Que de charitable compréhension il y a autour des pétarades racistes du sieur - pardon ! de la divinité - Cayol !
Rappelons les propos de l'excusé Cayol (par opposition à l'accusé Despointes), le verbiage du dénommé Félix PETIT (qui est probablement ce ce l'on désigne en
termes ethniques - point de passage désormais obligatoire du discours dit de la diversité - par le mot "Antillais").
Claude CAYOL, serait-il atteint d’une sénilité prématurée ?......
Quelle ne fut pas ma stupeur d'entendre un élu censé être responsable par son statut, revendiquant de plus avoir été professeur de l'Etat français pendant 40 ans, donc
tout aussi éducateur, tenir des propos à caractères explicitement racistes, humiliants, discriminatoires, prônant l'exclusion et la xénophobie en présence de lycéens,
futurs adultes et citoyens du monde. Détrompez vous Mr CAYOL, nos jeunes ne sont pas des "ti neg" mais de vrais citoyens du monde, ouverts, tolérants et intelligents ce
qui n'a jamais été reconnu chez vous comme une qualité première. Il est vrai qu'à la seule évocation de votre nom, la génération de martiniquais de 45 et plus n'hésite
pas à vous qualifier de fait de voyou et de malfrat. Vous avez tout au long de votre carrière sportive largement symbolisé cette posture que vous entretenez encore, peut
être est-ce le fait d'une sénilité qui vous ronge prématurément. Cela peut-il se soigner? La science fait aujourd'hui d'énormes progrès, donc nous espérons tous que vous
pourrez en bénéficier avant qu'il ne soit trop tard...
Mais Mr CAYOL, vous oubliez d'où vous venez?? Vous semblez ignorer ou oublier que votre carrière d'enseignant, dont vous en avez fièrement fait l'apologie dans vos
propos d'hier, vous la devez d'abord à vos jambes et vos pieds mais surtout pas à votre intelligence qui n'a peut être pas été mesurée à sa juste valeur. Il est encore
temps de demander un «check-up" pour éviter que vous persistiez dans la tenue de propos nauséabonds qui vous rapprocherez d'un avatar lepéniste mais avec sa dose de
mélanine.
Vous le devez à l'Etat français qui au détriment sûrement de personnes plus qualifiées et compétentes que vous, bien entendu avec l'appui de vos
responsables sportifs de l'époque, vous ont permis de rejoindre l'institution Education Nationale par la petite porte, pour y rester 40 ans avec le statut de
fonctionnaire bénéficiant des 40% de l'Etat français. Curieusement, je ne vous ai jamais entendu parler du sort que vous ont réservé les "grands blancs qui sentent et
sont mal coiffés", les colonialistes de français et subir l'aliénation française.
Disons le, vous n'avez été qu'un piètre profiteur du système comme bon nombre de vos compères, pendant que d'autres martiniquais subissaient eux de
vraies difficultés sociales et de réelles discriminations.
Mais quelle ascension sociale pour quelqu'un n'ayant comme unique compétence et qualité de «taper dans une balle".
De plus, Mr CAYOL vous n'avez jamais eu le courage d'annoncer haut et fort, partout et en toute occasion dans les médias qui vous accordent à tort du crédit, que vous
avez vécu aux frais de la princesse "française". Pendant 2 ans, après avoir supplié "une grande dame blanche qui sentait sans doute
bon et était bien coiffée, à l'époque Rectrice d'Académie, de vous accorder avec diligence une décharge totale d'enseignement tout
en percevant les "maigres 40%" de surrémunération, vous n'avez pas semblé être plongé dans un abîme de perplexité; bien que profitant sans vergogne de ce que l'on
appelle tout simplement un passe-droit. Pendant cette période, vous avez respecté au-delà de nos espérances le contrat qui vous liait à l'Etat en ne dispensant pas la
moindre heure de cours "aux petits martiniquais" qui vous sont aujourd'hui éternellement reconnaissant de votre honnêteté intellectuelle et professionnelle.
Ils ont bon dos "les petits martiniquais" qui pendant que vous faisiez le paon dans les cirques Région et Conseil Général aux frais des contribuables martiniquais (je
fais référence à vos rémunérations en tant que Conseiller Général, Conseiller Régional, Vice-président du CG et qui sait président d'une commission, ajoutées à vos
salaires de professeur d'EPS).
Ces jeunes auxquels vous avez montré avec tant de morgue votre attachement lors des émeutes de Février, ont pu heureusement pour leur cursus scolaire, être pris en
charge par des professeurs, parmi eux des métropolitains.
Il est vrai que vous régentiez la MARTINIQUE les poches pleines alors que des professeurs contractuels dont on connait la précarité, s'occupaient de
la jeunesse martiniquaise.
Alors Monsieur CAYOL, je vous le dis sans ambages, vous qui revendiquez en toute occasion "la dignité martiniquaise", vous avez indigné la Martinique et sa population
avec vos propos de "nazillons".
Vous relevez d'une action en justice ce dont j'encourage les professeurs et les élèves touchés par vos "excrétions verbales" nauséabondes.
.Quel exemple pour "un éducateur???" (Dont je doute fort que vous ne l’ayez jamais été?).
Je me dépêche d'en référer à SOS RACISME, à la HALDE pour vous trainer devant le tribunal compétent.
Vous êtes un "has been"(au cas où vos insuffisances intellectuelles ne vous permettraient de comprendre cette expression: je vous la traduis: VOUS ÊTES FINI!!!! VOUS
ETES UN RINGARD!!!
LE 73 VAINCRA ET NE COMPTEZ PAS SUR UNE ABSTENTION EVENTUELLE POUR Y CROIRE.
Martiniquais et Martiniquaises, levez vous, faites barrage aux révolutionnaires de pacotille, aux dictateurs de tout poil et aux macoutistes.
Allez voter en masse pour les RAYER du paysage politique martiniquais et de l'Histoire de la MARTINIQUE
VOTEZ NON AU 74!!!
Ne prenons pas le risque de nous engager avec ces porteurs de chimères. Notre jeunesse, nos enfants et nos petits enfants valent mieux que cela et nous le reprocheront
toute notre vie.
Félix PETIT
Militant socialiste
Au fait, Mr CAYOL, exprimez vous en créole, c'est plus de vos compétences car faire un lapsus pareil (castre), pour heu!!!!! Un enseignant?????(Quel niveau!). Heureux
que vous soyez sorti du système éducatif.
NB/ je suis prêt à débattre avec cet individu à l'invitation de n'importe quel média.
(* les mauvaises langues pourraient dire "supra caca", mais nous n'en faisons pas partie)