8 Mars 2012
Je pense que nous sommes en 1981 : les Français n'aimaient pas Giscard, ils n'aiment pas davantage Sarkozy. Il y a d'ailleurs des points communs dans leur exercice du pouvoir,même si leur style personnel différait quelque peu. Les Français, en 1981, se sont jetés dans les bras d'un Mitterrand surcôté par la propagandastaffël médiatico-intellectuelle. En 2012, ils sont prêts à se jeter dans les bras du Père Noël qui a pris les traits grotesques de François Hollande dont l'ego kiouf-kiouffé a pris tous les kilos qu'il avait perdus par ailleurs. Après 1981, en moins de deux ans, Mitterrand avait mis le pays par terre. Or les caisses étaient pleines à l'arrivée de celui-ci. En 2012, les caisses sont vides, et Hollande va - sciemment - enterrer la France bancale. Tout ça, pour... changer de destin. Brûler la maison, pourvu que l'on se fasse cuire un oeuf. En 1981, les Français auraient peut-être mieux fait de voter pour Giscard : seraient-ils capables de le comprendre ?
Nicolas Sarkozy sera élu Président de la République selon
Electionscope
8 mars 2012 |
|
De Gaule le disait lui-même: « les français sont des veaux », rien de nouveau depuis, cela s’est juste confirmé, mais ce qui risque d’arriver et qui arrivera selon Electionscope est catastrophique, on laisserait les clés au squatteur de l’Élysée qui pourrait ainsi continuer à saigner la population et vivre dans le luxe comme un dictateur africain!!!
L’institut Electionscope est formel, Nicolas Sarkozy sera élu Président de la République en mai prochain. Les études menées sont seulement basées sur des statistiques de prévision électorale et non sur des enquêtes d’opinion.
A noter que l’institut Electionscope ne se trompe jamais. En effet, le même travail avait été réalisé pour les trois précédentes élections présidentielles françaises et américaines et leurs prévisions se sont toujours réalisées.
Une sorte de Paul le Poulpe de la politique.
L’investigation menée par Bruno Jérôme et Véronique Speziari se fonde sur l’influence, sur les choix des électeurs, de la situation économique (représentée par les statistiques de chômage) autant que la popularité mesurée par les sondages. Le facteur déterminant de la réélection du président sortant est le chômage. Les créateurs expliquent : « Si le chiffre du chômage était remonté au-dessus de 9,6 %, Hollande aurait pu l’emporter, expliquent les deux chercheurs. Mais l’Insee a annoncé un taux de 9,4 % le 1er mars. Quoi qu’il advienne, le score sera serré : un 57-43 en faveur de la gauche est totalement exclu« .
Source: menly.fr via Les chroniques de Rorschach