Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Le siège de la Rochelle, par Alexis Céron.

Le siège de La Rochelle

segolene-royal-la-rochelle.jpg 

 

S’il est un siège qui fait du bruit – et Richelieu, cette fois, n’y est pour rien – c’est bien celui de La Rochelle. Plus précisément, celui de la première circonscription de Charente Maritime. Qu’en adviendra-t-il dimanche prochain ? Dieu seul le sait, même s’il est possible que le diable s’en doute un peu. En attendant, carpe diem.

 

Savourons chaque molécule de cette circonstance du plus haut comique que l’on pourrait croire imaginée par Molière en personne, tant tout y est plus vrai que vrai. Dans le désastre qui menace la France, si, comme ce n’est pas impossible, la gauche rafle la mise, c’est une nouvelle plutôt réjouissante. Elle ne guérit personne, mais elle distrait tout le monde. C’est déjà ça. Il arrive en effet que dans les pires épreuves surgisse une petite consolation. Et même si un dessert parfait ne parvient jamais à faire oublier un très mauvais repas, il y apporte une touche de douceur bienvenue : quelle rigolade ! Du mécanique plaqué sur du vivant. Pourvu que l’héroïque Farloni – et Dieu sait ce que, en coulisse, “on” doit lui proposer : peut-être cela se chiffre-t-il en millions d’euros – ne se laisse pas émouvoir par le chant des Sirènes venues de la terre ferme ; sirènes de pompiers pourrait-on dire dans l’occurrence de cette farce grolandaise.

 

Tout ce qui est excessif est insignifiant. Et cette inénarrable Ségolène incarne tous les excès. On la dit même assez parente de Caligula, cette Ségolène-là. Attendons ! Attendons ! Jouissons de l’heure fugitive car l’éphémère est la règle. Espérons aussi, car le sort a parfois d’étranges complices. Comme il nous faut nous accommoder des joies autant que des peines, cueillons vite cette rose de la vie avant que celle-ci ne perde son charme, qui tient autant à sa robe qu’à son parfum. Et si, dans le désordre de nos émotions vulgaires quoique légitimes, nous nous sommes laissés sournoisement envahir par la plus urticante curiosité, nous n’avons pas eu le temps de nous dessécher : de quelle manière les contrariétés de madame de Pompadour affectent-elles madame du Barry, nous demandions-nous ? Eh bien la réponse – enfin ! une réponse – est arrivée ce matin, par la magie des ondes, pour nous inviter à penser que nous n’étions peut-être pas les plus émoustillés par cette drôle de guerre. L’actuelle première dame de Hollande a “fait” l’actualité, ce matin sur le dos, si l’on peut dire, de l’ancienne en rajoutant une touche supplémentaire de mécanique sur le vivant – et tellement vivant que le registre des péchés capitaux s’ouvre devant nos yeux. Est-ce pour gagner notre cœur qu’elle a ainsi versé sa petite obole à notre distraction au point que nous serions sur le point d’oublier la gravité du sort que ces gens-là réservent à la France que nous chérissons ? Aujourd’hui, à défaut de panem, nous avons au moins au moins eu notre ration de circences.

 

Entre la Royale et la Présidentielle – enfin ! la “connaissance” du Président, comme on a dit lorsque le président Félix Faure passa si brutalement de l’état de très chaud a celui de complètement froid – ce n’est pas vraiment l’amour fou. C’est du moins ce que dit la rumeur, premier média de France. Comme quoi, le partage des mêmes valeurs n’est pas forcément un lien si solide que ça. Il se dit même que les concubines du pacha se haïssent, ce qui a de quoi étonner, car les socialistes passent leur temps à dire qu’ils aiment leur prochain, et que c’est même l’un des fondamentaux de leur propension au partage et à la redistribution des richesses, comme on a pu le voir avec Dominique Strauss-Kahn qu’une stupide erreur d’interprétation a éloigné de l’affection de ses pairs, car chez les socialistes, amour rime avec toujours, comme prochain rime avec machin. Et tandis que Ségolène peine, Valérie rit, croit-on savoir, comme pour nous inviter à penser que, sur le registre des célèbres valeurs socialistes, l’amour du prochain n’est pas l’amour des anciennes, ou des ex comme l’on préfère.

