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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Le gouvernement s’attaque aux retraites des enseignants du privé au risque de rallumer la guerre scolaire

Pensionnat de Versailles meilleur lycée de Guadeloupe en 2 ( Entrée du Pensionnat de Versailles, à Basse-Terre en Guadeloupe, classé meilleur lycée du département en 2011 ). 

Le groupe Itinerarium se présente ainsi :  "Constitué comme un projet collaboratif qui mobilise les idées et les arguments en autant de jalons pour bien interpréter le monde et son flux perpétuel de signes et de symboles. Un flux souvent difforme et déformé idéologiquement par les médias. Nous ne prétendons pas à la neutralité. Mais nous revendiquons clairement – et fièrement – nos principes et nos convictions. Il ne faut pas omettre que la plupart du temps, le plus grand désinformateur, c’est soi-même. Car nous sommes des êtres conditionnables, et nous nous complaisons dans ce conditionnement, sûrement par paresse. C’est pourquoi l’équipe de rédaction d’Itinerarium proposera des outils herméneutiques propres à dé-conditionner les visions du monde qui nous sont imposées, envers et contre tout, souvent contre tous, mais surtout au profit de chacun d’entre nous.

L’équipe de rédaction d’itinerarium" .

On le voit les finalités d'Itinerarium, sont proches de celles du Scrutateur. Ce groupe informe sur le projet du gouvernement socialiste de s'attaquer aux retraites de l'enseignement privé.

Il rallume la guerre scolaire, par fanatisme idéologique, par souci d'instaurer un totalitarisme, en douceur, mais non moins mortifère, pour les citoyens, pour la nation. LS.

Marie-Luce-Penchard.jpg

 ( L'ancien ministre Marie-Luce Penchard. Une éminente ancienne élève du Pensionnat de Versailles ). 

 

http://www.itinerarium.fr/site-itinerarium-vivien-hoch/

 

Le gouvernement a annoncé aux organisations syndicales des mesures drastiques de réduction du montant des pensions servies aux enseignants du privé, en revenant sur les engagements de 2004 qui visaient à égaliser les traitements entre les enseignants du privé et ceux du public. Les syndicats enseignants, notamment CFTC et CFDT, se mobilisent contre cette nouvelle fronde contre l’enseignement privé. Les premiers foyers d’une nouvelle guerre scolaire commencent à s’allumer… 

 

Manifestations de 1984 pour l'enseignement libre

Manifestations de 1984 pour l’enseignement libre

La loi Censi (5 janvier 2005), avait pour objet de rapprocher la situation des maîtres des établissements privés sous contrat de celle des enseignants exerçant dans des établissements publics, dans l’esprit de parité inscrit dans la loi de 1959, dite loi Debré. La loi 2005-5 a prévu la mise en place d’un régime additionnel de retraite qui a pour objectif de rapprocher le montant des pensions de retraite des maîtres du privé de celui du public ; ce régime est financé à parts égales par l’État employeur et par les maîtres. Il revêt une importance, tant financière que symbolique, particulièrement importante aux yeux des maîtres. Ce régime additionnel est maintenant gravement menacé. En raison de perspectives financières défavorables (exercice déficitaire dès 2013 et épuisement des réserves en 2019), et à la suite d’un rapport de la Cour des comptes pour le moins lapidaire et contenant des affirmations non étayées, l’État entend prendre des mesures drastiques, bien entendu largement défavorables aux bénéficiaires, tant actuels que futurs.

Ce qui attend les maîtres du privé dès le 1er janvier 2013, c’est :
• une baisse significative des pensions de retraite (jusqu’à 150 € par mois)
• un gel de la pension RAEP pour les maîtres partis depuis le 1er septembre 2005
• une hausse des cotisations retraite (salaires nets en baisse).

