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18 Novembre 2009
Mme Penchard nous prend pour des idiots !
Malgré tout le respect que nous devons à notre nouvelle Ministre des DOM, Mme Penchard (pas parce qu’elle est Ministre mais parce
qu’elle est une Dame …) nous pouvons lui dire bien en face que la mésaventure qui vient de lui arriver Samedi dernier lors de sa rencontre avec les voyous de l’UGTG est bien fait pour Elle..
Quand on est assez naïve pour aller rencontrer des gens infréquentables, il ne faut surtout pas ensuite venir se plaindre de s’y être salie les mains.
On nous dépêche en urgence une ministre toute fraîche pour aller s’asseoir à une énième table de négociation avec des gugusses dont
TOUT le monde sait qu’ils sont incapables de discuter intelligemment plus d’une minute, qu’ils n’ont AUCUNE légitimité pour le faire, qu’ils ne représentent RIEN et sont directement le reflet
d’un groupuscule terroriste, raciste et xénophobe dont les textes fondateurs méritent la Prison !
Cela fait des mois que tout observateur un peu sérieux sait très bien que le LKP n’existe plus, qu’il n’a en fait jamais réellement été une force de négociation, qu’il n’y a pas eu de
« grève » ici mais bien prise d’otages, que les Antillais ne veulent plus en entendre parler et que les nazillons qui le composent sont ce qui se fait de pire en matière d’imbéciles
tyranniques, bornés, violents et ineptes.
Et on veut aller discuter avec ces gens là ?
Mais une question tout de même: que font les Renseignements Généraux aux Antilles ?
On nous dit qu’en France ces « excellents services » de renseignements et de sécurité de l’Etat savent tout de nous, qu’ils nous surveillent et qu’ils sont même capables de faire mettre en prison pendant des mois un type « suspecté » d’avoir eu peut-être envie de faire dérailler un TGV.
Et ici sans doute à cause des effets pervers de nos rhums un peu forts, ils ne sont pas capables de la moindre analyse sérieuse de la
situation et de comprendre le réel rapport de force qui se développe aux Antilles ????
On se moque de nous !
Que l’on ne vienne pas nous dire que Mme la Ministre ne sait pas que la très grande majorité des Antillais n’est pas favorable à
l’UGTG et ses méthodes. Et pourtant c’est L’UGTG qu’elle reçoit et salue.
Que l’on ne vienne pas nous dire que les services de la Préfecture n’avaient pas entendu Domota annoncer AVANT la réunion qu’il allait encore une nouvelle fois appeler à la Grève générale ?
Quel intérêt alors de le recevoir et d’accepter de « discuter » avec lui ?
En temps que Citoyens nous devons refuser à tout membre du gouvernement de nous représenter en adressant la parole à ce pitre.
Que l’on ne vienne pas nous dire que notre République est capable de se compromettre au point d’envoyer à grand frais une Ministre s’asseoir à une table des « négociations » avec des
bouffons auxquels en métropole Sarkosy n’enverrait même pas une lettre mais plutôt un Karcher ou des cars de CRS !
On nous prend pour des billes, des nuls, des crétins !
Et il y en a marre !
D’une part Domota n’étant représentant de rien de légitime, ayant démontré sa grande capacité à cracher sur nos institutions, nos représentants et nous-mêmes, à être parfaitement incapable de négocier quoique ce soit et de vouloir clairement et sans dissimulation jeter nos îles dans le chaos sans être suivi par la population, ne mérite certainement pas d’être reçu par nos représentants officiels (même par un Y Jego pathétique en février dernier) et invité à quoi que ce soit.
La meilleure position à l’égard de ce sinistre individu est le mépris et l’oubli définitif.
Notre pouvoir politique joue avec le feu, et c’est nous qui allons brûler !
Domota n’a aucun intérêt à s’assoir à une table de négociation. Pas besoin d’être Ministre pour comprendre cela.
Le pouvoir de Domota c’est la Rue, le désordre, le discours haineux, raciste, xénophobe et caricatural, le surf sur la haine farouche et imbécile. Domota n’a aucun pouvoir à une table de
négociations. Il n’a rien à y dire et il sait parfaitement que dans les urnes il se ramassera un petit 2% des voix et même ses abrutis de garde du corps peut-être payés largement pour gueuler
dans les rues ne voteront pas pour lui.
Domota n’a finalement aucun avenir car il n’a pas l’intelligence, (lui et ses sbires bornés) de transformer son discours en hypothèses d’avenir.
