19 Octobre 2011
( Voilà, chers amis, je suis de retour après quatre jours dans ma thébaïde de la Désirade, une grotte des falaises, côté Est, qui m'a été laissée par un ancien fou de l'île de Thierry Henry, un collgue mathématicien et passablement mystique, qui a quitté le département. Quatre jours, de délices loin du monde et du bruit, troublé seulement dimanche soir, quand j'ai eu la drôle d'idée de descendre au Bourg, pour voir ce qui s'y passait.
C'est ainsi que dans un petit bistrot surchauffé, j'ai pu voir à la télé le baiser de la mort ( malgré les apparences ) entre Simplet ( François Hollande ) et Stalinette ( l'Aubry ) à laquelle un instituteur du coin, assez lettré, trouvait une face de Gorgone. Ces deux là ne s'aiment pas beaucoup, et à les regarder je me disais que Sarkozy n'a pas encore perdu la présidentielle comme le croient et l'espèrent un certain nombre de niais.
Mais, je n'insiste pas ce soir 19 octobre, car ce n'est que vendredi, comme annoncé que je reprendrai mon rythme de croisière.
Ce soir je voudrais simplement vous proposer une lecture intéressante. celle de l'entretien que vient de publier le Figaro-Magazine entre Eric Zemmour et Alain Corbin notre compatriote guadepoupéen, un cousin de Michel Corbin l'architecte, sur la dévirilisation de notre société.
Je vous laisse découvrir nos deux débateurs.
E.Boulogne
Par Patrice De Méritens - le 15/10/2011
«Après le triomphe de la virilité au XIXe siècle, une crise s'est peu à peu manifestée, laquelle se prolonge de nos jours», observe l'historien Alain Corbin qui publie Les Héros de l'histoire de France expliqués à mon fils et dirige la publication de Histoire de la virilité . «Mais ce délitement n'est pas venu de soi-même, ce fut une volonté idéologique pour imposer une dévirilisation doublée de féminisation», lui répond Eric Zemmour , auteur du Premier Sexe .
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