17 Mai 2013
Le Conseil constitutionnel n'y ayant pas fait obstacle, la loi sur ledit « mariage pour tous » sera promulguée demain, ou dans les jours qui viennent. Elle n'est pas l'expression du peuple français. Hollande prétend qu'elle est celle de la « République ». Mais sous ce terme bien des choses ont été mises, historiquement, qui sont contraires à la loi naturelle, et conformes, en revanche, à la volonté de lobbies. Certains parlent de République du Grand Orient. C'est aussi la République ( des droits de l'homme! ) qui en 1793, instaura un régime de terreur que les enseignants de M. Peillon voudraient bien dédouaner et faire oublier, ou faire passer pour un simple accident de l'histoire.
Quoiqu'il en soit, il faut un régime politique, pour assurer à un moment donné de l'histoire d'un peuple, un certain ordre. Une loi est votée. Pour l'instant, elle est la loi en France. Mais ce qu'un parlement à fait, un autre peut le défaire.
Dans les mois qui viennent il faut s'attendre à de nombreuses provocations des lobbies, à des « mariages » en grande pompe, et grands tralalas, abondamment mis en évidence par les médias que nous avons. Mon avis est que pourtant il n'y a pas lieu de prendre la mouche pour ces gaudrioles. Les homosexuels désireux de se marier ne seront pas bien nombreux. La pantomine actuelle n'étant qu'un moyen dans l'esprit des promoteurs que l'on sait de détricoter l'une des institutions traditionnellement fortes de la nation. A ma connaissance, le « président » Hollande n'a toujours pas annoncé sa décision de se marier avec son actuelle concubine.
Les magistrats, avocats, hommes de loi en revanche, doivent s'attendre à un surcroit de travail avec l'abondance des demandes en divorce qui déferleront dans les six mois qui viennent, ni avec les conflits pour la garde des enfants ( adoptés ) qui ne manqueront de s'ensuivre. Jouer à la poupée un moment est une chose. Elever et éduquer des enfants dans la durée en est une autre.
Nous devons penser sans cesse à la suite, et nous armer ( le coeur, et l'intelligence ) pour le combat qui va suivre, et qui engage l'avenir de notre civilisation. Il est 22h35, et l'on me pardonnera de n'être pas plus long ce soir.
Nous reviendrons dans les jours prochains sur les prochains épisodes d'un combat vital.
Je publie en annexe à ce court article, la note que vient de m'envoyer notre ami Sully Tacite sur le même sujet.
Edouard Boulogne.