse, Danièle Karniewicz, qui trouve que "le compte n'y est pas". Le financement des retraites est-il désormais assuré ? Rien n'est moins sûr car une grande incertitude pèse sur l'avenir car le projet de réforme du gouvernement ne répond pas à cette question. Il place le curseur de l'âge de départ à la retraite au cœur de sa réforme. Or les gains économiques de cette variable s'estompent sur le long terme. En effet, selon le COR, Conseil d'orientation des retraites, la hausse de l'âge légal à 62 ans permettrait une amélioration du déficit des retraites de moitié en 2020, puis d'un quart en 2030 et d'à peine 15% en 2050. Ne fallait-il pas revenir aux 65 ans d'avant 1980 ? Les Français, poussés par des syndicats et une gauche démagogues ne sont pas prêts à accepter cela. Alors face à cette situation défavorable, il est inutile de se lamenter, acceptons notre sort et cherchons à en tirer le meilleur profit : Faisons contre mauvaise fortune bon cœur...

4.  Quelques euros par mois pour un serveur informatique.

Il est possible, pour moins de 20 euros, d'héberger son site Internet, ses courriers électroniques, ses applications légères et les sauvegardes de ses données sur un serveur dédié externalisé. C'est ce que propose une société d'infogérance aux PME et TPE. Cette offre de base devrait faciliter la gestion des réseaux de nombreuses petites entreprises pour qui le coût de gestion d'un site est très lourd financièrement.

5.  Des Smartphones aussi puissants que des PC !

La sortie de Smartphones de nouvelle génération, comme l’iPhone 4, relance la concurrence et une véritable course aux processeurs cadencés à plus d'un gigahertz, soit plus d’un milliard d'oscillations par seconde. Cette véritable course aux performances n’est pas sans rappeler celle qui touche encore le monde des PC. Les gigahertz sont devenus un argument de vente à part entière pour les Smartphones, ce qui ne pourra que faire baisser le prix des terminaux d’entrée de gamme. La guerre est déclarée entre les constructeurs qui veulent offrir le plus de mégahertz et ceux qui préféreront opter pour des offres moins tapageuses et probablement plus efficaces, comme des puces bi-cœurs, c'est-à-dire des processeurs qui intègrent deux cœurs, ce qui permet aux application d'être beaucoup plus performantes et de faire tourner deux logiciels simultanément sans perdre de la performance.

6.  L'importance de la communication non-verbale.

Dès les premiers regards échangés, un candidat est déjà en train de communiquer avec son interlocuteur. Ainsi la façon de sourire, de serrer la main, de regarder son interlocuteur envoie des signaux positifs ou négatifs qui peuvent parasiter un discours. Il est indispensable que la première impression soit la bonne. Après le premier contact, la gestuelle, la façon d'occuper l'espace sont aussi pris en compte. Il est donc important que l'attitude demeure en harmonie avec le message que l'on veut faire passer. Au cours de l'entretien tous les gestes comptent et en tout premier la politesse est indispensable. Il faut saluer, remercier, sourire mais il faut aussi montrer sa capacité à s'intégrer grâce à une tenue vestimentaire adéquate. Certaines postures peuvent envoyer des signaux au recruteur : Par exemple un buste qui se projette en avant montre une volonté de capter l'attention. De même des bras croisés tout au long de l'entretien montrent un manque d'ouverture Le syndrome des jambes impatientes dénote surtout une certaine exaspération. Cependant il ne faut pas chercher à tout contrôler car seule la répétition des gestes est porteuse de sens. Il est donc important de rester le plus naturel possible. La communication non verbale peut s'améliorer. Aussi est-il nécessaire de s’y préparer. Le mieux est alors de demander à quelqu'un de vous observer pendant que vous répéterez votre présentation et de vous indiquer les gestes à éviter. Mais attention à ne pas imiter un autre et respecter votre propre style.

 

Henri Pauvert.

 
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