 

Ainsi court le bruit que l’actuelle première dame de Hollande aurait envoyé au concurrent de celle qu’elle a remplacé dans les draps du pacha un message des plus amicaux, ce qui semblerait confirmer que la complicité entre les concubines les plus célèbres de France est aussi introuvable qu’un œuf de cochon. François Hollande, qui est un homme de consensus autant que de concubinage viendra à bout de cette situation, n’en doutons pas. N’est-il pas transcourants ? Après avoir embobiné des millions de français, comment ne viendrait-il pas à bout de cette épique rivalité entre le passé et le présent ? En attendant le pacha est rattrapé par son passé et le naufrage de la Royale sera peut-être la première épreuve de son règne.  De l’ire de l’une à l’ironie de l’autre, le coup de tabac de La Rochelle risque de devenir tempête sous sa propre couette. Un peu à la manière de Pearl Harbour, l’offensive a surpris tout le monde, mais la guerre des concubines est bel et bien déclarée, or l’article 16 de la Constitution ne prévoit pas une telle éventualité. Cette guerre-là, bien que domaine réservé du chef de l’Etat, est par définition le théâtre d’opérations sur lesquelles il est loin de disposer des pleins pouvoirs.

 

Maîtresse Ségolène se voyait donc déjà au perchoir, fromage valant indemnité de licenciement par les bonnes grâces de Hollande. Quatre beaux enfants, et tant de bons moments, ne valent-ils pas quelque substantielle pension ? Eh bien comme dans toutes les affaires privées de ce bon monsieur Hollande, la République était chargée d’y pourvoir. Mais voici que Trierweiler rime avec Twitter, et patatras : les cornes se mettent à pousser de tous les côtés. Il fallait bien qu’elle mette son p’tit grain de sel, celle-là. À plus forte raison pour assaisonner la Ségolène.

 

Pauvre Ségolène, déjà tellement sujette à la paranoïa ! Sans compter que Stalinette et la mère Pétard – entendre par-là Martine Aubry qu’elle hait et Cécile Duflot qu’elle ignore – débarquent à La Rochelle, pour prêter main forte à leur amie Ségolène. C’est d’ailleurs ce que fit, il n’y a pas si longtemps, Martine Aubry à Montpellier : elle voulait alors imposer sa candidate contre un dissident local qu’il s’agissait de mater. Les amis de feu  Georges Frêche en rient encore, et ils ne sont pas les seuls. Évidemment, Olivier Farloni n’est pas Georges Frêche, mais l’horoscope de Ségolène qui, il y a cinq ans lui faisaient miroiter le statut si convoité de première dame de France (sans s’encombrer de François Hollande, en plus), n’en est pas plus rassurant pour autant. Pour obscurcir le ciel de Ségolène, rien de tel que tous ces concours de bonne volonté ! Elle a beau se prévaloir du soutien du Président de la République en personne, elle n’en est pas moins humiliée par la première Dame de Hollande.

 

Alors sur qui va-t-elle passer ses nerfs, d’après vous ?

 

La première chose qu’elle reprochera au pacha, c’est son inaction. Et ce reproche aura un petit air de déjà entendu : « Le point faible de François Hollande, c'est l'inaction, reprendra Ségolène. Est-ce que les Français peuvent citer une seule chose qu'il aurait réalisée en trente ans de vie politique ? Une seule ? Pas même foutu de gérer ses concubines, ce molasson. » Et Fançois Hollande aura beau rétorquer que sa douce colombe ne lui en avait jamais fait grief tout le temps qu’ils roucoulaient de conserve, elle lui rétorquera qu’il n’était pas, alors, président de la République, et qu’il aurait pu avoir gagné en autorité sur les femmes puisqu’il avait pris du galon.

 

Comme personne ne sait de quoi demain est fait, faisons un rêve. Imaginons que ce Vaudeville, en plus de nous régaler, montre aux Français la face à peine cachée de la farce quotidienne de ces autorités qui entendent incarner la France et les Français : quel spectacle ! Ségolène-Perrette, de son perchoir déchu, et l’omniprésent renard nous enseignant – contrairement à ce que prétend Rousseau – que tout socialiste vit aux dépens de celui qui l’écoute. Les Français devraient s’en rendre compte : toute l’imposture, toute la gloutonnerie du pouvoir, et tout le mépris pour les raisonnements les plus élémentaires s’étalent devant leurs yeux, or bien peu s’en rendent compte. Est-ce parce qu’ils ne veulent pas voir ?

 

Poursuivons notre rêve : imaginons Ségolène battue. Réjouissante perspective, car un peu de justice et une petite dose de morale élémentaire n’ont jamais fait de mal à personne sur la place publique. Et encore moins à Ségolène : de telles circonstances l’arrachant à ses délires dominateurs la rendraient peut-être meilleure.

