Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
18 Décembre 2009
Tirer sur Boulogne, ou se tirer dans les pattes.
Parmi les très rares messages qui me parviennent en ce moment où le Serveur du Scrutateur est très défaillant, c'est le moins que l'on puisse dire, il y a celui-ci
d'Eric Nogard que je publie, évidemment bien volontiers. D'autant plus qu'il me permet de préciser que l'article que j'ai publié sur deux des articles de Philipp, concernant des
questions d'ordre religieux, ne signifiait nullement un mouvement d'humeur en vue de préserver ou conquérir je ne sais quelle "suprématie" qui n'a jamais été ma préoccupation. J'ai de la
considération pour ce qu'il écrit, et que je publie d'ailleurs sur Le Scrutateur, quand il me fait l'honneur de nous les adresser.
Mais on peut s'estimer, et ne pas être d'accord sur tout. Sur le jugement qu'il porte sur les religions qu'il met toutes sur le même plan, le christianisme et l'islam, ou le bouddhisme, ou les
animismes, etc, j'ai voulu réagir, et manifester mon désaccord. On peut être chrétien, par exemple, et ne pas être le plus ignorant des ignorants, le plus fanatique des fanatiques, un névrosé en
quête de consolations faciles; etc, etc.
Je l'ai fait sur un ton un peu polémique, c'est vrai. Mais Philipp, sur cette question de la polémique, n'est pas tout à fait innocent, non plus.
Mais la polémique ne doit pas tomber dans l'aigreur.
Bien que je me tienne à la disposition de qui voudra, j'estime que les uns et les autres, sur Tatun, aussi bien que sur Le Scrutateur, devraient maintenant mettre fin à cette petite querelle qui
a déjà le mérite de montrer que nous avons les uns et les autres des convictions, et que nous ne sommes pas de ces "occidentaux" qui ne croient plus en rien. Merci à tous.
Et joyeux Noêl (qui fut - et demeure encore - une fête chrétienne ) à tous, à Philipp, à Tatun, et bien entendu à Eric Nogard.
Edouard Boulogne.
Fort-de-France, le 17 Décembre 2009
Tirer sur Monsieur BOULOGNE, Ou, Se tirer dans les Pattes.
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Tirer sur Monsieur BOULOGNE-Le SCRUTATEUR comme nous le faisons.
Lui tirer à Boulets Rouges et pour quel crime au juste.
Ne serait-ce pas au juste nous tirer nous-mêmes un grand coup dans les pattes.
Nous sommes un Peuple jeune, fougueux, spontané et c’est très bien.
Mais pensons à deux fois, n’ayons pas la gâchette trop facile.
Que nous aimions PHILIPP, quoi de mieux. Il sait si bien nous parler.
Le lire est pour nous un plaisir, lisons le donc jusqu’au bout.
Et mieux, relisons le souvent… en y mettant de plus en plus notre attention.
A chaque lecture son message, même si le texte est le même
Et, disons-nous ce qui compte le plus : PHILIPP nous aime et il veut notre bien.
Quant à Monsieur BOULOGNE-Le SCRUTATEUR, pourquoi lui tirer dessus.
Ne nous aimerait-il pas assez, notre Bien, ne serait-il pas son grand souci.
Pourquoi ne pas le lire en faisant au besoin l’effort d’y aller jusqu’au bout.
Pourquoi, s’agissant de lui, ne pas fouiller, bêcher… et le relire encore.
L’Or, tel que le trouve l’orpailleur, est-il tel qu’on le porte autour du cou.
Un Philosophe est-il du commun des mortels, ne sort-il pas de l’ordinaire.
Voyons-nous ce qu’il voit, savons-nous tout le bien qu’il nous veut.
Son propre est-il de nous flatter l’oreille, de nous bercer d’illusions.
Si c’est ça notre idée, au Diable Monsieur BOULOGNE et qu’on n’en parle plus.
Néanmoins, réfléchissons à deux fois : un philosophe est un philosophe.
Qu’il soit Aristote, Epictète ou Tournesol, un philosophe est un philosophe.
Et cela, TINTIN le sait bien, Milou aussi, tout comme HADDOCK d’ailleurs.
Pourquoi serions-nous les seuls à traiter un philosophe comme nous le faisons.
Nous avons deux oreilles, prêtons les toutes les deux, tant à PHILIPP, qu’au SCRUTATEUR.
Nous savons qu’ils nous aiment, qu’ils œuvrent pour notre bien, écoutons-les.
Un jour nous les comprendrons, de même qu’un jour nous les oublierons.
Et quand nous aurons tout oublié de ce qu’ils nous auront appris… alors !
Alors, il nous en restera assez d’eux, Dieu Merci, qui fera notre Force et notre Stature.
Peu importe pour eux que nous oubliions d’où nous sera venu cette Force…
Ils auront rejoint le lieu de leur dernier repos, au terme de leur mission, tout comme l’éléphant…
Eric E.G. NOGARD
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