Tout le monde en Guadeloupe les connait très bien ces blaireaux de l’UGTG qui depuis des décennies nous assènent les mêmes inepties et
nous entraînent vers les mêmes désordres.
Mais voila pendant trop longtemps de façon bien coupable personne ici n’a voulu les entendre sérieusement. On a fait comme si ces gens là étaient fréquentables.
La majorité des Guadeloupéens portent tout de même une lourde responsabilité dans la tout puissance scandaleuse de l’UGTG et il est bien tard pour se réveiller.
Cette journée de grève annoncée pour le 24 sera très certainement un flop de plus. Depuis mars dernier finalement les grandes
mobilisations de Domota sont toutes des échecs cuisants.
Mais il faut tout de même se méfier, car il y a un danger évident.
Mis à part les syndiqués UGTG, les employés des mairies obligés par certains Maires comme J Bangou ou E Jalton à aller suivre les beuglants dans les rues, le mouvement ne sera pas suivi mais le
risque c’est le dérapage incontrôlé.
Domota a perdu son pari, même si les médias et le pouvoir métropolitain lui donne encore de l’audience, sur le plan local, il s’est mis beaucoup de monde à dos et finalement on s’apercevra dans
quelques mois que l’UGTG ne sortira pas grandie de cette triste épopée.
Mais le grand danger c’est le clash au détour d’une rue.
L’UGTG va encore chauffer à blanc quelques parasites ahuris aux cerveaux ramollis qui risquent à un moment ou un autre de tomber face à des citoyens littéralement excédés par ces mois de délire
stressant dans nos îles.
Et le danger est potentiellement là, c'est-à-dire une dérive violente qui pourrait jeter les Antilles dans un chaos définitif et irrécupérable.
Contrairement à ce qu’il fait croire Domota est aux abois. Il sait très bien que plus personne ne le soutient sauf ceux qui n’ont aucune capacité de réflexion ou ceux qui, par calcul un peu naïf
(nos politiques ?), louvoient comme des fous furieux au dessus d’un nid de vipères.
Il y a, on peut le sentir nettement, une dérive de plus en plus dangereuse dans nos îles et elle vient de la terrible et stressante lassitude qu’engendrent toutes ses inepties dont on nous
abreuve tous les jours.
Les Antillais n’en peuvent plus d’entendre sans cesse parler de Domota et de son LKP d’opérette.
Les médias qui nous soulent littéralement d’âneries permanentes, le pouvoir central qui fait semblant de ne rien entendre pour nous rouler dans la farine et nous obligé à partir vers l’aventure
la plus sombre, nous fatiguent sérieusement et seront eux-aussi, comme l’UGTG, entièrement responsables si un jour ou l’autre une explosion de colère fait dériver tout cela vers l’anarchie
violente incontrôlable. A force de jouer avec le feu et d’exciter les esprits simples, nous risquons d’avoir des morts et cela ne servira l’intérêt de personne même de ceux qui pensent manipuler
tout cela.
Mme Penchard est venue nous arnaquer, désolé de le dire de façon si peu élégante.
Si le pouvoir de Sarkosy n’avait pas quelque chose d’inavouable derrière la tête, jamais une Ministre UMP ne perdrait son temps à s’asseoir face à un type du genre Domota en perte de vitesse et
ne représentant que du vent.
C’est l’alliance du Diable et de son fidèle Méphisto qui se ligue contre nous et nous assistons presque impuissants (puisqu’on ne nous écoute JAMAIS) à la mise en place d’une stratégie immonde à
laquelle beaucoup de naïfs prêtent leur concours sans réfléchir.
Il y a quelque chose d’exaspérant dans cette chape de plomb ou ces détournements de propos et d’idéologies qui nous empêchent de voire la vérité et d’être entendus clairement.
Depuis des décennies les Antillais ont accepté de jouer un jeu trouble. Des intérêts confus, peu moraux, pas très honorables ont fait
que sur place, on a accepté de soutenir et de laisser certains nazillons de la pire extrême gauche prendre une importance démesurée difficile à contrer aujourd’hui et qu’à l’échelon national la
lecture de nos positions est systématiquement troublée et déformée à tel point que nous avons perdu le moyen de nous faire comprendre clairement.
Tant que nos médias joueront un rôle pervers et dangereusement orientés, tant que le Pouvoir Central n’avouera pas honnêtement ses buts, tant que les « politiques » locaux seront en dessous de tout et incapables de gérer le Bien Commun, nous allons nous trouver devant un mur dont il devient de plus en plus invivable de supporter l’opacité.