 

La leçon de ce truculent siège de La Rochelle est la suivante : et si nous cessions de nous laisser faire ?

 

La confiscation de la démocratie, des institutions et de la souveraineté par des apparatchiks, ça suffit, non ?

 

Pendant que nous avons encore le choix, votons donc pour que cessent petits jeux et petits caprices des petits princes et petites princesses de la République. Votons pour qui nous voulons. Profitons-en pour dire adieu au sans-gêne qu’incarnent Ségolène et ses clones.

 

 

                                                                                              Alexis Céron, le 12 juin 2012

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
F
<br /> Il n’y a pas que dans la vie privée de François Hollande que Valérie<br /> Trierweiler est déterminée à faire le ménage. Avec moins de succès…<br /> <br /> <br /> On s’y attendait un peu : les rapports entre Valérie Trierweiler et la presse sont du genre légèrement tendus. Les journalistes du Monde viennent de révéler que la première dame a tenté<br /> de faire retirer deux photos prises en marge de la séance organisée à l’Élysée pour la réalisation du portrait officiel de François Hollande.<br /> <br /> <br /> Selon le journal, le 4 juin, Valérie Trierweiler a découvert « ulcérée » un portfolio réalisé par les assistants de Depardon sur le making-of de cette journée, publié par<br /> LeMonde.fr. Elle a appelé aussi sec la rédaction pour demander le retrait de deux photos sur les neufs que compte l’album.<br /> <br /> <br /> Qu’y a-t-il de si terrible sur ces clichés qui nécessitait leur retrait immédiat ? Le Président en caleçon troué entre deux essayages ? Un bout de papier sur le frigo avec les codes nucléaires<br /> griffonnés à la hâte ? La pile de Voici que François Hollande collectionne amoureusement depuis 10 ans et qu’il planque sous le lit présidentiel ?<br /> <br /> <br /> Pire… Valérie Trierweiler elle-même !<br /> <br /> <br /> La first girlfriend n’a tout simplement pas supporté qu’on puisse découvrir qu’elle assistait ce jour-là à la réalisation du portrait officiel de son homme.<br /> <br /> <br /> La rédaction du Monde a bien évidemment refusé d’accéder à sa demande. Vous pouvez donc continuer à admirer Valérie admirant François<br /> ici. <br />
Répondre
A
<br /> Lettre<br /> ouverte à Valérie Trierweiler de Bernard Debré<br /> <br /> <br /> <br /> Madame,<br /> <br /> <br /> Lorsque vous êtes apparue aux côtés de François Hollande, après qu’il eut quitté Ségolène Royal, les citoyens français ont accepté votre présence, certains avec<br /> interrogation, d’autres avec un petit sourire, mais la plupart avec gentillesse. En France, l’amour est roi et les nouveaux couples qui se forment, surtout en politique, attirent plutôt la<br /> bienveillance.<br /> <br /> <br /> Nicolas Sarkozy avait bénéficié de cette même « grâce » lorsque Cécilia était partie. Il s’en était expliqué, peut-être un peu trop, en conférence de<br /> presse et s’était marié avec Carla Bruni. Autre temps, autre mœurs, diriez-vous. Effectivement, qu’il s’agisse du général de Gaulle avec « tante Yvonne », de Giscard d’Estaing et<br /> d’Anne-Aymone, de François Mitterrand et de Danielle ou même de Jacques Chirac et de Bernadette, ces femmes versaient plutôt dans le caritatif discret que vers l’émergence people<br /> tapageuse.<br /> <br /> <br /> Il est vrai cependant que la presse, pour François Mitterrand, a laissé tomber un manteau de discrétion sur sa double vie qu’il n’a révélée qu’à ses dernières<br /> heures. Déjà, il paraissait (mais qui a osé en parler ?) tout à fait anormal que sa deuxième « épouse » et sa fille soient prises en charge par l’État : appartement officiel sur le Quai<br /> Branly, voitures, chauffeurs, gardes du corps, cuisines et cuisiniers.<br /> <br /> <br /> Bref ! Les frasques de François Mitterrand, gardées secrètes par des journalistes complices, ont coûté quelques 8 à 10 millions d’euros au budget de<br /> l’État<br /> <br /> <br /> Carla Bruni n’a pas agi dans ce sens ni Bernadette Chirac. Mais vous voilà arrivé et avec vous, comme le dit la gauche, la modernité, ringardisant tout ce qui s’est<br /> passé avant.