Les décisions envisagées pénaliseraient gravement les personnels, actifs et retraités, qui ne comprennent ni leur ampleur ni la précipitation du calendrier de mise en place. Par ailleurs, s’ils sont prêts à consentir quelques efforts pour pérenniser le régime additionnel, ils n’acceptent pas l’ampleur des régressions envisagées par rapport à l’effort minimaliste que l’État affirme être prêt à consentir. De plus, tous les rapports et toutes les études portés au crédit d’un nécessaire rééquilibrage du régime ne tiennent pas compte de la forte différence entre les cotisations de retraite des fonctionnaires et celles, nettement supérieures, des enseignants des établissements privés sous contrat. Le régime additionnel ne fait donc que combler une partie de la différence. L’injustice persiste et risque même de s’aggraver, c’est insupportable. Tout ceci risque de rallumer, contrairement à la volonté affichée du Ministre, une rivalité public / privé dont personne ne veut.

Enfin, le caractère précipité de la régression envisagée constituerait une forme de prise en otages de plusieurs milliers de personnes qui ne peuvent pas partir à la retraite avant la date d’effet envisagée. Certains avaient décidé, incités par les politiques publiques, de prolonger leur carrière alors qu’ils avaient déjà droit à une pension de retraite. C’est inacceptable : ils auront travaillé plus longtemps et percevront une pension inférieure. Les atteintes envisagées contre ce régime additionnel de retraite correspondent à un recul évident dans la progression attendue vers la parité entre maîtres des établissements privés et enseignants du public, ruinant ainsi des années de consensus et provoquant, sans aucun doute, une profonde insatisfaction. En conséquence, nous vous demandons d’intervenir dans les plus brefs délais auprès du gouvernement.

Il fut savoir qu’actuellement, un maître du privé à la retraite touche toujours moins qu’un maître du public à carrière égale alors qu’il a cotisé beaucoup plus pour sa retraite (salaire net inférieur).

 

Les syndicats ont mis en place une pétition : http://petitionretraiteadditionnelle.com/

 

 

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D
<br /> Le gouvernement - mazette ! quelle bande grotesque de gros nullards nuisibles, soit dit en passant - s'attaquera à toutes les retraites qu'il réduira à la portion congrue, à tous<br /> les revenus qu'il volera sans vergogne, à toutes les propriétés qu'il s'appropriera cyniquement. Il réduira finalement la fameuse "liberté francaise" à l'état de loque hideuse et de<br /> souvenirs émus, car ce gouvernement fantoche est marqué du Signe de la Bete, qu'il sert cette sale Bete servilement et ouvertement, et que cette Bete ignoble hait la Fille Ainée de<br /> l'Eglise. Alors les eveques sont montés en ligne contre le "mariage pour tous" cette diablerie contre nature, chère à ce minable bouffon qu'est hollande,  peut-etre est-ce là un<br /> bourgeon qui annonce le printemps et la fin de la tyrannie...qui sait.<br />
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J
<br /> Les socialos version Groland sont enragés. De vrais fous ! Pour ceux qui se souviennent des barbus de 1981 - cf. La barbe et la rose - c'étaient, à côté d'aimables agent d'ambiance et les cocos<br /> de la place Fabien étaient de doux partenaires sociaux à côté de la bande à Groland. Dans quoi nous a embarqué ce Caton de la reconquête ? Riend e bien engageant. Avec son cortège de gracques, on<br /> a l'impression de les voir touts : Calligula, Néron... Visiblement, les Français ne sont pas dupes : mais ils ont contracté avec Groland un de ces mariages républicains qui les met en position de<br /> mariage-gay dnas lequel ils jouent peut-être le rôle du partenaire qu'ils n'auraient pas souhéaité être. Ainsi, malgré les charlotitudes de nos nullités de la "droite", celle-ci sauve l'honneur<br /> aux trois législatives partielles d'hier. C'est dire que les Français ne sont pas encore tout à fait prêts à se faire grolandiser. Cependant, ils ont signé... Et les voilà pris. Dire bien fait<br /> pour eux est un peu méchant, et surtout pas très malin, car nous voilmà pris aussi, embarqués dans la "magie" du service post-électoral d'une campagne grotesque qui laisssait prévoir l'exact<br /> déroulement des choses.<br />
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