<br /> <br /> <br /> Après tout, François Hollande a le droit d’avoir comme amie qui il veut et le temps qu’il le désire. Quant au titre de « première dame », il est usurpé. Ce<br /> statut n’existe pas et a été monté de toutes pièces par des journalistes avides de sensationnel. Vous n’avez, Madame, aucune existence légale d’autant plus que vous n’êtes ni mariée, ni pacsée.<br /> Que dirait-on d’un président de la République qui accumulerait les « premières dames » comme on accumule des amies ou des flirts ?<br /> <br /> <br /> Vous avez néanmoins exigé d’avoir autour de vous une équipe composée d’hommes et de femmes qui vous suivent, qui vous aident, qui travaillent avec vous et qui sont<br /> payés par l’État. Au nom de quoi l’État doit-il s’occuper de votre secrétariat pléthorique ? Ce n’est pas, je pense, pour vous aider à écrire des articles dans votre journal « Paris<br /> Match ».<br /> <br /> <br /> Voici un autre problème. Vous vous réclamez, à juste titre, du statut de journaliste et vous désirez continuer à écrire. Au début de la campagne présidentielle et<br /> même, si je ne me trompe, dès l’élection de François Hollande, vous avez clamé haut et fort que vous ne renonceriez pas à écrire dans l’hebdomadaire « Paris Match » et vous avez même<br /> annoncé que vous alliez interroger les grands de ce monde pour faire des papiers de politique étrangère ! Journaliste oui, mais journaliste politique non !<br /> <br /> <br /> Il me semble que ce métier est incompatible avec la fonction que vous aimeriez avoir, même si elle n’est pas officielle. Vous avez donc décidé de faire du<br /> journalisme de bavardages pour bien montrer votre autonomie par rapport à votre ami François Hollande. Vous avez néanmoins accepté, demandé, peut-être même exigé de l’accompagner dans ses voyages<br /> officiels. A quel titre ? Simplement d’amie !<br /> <br /> <br /> Il y avait et il y a toujours un obstacle : Ségolène Royal ! Vous ne la supportez pas, elle qui est pourtant mère des 4 enfants de François Hollande. Il semblerait<br /> qu’à la Bastille, lorsque François Hollande a « claqué une bise » sur les deux joues de Ségolène Royal, vous ayez exigé qu’il vous embrasse sur la bouche pour montrer la différence de<br /> statut ! Cet acte était sinon puéril du moins cruel.<br /> <br /> <br /> Voici maintenant qu’en femme moderne, vous tweetez. Vous avez réussi, par vos bavardages, à ébranler la campagne électorale et à ridiculiser la France.<br /> <br /> <br /> Ségolène Royal est candidate, certes parachutée, en Poitou-Charentes. Elle affronte Monsieur Falorni, implanté localement depuis de nombreuses années et ami de<br /> François Hollande. Il était naturel que les caciques du Parti socialiste viennent à son secours, elle qui avait été la femme candidate à l’élection présidentielle de 2007.<br /> <br /> <br /> Il était peut-être moins évident que le président de la République se mêle de ces élections. En Président « normal », il avait annoncé qu’il n’y<br /> participerait pas. Les Français avaient d’ailleurs compris que le petit mot de soutien à Ségolène Royal était plus affectif que politique. Elle avait été sa compagne pendant si longtemps.<br /> <br /> <br /> Mais vous ne la supportez pas, taraudée par la jalousie. Après le ridicule de « embrasse moi sur la bouche » que, semblait-il, vous aviez prononcé, voici<br /> maintenant la trahison ! En effet, de quoi vous mêlez-vous en soutenant Monsieur Falorni qui, au demeurant, reste très sympathique ? Est-ce en tant que journaliste politique que vous<br /> prenez position pour un candidat ?<br /> <br /> <br /> Il s’agirait là d’une déviation intolérable de la neutralité politique d’un journaliste. Voyez-vous Monsieur Jean-Michel Apathie, Madame Ruth Elkrief, Monsieur Alain<br /> Duhamel prendre position pour qui que ce soit ? Ils devraient rendre immédiatement leur carte de presse, s’inscrire à un parti politique et ne plus parler. Certes, beaucoup de journalistes,<br /> beaucoup de journaux, sont à gauche et l’ont montré lors de ces dernières élections. Mais vous, Madame, journaliste à « Paris Match », vous n’auriez jamais dû prendre position. Ce n’est<br /> donc pas comme journaliste que vous avez envoyé ce tweet, vous êtes trop intelligente pour tomber dans un tel piège.<br /> <br /> <br /> Est-ce pour affirmer votre indépendance vis-à-vis de votre compagnon ? Peut-être aussi pensiez-vous affirmer l’importance de la liberté de la femme ? Je ne le<br /> crois pas non plus car je ne suis pas sûr que la liberté consiste à faire des gaffes. Peut-être ce mot est-il trop faible ? Il s’agit d’une faute grave. En réalité, vous ne pouviez pas imaginer<br /> une seconde que Ségolène Royal, élue, puisse un jour arriver au fauteuil de présidente de l’Assemblée nationale. « Comment cette femme, qui était avec mon ami auparavant, qui a vécu si<br /> longtemps avec lui, peut-elle revenir en pleine lumière ? ».<br /> <br /> <br /> Mais, pire encore, vous imaginiez, dans vos rêves les plus épouvantables, dans les cauchemars les plus terribles, les cérémonies officielles présidées par François<br /> Hollande obligatoirement accompagné par Ségolène Royal, en tant que quatrième personnage de l’État. Vous cauchemardiez à l’idée de voir ces grands dîners à l’Elysée, ces dîners officie<br />
Répondre
L
<br /> Nous sommes dans le grotesque absolu. C'est Groland ! Mais n'est-ce pas ce que les Français ont choisi ? Et n'est-ce pas ce que les médias ont façonné avec une énergie et une synergie rare ?<br /> Toutes les bouffées d'aérophagie auxquelles nous sommes aujourd'hui exposés vient de l'air insufflé par les médias, et de la part des acteurs les plus enfarinés par les médias. Alors ! Dans un<br /> autre registre il y eu le grand DSK. Après tout, s'il est du goût de certains de ridiculiser la France et les Français, et s'ils ont les moyens de le faire, qui peut s'y opposer. Mais n'est-ce<br /> pas un signal fort pour que les Français se ressaisissent à quelques jours d'une élection dont les enjeux sont beaucoup plus importants que les clowneries actuelles, mais dont les acteurs<br /> risquent d'être les mêmes ?<br />
Répondre
A
<br /> Quelle classe, ces socialistes ! Ils méritent vraiment d'exercer les plus hautes fonctions dans la République dont ils sont la noblesse, l'exemple et la beauté. Quelle leçon ne donnent-ils pas à<br /> la France ! Manque plus que le Père Duchêne pour parfaire cette exposition de grâce. Ah ! comme dirait François le fécal : la gauche, c'est la rupture. La rupture avec le savoir vivre, c'est<br /> manifeste. Et, comme dirait l'oncle Jules "Y'en a pas un pour rattraper l'aiutre, mais il sont si contents d'eux, et la soupe est si bonne, qu'avant d'en ramenr un seul sur le droit chemin, toute<br /> la maison aura brûlé et les meubles avec." Et c'est à des ploucs pareils que la France veut confier son destin ? C'est vous, les minables ? Eh bien continuez... Après tout, peut-être les porcs<br /> ont-ils, eux aussi, leur propre conception de lagastronomie.<br />
Répondre
P
<br />  <br /> <br /> <br /> La première Gaffe de France et ce n'est que le début ...<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
D
<br /> <br />
Répondre
D
<br /> Ca y<br /> est ces minables font scandale de par le monde.<br /> <br /> <br /> …<br /> <br /> <br /> Ce mercredi matin, le quotidien britannique The Guardian qualifie l'affaire de "soap opera digne des pires excès de la vie amoureuse très publique de Nicolas Sarkozy" (…)selon le Daily Telegraph. "Les insécurités de la première dame vis-à-vis de Ségolène Royal sont<br /> connues de tous",(…) Outre-Atlantique, le New York Times s'étonne: "C'est une scène digne de Molière ou de<br /> Macbeth".(…) le Washington Post, le ton est plus léger. "Comment dites-vous crêpage de<br /> chignons en français? (…)El Mundo estime que "Valérie Trierweiler n'arrête pas de faire des<br /> gaffes"(…) El Pais,<br /> "le tweet de la première dame (ou première fiancée) de France a explosé et a d'emblée transformé un cas de caciquisme<br /> provincial en un ragot géant sur fond de jalousie au plus haut niveau".(…) "Dallas à l'Elysée" :<br /> une formule de l'UMP reprise par le journal allemand Süddeutsche Zeitung. Il ajoute: "Les socialistes sont consternés, François Hollande a l'air<br /> ridicule, Valérie Trierweiler pose une devinette et Ségolène Royal est menacée d'extinction politique…(…)<br /> <br /> <br /> http://www.atlantico.fr/pepites/medias-presse-etrangere-affaire-trierweiler-twitter-388985.html<br /> <br /> <br /> …<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
Répondre